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L’humain au cœur du portage salarial

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[CONTENU PARTENAIRE] Le portage salarial se démocratise de plus en plus, et permet aux indépendants de trouver une sécurité dans leur vie professionnelle. MY Portage les accompagne depuis 10 ans en mettant l’humain au centre de son modèle, comme l’explique son gérant Michaël Jean-Voldemar.

Quels sont les services proposés par MY Portage ?

MY Portage propose des services de portage salarial. Habituellement, un travailleur indépendant signe un contrat de prestation avec un client, qu’il va ensuite facturer. Ce statut d’indépendant est précaire, il n’a pas le droit au chômage, la retraite est faible et il doit financer sa mutuelle. En 2013 est apparu le statut de portage salarial, qui permet à un travailleur indépendant d’avoir une relation commerciale avec un client, en utilisant les services d’un tiers, la société de portage salarial, pour les aspects de rémunération.

Notre société de portage salariale réalise la paie du travailleur, lui permet de cotiser aux caisses générales de chômage, retraite, assurance maladie, et d’avoir droit aux mêmes prestations qu’un salarié classique.

À quels enjeux répondez-vous pour les portés ?

Lorsqu’on quitte le statut de salarié pour se lancer à son compte, on perd une tranquillité d’esprit, parce qu’il n’y a pas de sécurité en étant indépendant. MY Portage cherche à créer un cadre sécurisant pour le porté, dans lequel il aura des solutions à ses problèmes et réponses à ses questions, comme dans une entreprise classique. Nous allons l’accompagner et nous le soutenons pour qu’il puisse se concentrer sur son métier.

Par exemple, nous versons la paie de nos salariés portés le 28 du mois, avant l’émission de nos factures à leur client et surtout avant de recevoir le paiement de ces factures qui intervient entre 30 et 60 jours après. Nous gardons nos prix bas en restant sous la barre des 5% de frais de gestion.

Comment a évolué ce marché ?

Aujourd’hui, beaucoup de sociétés de service, dans l’informatique notamment, utilisent des consultants sans leur apporter la valeur ajoutée d’un employeur. Ils sont placés en mission chez un client tiers et ne voient jamais leur employeur. Beaucoup de ces salariés ont basculé sur le portage salarial.

En portage salarial, les revenus nets avoisinent 15 à 20% de plus que sur le même poste en salariat classique. Au début, les gens étaient hésitants parce qu’ils ne connaissaient pas. Mais maintenant que ça existe depuis un certain temps, on voit un gros engouement.

Au départ, il y avait beaucoup de portés avec une certaine ancienneté, ils estimaient avoir suffisamment d’autonomie pour se lancer dans le portage. Aujourd’hui, nous voyons arriver des jeunes, avec parfois une ou deux années d’expérience, qui basculent de suite sur le portage.

Quelles sont les valeurs qui vous différencient ?

C’est vraiment l’humain. J’étais moi-même indépendant, et j’ai fait un burnout en 2009. Je me suis retrouvé seul et sans solution. C’est à la suite de cet événement traumatisant que j’ai commencé à réfléchir à ce que je pouvais faire, et par chance c’était aussi l’époque où on commençait à parler du portage. Je me suis lancé et j’ai répondu à ce besoin, je suis heureux et fier d’avoir aidé les gens face aux aléas de la vie. Depuis dix ans, j’ai pu être témoin d’une grande aventure humaine.

MY Portage se félicite d’être là quand les institutions ne font plus rien pour ces indépendants, pendant le Covid par exemple. MY Portage s’est retrouvé caution solidaire pour un de ses salariés qui avait besoin de changer de logement. Nous avons aussi été présents pour un de nos consultants lorsqu’il a perdu sa compagne, et que les assurances, les mutuelles et les banques refusaient de l’aider.

Avant le COVID, nous travaillions sur la mise en place des retraites alternatives, j’espère de tout cœur aboutir dans ce domaine.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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