Comment le jeu vidéo No Man's Sky profite de la sortie de Starfield

La sortie de l'aventure spatiale Starfield a remis sur le devant de la scène un titre paru en 2016, No Man's Sky. Selon son créateur, le jeu réalise son meilleur mois des dernières années.

Le lancement raté de No Man's Sky n'est plus qu'un lointain souvenir. Aujourd'hui, le titre de Hello Games compte une vingtaine d'extensions gratuites. Autant d'ajouts qui ont permis de corriger ses nombreux bugs, présents à sa sortie en août 2016, qui avaient gâché la promesse initiale du jeu: une exploration libre et sans limite d'un gigantesque monde spatial.

Une description qui rappelle le récent Starfield. L'exclusivité de Microsoft, disponible sur Xbox et PC, plonge également le joueur au cœur d'une aventure spatiale, où l'exploration occupe une grande part. Disponible depuis le 6 septembre, Starfield est d'ores et déjà le plus grand lancement de son développeur Bethesda Game Studios, avec plus de 6 millions de joueurs en l'espace d'une semaine.

Disponible sur toutes les plateformes

Pourtant, No Man's Sky profite largement de ce succès. Le créateur du jeu, Sean Murphy, a révélé sur Twitter (rebaptisé X) que le titre réalise en ce moment le meilleur mois depuis quelques années.

Il précise que le jeu est disponible sur toutes les plateformes. Comme Starfield, il est disponible sur Xbox, PC et a intégré le catalogue du Game Pass. Mais surtout, il constitue une alternative parfaite pour l'ensemble des possesseurs de PlayStation et de Switch. No Man's Sky est même jouable sur Mac et en réalité virtuelle.

Surtout, le jeu (et ses 7 années d'existence) propose aujourd'hui un contenu riche et sans cesse agrémenté de nouveautés. C'est d'ailleurs le cas avec la dernière extension Echo qui a permis d'ajouter une nouvelle espèce secondaire à l'univers du jeu: les Autophages. Il s'agit d'êtres robotiques que le joueur sera amené à rencontrer, apprivoiser et comprendre au cours de son voyage, parmi les milliards de milliards de planètes que compte le titre.

Pierre Monnier