Optimium, votre partenaire énergies

Quelle est l’activité d’Optimium au quotidien ?
Notre activité et notre moteur au quotidien sont de nous rendre super utiles à nos clients, en leur apportant de l’information, une réelle expertise, un gain de temps significatif et en créant une valeur ajoutée chiffrée pour leur organisation. Un bénéfice qui résulte d’une solution d’accompagnement clé en main, pour tous leurs besoins énergétiques.
Que vous soyez gérant d’une boulangerie en province, gestionnaire d’un syndicat de copropriétés, président d’une association sportive ou directeur des achats pour un groupe industriel, on vous accompagne sur l’ensemble des éléments qui composent une stratégie d’achat d’énergie optimale.
Très bien. Je suis un client, comment ça se passe ?
C’est simple :
- Prise de contact : Nous prenons de la hauteur en dégrossissant ensemble vos besoins, nous créons avec vous un cahier des charges clair, et vous attribuons un conseiller unique et dédié.
- Vous recevez un mail : Celui-ci résume notre échange et liste les éléments dont nous avons besoin pour étudier (factures, contrats, Kbis, etc.).
- Nous recevons un mail : Une fois vos documents réceptionnés, nous réalisons un premier état des lieux et vous transmettons notre mandat d’étude pour signature
- Veille stratégique : Nous poursuivons nos analyses de marché afin de déterminer, selon les contraintes de votre cahier des charges, une période propice à l’achat.
- Appel d’offres : Mise en concurrence des principaux fournisseurs et choix d’une ou plusieurs offres gagnantes.
- Optimisation GRD et Taxes : Nos analyses et outils nous permettent de détecter l’ensemble des leviers d’économies potentielles, qui peuvent être réalisés sur les coûts liés au GRD (Gestionnaire de Réseau de Distribution d’énergie) et sur les taxes énergétiques.
- Étude 2.0 : Nous construisons une étude de pointe, détaillant vos coûts actuels et à venir d’électricité et/ou de gaz.
- Projection de vos budgets : Lors d’un entretien, physique ou visio, nous vous présentons et vous expliquons le résultat de notre étude.
- Validation du dossier : Vos charges d'énergies sont optimisées et sécurisées.
- Suivi : Nos équipes continuent de vous accompagner à court, moyen et long terme.
Grâce à notre structure à taille humaine, nous sommes très réactifs et très proches de nos clients. J’ai en tête l’image d’une communauté, pour laquelle nous devons prendre des décisions au plus juste chaque jour.
En réalisant des veilles des marchés, en restant informé et en analysant la géopolitique mondiale, nous parvenons à identifier les périodes qui sont propices, ou pas, à la renégociation des contrats d’énergie. Par exemple, durant la crise énergétique, notamment sur les années 2022-2023, notre priorité était d’éviter les contrats à long terme, en favorisant des contrats courts ou indexés. Le but : protéger nos clients d’un impact financier trop important dans le temps. Aujourd’hui, à date de cette émission, avec un marché qui est à l’inverse plutôt favorable, nous proposons des contrats à long terme, garantissant un prix fixe sur 3 à 5 ans. Nous offrons ainsi une transparence sur les charges à venir et une sécurité contre l’inflation.
Nous avons tous entendu parler des différentes aides que l’État a mis en place durant la crise énergétique. Comment avez-vous agi pour vos clients ?
Les aides de l’État ont connu plusieurs évolutions pensant la crise, il y a eu plusieurs réformes. Beaucoup d’entreprises nous ont fait part de leur détresse quant à la compréhension de celles-ci, et sur la réalisation des démarches pour en bénéficier. Nous avons entrepris, avec nos clients, l’ensemble des actions nécessaires pour obtenir ces aides et subventions, comme l’amortisseur électricité et le bouclier tarifaire. Nous avons réalisé un suivi rigoureux sur leur application au niveau des factures fournisseurs, pour être certains que ces aides aient été bien appliquées sur la vie des contrats. Aucune facturation n’a été faite à nos clients pour ces démarches.
En parallèle, nous avons également traité des dossiers plus complexes, à déposer auprès des impôts, liés au Plan de résilience (appelé également aide guichet électricité/gaz). Pour ce service, nous avons opté pour une facturation juste, sans aucun frais de dossier ni aucune avance de trésorerie : seulement un pourcentage, entre 10 et 20 %, du montant des subventions récupérées, une fois celles-ci perçues par le client. Nous avons par exemple récupéré pas loin de 100 K€ de subventions pour la société Paul Ricard. Ce dossier était très intéressant ; c'est un client à qui nous avons pu apporter une superbe valeur ajoutée.
Ces aides cumulées ont permis de réaliser jusqu’à 40 % de réduction des factures pour certaines entreprises. C’était plus que nécessaire pour éviter le pire à beaucoup d’entre elles.
Qu’en est-il du décret tertiaire, vu parfois comme un vrai casse-tête ?
Le Décret Tertiaire, c’est une obligation qui impose aux propriétaires et occupants de bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m² d’atteindre des objectifs décennaux de réduction de consommation énergétique. Cette réglementation prévoit 60 % d'économies d'énergie par infrastructure à l’horizon 2050.
Chaque cas étant différent, les objectifs doivent être évalués selon l’efficacité énergétique des bâtiments. En revanche, ce qui est important, c’est de suivre et rapporter annuellement vos consommations d'énergies, sur la plateforme dédiée OPERAT. Si vous n’avez pas en interne du personnel dédié, il est aussi important de vous faire accompagner pour correctement et intelligemment déclarer, et surtout pour atteindre ces objectifs décennaux.
Pour les entreprises concernées par ce décret, faites attention à ne pas prendre trop de retard sur ces démarches, car elles pourront s’avérer coûteuses. En effet, l’État a déjà prévu des sanctions, sous forme d’amendes et de "name shaming" ; qui pourrait par exemple directement impacter votre note auprès de la Banque de France. N’hésitez pas à nous joindre pour échanger.
Comment percevez-vous l’évolution du marché de l’énergie ?
Les marchés de l’énergie restent plutôt incertains et assez volatils. Il y a de nombreux éléments et paramètres qui peuvent impacter directement ou indirectement les prix de gros, comme les conflits au Moyen-Orient, les décisions politiques françaises et européennes, la disponibilité de notre parc nucléaire (nous avons subi des problèmes importants de corrosion sur de nombreuses centrales ces dernières années, ce qui avait forcément résulté en une baisse significative de la production), la météo, etc.
Si lְ’hiver s’avère par exemple particulièrement froid et long, les besoins en gaz augmentent, pouvant engendrer des problèmes d’approvisionnement. Et par conséquent, une hausse des marchés gaz et électricité, puisque ces deux marchés sont corrélés.
Il y a des points positifs, comme le développement croissant des énergies renouvelables, notamment le solaire, les investissements dans les centrales nucléaires de nouvelle génération (EPR2) comme celle de Flamanville, qui a enfin pu être inaugurée. Nous espérons pouvoir compter sur plusieurs nouvelles paires dans les années 2030. Tous ces efforts sont précieux.
Cependant, à mon sens, dans les 10 prochaines années, nous avons plus de raisons de croire que les prix de l’électricité et du gaz TTC vont augmenter. L’électricité, notamment parce que la demande augmente plus vite que les moyens de production, qu’il faut continuer de financer. De plus, l’inflation et la dette sont bien réelles.
Le gaz, c'est un peu différent. Être amené à en consommer moins risque de résulter en une augmentation de son coût. Pourquoi ? Parce que même si nous en consomme moins, les infrastructures qui permettent d’acheminer le gaz jusqu’à ses consommateurs partout en France doivent absolument être maintenues, voire rénovées dans le temps.
Et malheureusement, s’il y a, par exemple et pour faire simple, deux fois moins de consommateurs de gaz, il y a aussi deux fois moins de contribuables. L'État et les gestionnaires de réseau doivent donc maintenir la même étendue d'infrastructure, mais avec moins de recettes. Ils seront donc obligés de facturer un cout unitaire plus important.
Aujourd’hui, un indicateur qui est assez parlant, c’est le Tarif Réglementé de Vente de l’Électricité (TRVE ou 'Tarif Bleu' de chez EDF), qui est, entre autres, déterminé par l’État, et qui connait généralement deux évolutions / an, au 1er février et au 1er août de chaque année.
Cet index est un reflet du marché passé et du marché actuel d’électricité. Donc, par exemple, si nous parvenons à négocier des tarifs à 10, 20 ou 30 % en dessous du TRVE, et à les fixer sur plusieurs années, c’est un signe que les marchés sont favorables et une stratégie avantageuse en plus d’une sécurité budgétaire pour nos clients. Même si le TRVE peut baisser, il a quand même tendance à croître, comme en témoigne son évolution historique. Il y a cinq ans, son prix était pratiquement 2 fois moins cher...
Avez-vous un mot de la fin ?
Le secteur du conseil et du courtage en énergie souffre parfois, et malheureusement, d’une mauvaise réputation en raison d'un manque de régulation et d'individus qu'on pourrait qualifier de frauduleux. Comme dans tout domaine d'activité, on trouve des professionnels sérieux, et d'autres qui le sont moins. C’est une des raisons pour lesquelles, chez Optimium, on s’efforce à faire plus, à faire mieux, tous les jours, à apporter de la valeur, des conseils justes, des conseils proches et des conseils pros. On fait la différence et c'est pour cela que nos clients nous suivent depuis des années.
Donc pour toute entreprise, association ou syndicat de copropriété qui ressent un besoin d'étudier simplement ses coûts d'énergies, pensez à nous joindre pour échanger. Vous trouverez toutes les informations et nos coordonnées sur notre site internet : www.optimium.fr
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