Haomy : le textile de décoration responsable

Selon une étude Allied Market Research, le marché de la décoration d'intérieur représente 13,2 milliards de dollars. Néanmoins, à l’heure où la problématique écologique modifie les usages notamment dans le textile d’intérieur, certains acteurs n’hésitent pas à s’engager. Haomy est l’un d’entre eux et mise à la fois sur le design et l’éco-responsabilité.

Rendre au textile ses lettres de noblesse

Pour Lionel Dubos, président de Haomy, il était important de sublimer le linge de maison, par le design et par les matières : “ nous nous sommes rendus compte que le linge de maison avait uniquement un seul usage, celui d’être utile. Selon nous, un torchon ou un drap de lit doit être utile et beau ! ”. Pour cela toutes les gammes de la marque ont été repensées et l’utilisation du lin a été privilégiée.

Fibre naturelle et écologique, le lin est connu pour ses propriétés polyvalentes et résistantes, mais il permet également de sublimer les couleurs et la finition des produits. À la suite de son utilisation, Haomy souhaite remettre sur le devant de la scène ces produits linisés et file droit vers le continent américain pour les présenter. Le linge de maison devient subitement un pilier de la décoration d’intérieur.

S’engager écologiquement

En utilisant le lin, la marque avance sur l'échiquier écologique. “ L’absence de produits nocifs dans le processus de fabrication caractérise nos nouvelles gammes, ce sont des confections réalisées au sein d’installations respectueuses de l’environnement avec des prestataires-partenaires socialement responsables ”, indique le dirigeant.

D’ailleurs, l’entreprise a sélectionné de nouveaux fournisseurs axés sur l’économie énergétique et sensibles au recyclage de l’eau. Haomy vise aujourd’hui 80% des produits labellisés Made in Green et Oeko-tex standard 100. “ D’ailleurs, toutes les sociétés avec lesquelles nous travaillons ont des normes RSE importantes où même les chutes de fil à coudre sont recyclées ! ”, conclut Lionel Dubos.

Principalement produite en Europe, cette fibre végétale naturelle ne représente que 0,4 % de l’offre mondiale de fibres textiles. Devant elle se trouvent le polyester et le coton. Avec un budget de 542 euros par an et par Français alloué à la décoration, la tendance ne peut que tisser sa toile.

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