LAE Santé : faciliter et améliorer la prise en charge des patients

Le principe premier de LAE Santé est de fluidifier les échanges ville-hôpital en étant un trait d’union entre les différents acteurs de prise en charge en ville - BFM Business
Réduire le chiffre de retour à l’hôpital
LAE Santé s’est donné pour mission de sécuriser les patients dans leur processus de retour à domicile et d’éviter les fluctuations de prise en charge dans le circuit de soin. Grâce à un système applicatif et une interface dédiée, patients et acteurs de santé mobilisent en quelques clics les besoins logistiques et humains nécessaires à la prise en charge complète du patient, de sa sortie d'hospitalisation à son retour à domicile.
Aujourd’hui, 12 % des patients (+300 000 personnes) reviennent à l’hôpital après une mauvaise prise en charge. À l’heure où une journée d’hospitalisation est onéreuse et qu’un besoin de lit se fait sentir, “LAE Santé participe également à l’accession pour 15 000 nouveaux patients par mois à des soins, en libérant en temps voulu des lits d'hôpital”, indique Laetitia Christophe, fondatrice de LAE Santé.
Travailler en intelligence avec l’intelligence artificielle
Le principe premier de LAE Santé, est de fluidifier les échanges ville-hôpital en étant un trait d’union entre les différents acteurs de prise en charge en ville. En créant du lien entre la ville et l'hôpital en mobilisant les médecins de villes, sages femmes, kinésithérapeutes ou encore ambulanciers et pharmaciens afin de d’offrir au patient une prise en charge fluide et complète.
En travaillant avec les groupements hospitaliers APHP-DMH, LAE Santé permet de proposer au plus grand norme sa solution reposant sur une intelligence artificielle. Cette dernière prend en compte la pathologie, l’âge, et le lieu de vie du patient, tout en s’appuyant sur les protocoles médicaux pour mieux organiser la sortie du patient, et ainsi permettre aux prescripteurs de se concentrer sur leur prérogative première : soigner.
En 2018, “11,1 % de la population vit dans une commune où l’accès à un médecin généraliste est limité (contre 7,6 % en 2012)”, selon l’Observatoire de la Mutualité Français. Par ailleurs, le nombre de médecins généralistes baissera de 13 %, en l’espace de 15 ans, entre 2010 et 2025. Un accès au soin difficile que l’IA tente de résoudre.
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