Jeux vidéos: après la Chine, l'Irak et le Népal, la Jordanie interdit PUBG, craignant sa nocivité

Le liste des pays qui interdisent ce jeu édité par le chinois Tencent s'allonge. - PUBG
La Jordanie a interdit samedi PUBG, célèbre jeu de combat en ligne, évoquant ses effets négatifs sur les citoyens dans un pays qui compte de nombreux adeptes.
L'Autorité de régulation des télécommunications a justifié cette interdiction par les effets négatifs du Jeu de survie PUBG (PlayerUnknown's Battlegrounds) sur les citoyens, notamment les jeunes.
Depuis des mois, des officiels, psychologues et analystes mettent en garde les utilisateurs de cette plateforme dans le royaume, évoquant ses "effets négatifs" sur la santé et l'éducation des jeunes.
Tuez-les jusqu'au dernier
Ce jeu électronique aux plus de 400 millions de téléchargements à travers le monde et dans lequel le vainqueur est le dernier survivant, a été interdit en Irak au motif qu'il incite à la violence. Le Népal et l'Etat indien du Gujarat l'ont également banni.
Le géant chinois de l'internet et des jeux vidéos, Tencent, a annoncé le 8 mai qu'il cesserait de proposer en Chine ce jeu très populaire, remplacé par une version locale à la fibre patriotique. En juin, en Inde, un adolescent de 15 ans fan de PUBG Mobile a poignardé à mort son frère qui lui demandait d’arrêter de jouer.