La répression des fraudes épingle les influenceuses Léna Guillou et Léa Djadja

Ce vendredi, la répression des fraudes (DGCCRF) a publié de nouvelles injonctions concernant des influenceuses, coupables de ne pas avoir respecté les règles concernant les pratiques commerciales. Cette fois, c'est Léna Guillou (537.000 abonnés sur Instagram) et Léa Djadja (410.000 abonnés sur Instagram) qui ont été épinglées.
"Toute publication relevant d’un partenariat commercial rémunéré doit permettre d’identifier son caractère de publicité et la personne pour le compte de qui elle est réalisée" rappelle la DGCCRF sur X (ex-Twitter).
Concernant Léa Guillou, rendue célèbre par la téléréalité, il lui est reproché d'avoir été "rémunérée par des partenaires commerciaux pour promouvoir leurs produits ou services dans ses publications" sans que les publications en question ne mentionnent leur intention commerciale.
Concernant Léa Djadja, la DGCCRF évoque "des contreparties sous forme de produits en gratuité par des partenaires commerciaux afin de promouvoir leurs produits dans ses publications". Là encore, "les publications en question ne mentionnaient pas leur intention commerciale."
La répression des fraudes a déjà cité 14 influenceurs pour des raisons similaires. Le 10 août dernier, elle a encore rappelé à l'ordre quatre influenceuses françaises, pour diverses pratiques illégales: Amandine Pellissard (370.000 abonnés sur Instagram), Mélanie ORL (777.000 abonnés), Fanny SNL (70.500 abonnés) et Feliccia Gul (488.000 abonnés).