BFM Business
JMLECO
Partenaire

Mettre la technologie au profit de l’agriculture de demain

placeholder video
[CONTENU PARTENAIRE] Alors que le lien entre la dégradation des sols et l’agriculture a clairement été établi, les techniques conventionnelles d’agriculture sont encore largement pratiquées en France et dans le monde. Leurs effets négatifs sur la dégradation et l’érosion du sol, par le labourage intensif et l’utilisation d’engrais et de pesticides condamnent l’agriculture sur le long terme. En prônant une agriculture de conservation, NOVAG SAS veut préserver les terres de l’impact de l’agriculture. Explication avec son cofondateur Ramzi Frikha.

En quoi consiste l’agriculture de conservation ?

Le but de l’agriculture de conservation est de se focaliser sur la matière organique et la vie biologique des sols pour améliorer leur fertilité

Si on ne laboure plus, qu’on laisse les résidus des anciennes cultures en place, et qu’on utilise des couverts végétaux ou des plantes compagnes pour remplacer les intrants comme les engrais ou les pesticides, les terres ne seront pas dégradées sur le long terme. Mieux, elles seront plus résistantes à la sécheresse et aux inondations de par leur meilleure composition biologique.

Toutefois, même si elle présente beaucoup d’avantages, l’agriculture régénérative nécessite des équipements adaptés. C’est pourquoi Novag SAS a conçu des semoirs capables de s’adapter à cette nouvelle manière de produire.

Quelle est la particularité des semoirs Novag ?

Nous nous engageons à faciliter cette transformation de l’agriculture en proposant des semoirs spécialisés parmi les plus sophistiqués du marché.

L’implantation des cultures en agriculture de conservation est plus difficile. La présence de paille et autres résidus organiques complique le passage des machines. Nous avons donc créé des semoirs adaptés à l’agriculture régénérative.

Ces derniers sont conçus de manière à planter n’importe quels types de graines dans n’importe quels types de sols. Les semences sont positionnées avec précision et surtout, en perturbant le moins possible la structure du sol. Ce résultat est rendu possible par la technologie de nos éléments semeurs, l’architecture de nos machines et notre électronique de contrôle. Ils ont été entièrement modelés pour s’adapter aux exigences de l’agriculture de conservation.

Pourquoi les agriculteurs doivent-ils changer leur manière de travailler ?

Premièrement, car ils n’ont plus le choix. Les techniques agricoles actuelles provoquent une telle dégradation des terres qu’il devient urgent de changer les méthodes de production.

De plus, l’application de la technique du « semis direct » permet d’implanter des cultures sans avoir à travailler le sol au préalable, afin de protéger la structure de celui-ci. En fait, ce sont les vers de terre qui vont travailler le sol à la place de l’agriculteur et lui faire économiser énormément de temps et énormément d’intrants, à commencer par le carburant, puis les engrais et les produits de traitement, tout au long du développement de la fertilité du sol.

La transition vers le semis direct est cependant complexe ; il y a de nombreuses difficultés techniques voire « psychologiques » pour se passer du travail du sol, mais aussi, et surtout pour sélectionner les bonnes plantes ou les bonnes rotations. C’est une véritable « transformation agroécologique » des exploitations qui, comme toute transformation, peut s’avérer coûteuse, risquée et prendre du temps. C’est pour cela que Novag SAS veut accompagner les agriculteurs dans cette transition et nous formons une communauté d’entraide et de formation.

Selon nous, cette transition est urgente pour la survie des exploitations agricoles, surtout en céréales et élevage. En plus d’être pertinente vis à vis des problématiques de climat, d’érosion des sols, de séquestration du carbone, l’agroécologie est aussi une solution face aux difficultés économiques rencontrées par les agriculteurs.

En quoi consiste l’agriculture de conservation ?

Le but de l’agriculture de conservation est de se focaliser sur la matière organique et la vie biologique des sols pour améliorer leur fertilité

Si on ne laboure plus, qu’on laisse les résidus des anciennes cultures en place, et qu’on utilise des couverts végétaux ou des plantes compagnes pour remplacer les intrants comme les engrais ou les pesticides, les terres ne seront pas dégradées sur le long terme. Mieux, elles seront plus résistantes à la sécheresse et aux inondations de par leur meilleure composition biologique.

Toutefois, même si elle présente beaucoup d’avantages, l’agriculture régénérative nécessite des équipements adaptés. C’est pourquoi Novag SAS a conçu des semoirs capables de s’adapter à cette nouvelle manière de produire.

Quelle est la particularité des semoirs Novag ?

Nous nous engageons à faciliter cette transformation de l’agriculture en proposant des semoirs spécialisés parmi les plus sophistiqués du marché.

L’implantation des cultures en agriculture de conservation est plus difficile. La présence de paille et autres résidus organiques complique le passage des machines. Nous avons donc créé des semoirs adaptés à l’agriculture régénérative.

Ces derniers sont conçus de manière à planter n’importe quels types de graines dans n’importe quels types de sols. Les semences sont positionnées avec précision et surtout, en perturbant le moins possible la structure du sol. Ce résultat est rendu possible par la technologie de nos éléments semeurs, l’architecture de nos machines et notre électronique de contrôle. Ils ont été entièrement modelés pour s’adapter aux exigences de l’agriculture de conservation.

Pourquoi les agriculteurs doivent-ils changer leur manière de travailler ?

Premièrement, car ils n’ont plus le choix. Les techniques agricoles actuelles provoquent une telle dégradation des terres qu’il devient urgent de changer les méthodes de production.

De plus, l’application de la technique du « semis direct » permet d’implanter des cultures sans avoir à travailler le sol au préalable, afin de protéger la structure de celui-ci. En fait, ce sont les vers de terre qui vont travailler le sol à la place de l’agriculteur et lui faire économiser énormément de temps et énormément d’intrants, à commencer par le carburant, puis les engrais et les produits de traitement, tout au long du développement de la fertilité du sol.

La transition vers le semis direct est cependant complexe ; il y a de nombreuses difficultés techniques voire « psychologiques » pour se passer du travail du sol, mais aussi, et surtout pour sélectionner les bonnes plantes ou les bonnes rotations. C’est une véritable « transformation agroécologique » des exploitations qui, comme toute transformation, peut s’avérer coûteuse, risquée et prendre du temps. C’est pour cela que Novag SAS veut accompagner les agriculteurs dans cette transition et nous formons une communauté d’entraide et de formation.

Selon nous, cette transition est urgente pour la survie des exploitations agricoles, surtout en céréales et élevage. En plus d’être pertinente vis à vis des problématiques de climat, d’érosion des sols, de séquestration du carbone, l’agroécologie est aussi une solution face aux difficultés économiques rencontrées par les agriculteurs.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

En partenariat avec SCRIBEO