ERGOS : la solution numéro 1 de l’intérim d’insertion en France

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre Entreprise de Travail Temporaire d'Insertion (ETTI) et sur l’accompagnement que vous proposez dans la recherche d’emplois ?
Être une ETTI c’est se voir confier une mission par les services de l’État qui nous conventionnent pour mobiliser les moyens du travail temporaire au profit de publics éloignés de l’emploi : allocataires du RSA, demandeurs d’emploi de longue durée, jeunes sans qualification, séniors de + 50 ans, travailleurs en situation de handicap, etc.
Pour ces candidats, qui deviennent nos intérimaires, nous déployons un double accompagnement :
- Professionnel : avec un parcours en entreprise et des formations pour participer à la montée en compétences. Nos intérimaires se rapprochent ainsi des attentes en compétences et qualifications désirées par les entreprises qui recrutent
- Social : avec un travail sur les freins parfois générés par les périodes de chômage : logement / santé / mobilité / garde d’enfants…
Cet accompagnement se fait de manière individualisée et personnalisée. Résultat : nous permettons à 7 personnes sur 10 de trouver un emploi, majoritairement en contrat long.
Quels sont les domaines et les métiers pour lesquels vous recrutez ?
Nos agences sont généralistes, donc nous travaillons sur des domaines variés : BTP, logistique, transport, industrie, tertiaire, services à la personne... Dans chacun de ces domaines, nous visons prioritairement les postes avec de basses et moyennes qualifications adaptées aux publics en insertion. Nous pouvons toucher tous les métiers, car tous nos salariés ont des compétences, nous savons les mettre en avant et améliorer les savoir-faire pour les rendre plus attractifs.
En termes de valeurs et de savoir-faire, qu’est-ce qui fait d’ERGOS la solution numéro un de l’intérim d’insertion en France ?
Nous sommes aujourd’hui numéro un puisque nous disposons notamment d’un réseau de proximité avec 106 agences (Antilles-Guyane / Réunion compris) : au plus près des personnes et des entreprises.
Intégrés au groupe ACTUAL, nous bénéficions d’un réseau de plusieurs milliers d’entreprises, dont 240 « grands comptes » qui nous permet de proposer des offres diversifiées et sur des filières multiples pour répondre à tous les besoins d’emplois. Nous déployons aussi un process d’accompagnement personnalisé pour répondre à tous les freins socio-professionnels : chaque personne est accompagnée de manière spécifique. Chaque intérimaire est ainsi au centre de notre préoccupation. Chaque année, nous investissons pour 160.000 heures de formations qualifiantes ou métier soit un montant de 5 millions d’€ (financement OPCO / État / fonds propres ERGOS).
Enfin, nous permettons à 7 personnes sur 10 de trouver un emploi dont une grande part de CDI ou CDD longs.
Quelles plus-values apportez-vous aux entreprises, mais aussi aux candidats ?
Pour les entreprises :
- Permettre de réaliser une politique de recrutement inclusive tout en trouvant les profils de compétences recherchés ;
- Favoriser la diversité ;
- Favoriser la bonne réalisation des obligations d’insertion : clauses sociales sur les marchés publics / réponse aux obligations d’emploi des travailleurs en situation de handicap ;
- Permettre une réalisation opérationnelle des politiques RSE des entreprises.
Pour les collaborateurs en insertion :
- Permettre une remise en emploi avec la recherche de fiches de salaire régulières avec de bons volumes d’heures de travail ;
- Favoriser les montées en compétences avec des formations tout au long du parcours ;
- Accompagner individuellement chaque salarié sur les freins sociaux et professionnels ;
- Favoriser la rencontre avec des employeurs pour un retour à l'emploi durable.
À quels nouveaux enjeux devez-vous répondre aujourd’hui sur ce marché ?
Les enjeux sont multiples. Tout d’abord économique : les tensions actuelles du fait de l’instabilité nationale et internationale jouent sur les projets de recrutement des entreprises et cela peut influer négativement sur les offres d’emploi disponibles. Mais aussi politique : la limitation des crédits publics alors que le chômage augmente, les financements investis sont en diminution fragilisant nos missions d’accompagnement.
Quels seront les prochains défis à venir dans votre secteur d’activité ?
Le gouvernement vient de faire paraître la circulaire FIE avec les crédits disponibles pour les structures de l’IAE telles que ERGOS. Les baisses de crédits sont conséquentes et jouent sur l’avenir des structures et leur capacité à aider les personnes en difficulté d’emploi. Sachant que pour 4.781 € nous accompagnons environ 4 personnes et que nous sortons 3 à l’emploi : 1 accompagnement ERGOS vers l’emploi coûte à l’État 1.195 € ! Avec l’augmentation du chômage, une baisse de 53 millions d’€ du budget prive potentiellement près de 33.000 personnes d’un emploi via une ETTI telle qu’ERGOS.
En période de crise, il faut soutenir les activités telles qu’ERGOS qui lient appui au développement économique et soutien à l’emploi.
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