
GENS DICI : la renaissance de Dormillouse, le seul village qui n’est accessible qu’à pied
Chaque été ce sont 30 000 personnes qui viennent découvrir ou redécouvrir le seul village habité à l’année et qui n’est accessible qu’à pied : Dormillouse sur la commune de Freissinières.
Pour certains, c’est un pèlerinage sur les traces de ses ancêtres qui ont déserté le village fuyant la misère vers l’Algérie comme le racontera la manifestation "retour à Dormillouse" le 31 juillet prochain.
Pour d’autres, c’est le souvenir de la période hippie dans les années 70/80 qui a redonné vie au village. Pour certains, enfin c’est un point de passage vers les superbes lac Palluel et Faradel ou vers le col de Freissinères qui rejoint Prapic dans le Champsaur.
Aujourd’hui Dormillouse reprend vie à l’année avec le gîte de l’école repris depuis quatre ans par Paul et Sarah au bien connu Serge Baridon, de superbes chambres d’hôtes ou encore ces guillestrins qui n’ont pas eu peur d’investir 700 000 € (à Dormillouse !) pour offrir l’été prochain des logements hauts de gamme.
Mais Dormillouse ce sont aussi des contraintes, celle de l’électricité avec le projet de relancer la micro-centrale abandonnée alors que paradoxalement il y a le téléphone, celle de l’accès et du transport… Un équilibre délicat, une ligne de crête sur laquelle veille le parc national des écrins.
Et c’est justement avec Pierre Commenville le directeur du parc national des écrins que Jean-Marc Passeron est allé assister à cette renaissance de la pépite que constitue Dormillouse.
Reportage : Jean-Marc Passeron, Ariane Pollaert et Gary Beaujoin.
Pour certains, c’est un pèlerinage sur les traces de ses ancêtres qui ont déserté le village fuyant la misère vers l’Algérie comme le racontera la manifestation "retour à Dormillouse" le 31 juillet prochain.
Pour d’autres, c’est le souvenir de la période hippie dans les années 70/80 qui a redonné vie au village. Pour certains, enfin c’est un point de passage vers les superbes lac Palluel et Faradel ou vers le col de Freissinères qui rejoint Prapic dans le Champsaur.
Aujourd’hui Dormillouse reprend vie à l’année avec le gîte de l’école repris depuis quatre ans par Paul et Sarah au bien connu Serge Baridon, de superbes chambres d’hôtes ou encore ces guillestrins qui n’ont pas eu peur d’investir 700 000 € (à Dormillouse !) pour offrir l’été prochain des logements hauts de gamme.
Mais Dormillouse ce sont aussi des contraintes, celle de l’électricité avec le projet de relancer la micro-centrale abandonnée alors que paradoxalement il y a le téléphone, celle de l’accès et du transport… Un équilibre délicat, une ligne de crête sur laquelle veille le parc national des écrins.
Et c’est justement avec Pierre Commenville le directeur du parc national des écrins que Jean-Marc Passeron est allé assister à cette renaissance de la pépite que constitue Dormillouse.
Reportage : Jean-Marc Passeron, Ariane Pollaert et Gary Beaujoin.
| Durée : 10:52