
Ofast perquisitionné à Marseille: "c'est un ou deux enquêteurs au maximum sur lequel pèse un certain nombre de soupçons"
Après la perquisition de l'Office antistupéfiants à Marseille le 4 avril et l'ouverture d'une enquête pour des soupçons de corruption, le journaliste spécialiste des questions de police-justice Jean-Michel Verne assure que, selon ses informations, "c'est un ou deux enquêteurs au maximum sur lequel pèse un maximum de soupçons" et "il ne s'agit en aucun cas d'un système de corruption généralisé".
| Durée : 1:37