Lego sort un Game Boy, mais n'espérez pas jouer avec...

Lego sort sa réplique d'une console mythique de Nintendo, un Game Boy, composé des légendaires briques. S'il est possible de changer "les écrans", l'objet est purement décoratif puisqu'on ne peut pas jouer dessus.

Quand briques et pixels se rencontrent. Annoncée en janvier dernier, Lego lève enfin le voile sur son propre Game Boy. Repérée par The Verge, la console de Nintendo, vieille de 36 ans, aura bientôt le droit à sa réplique en briques.

Elle est fournie avec deux "cartouches" de jeu, Super Mario Land et Link's Awakening. Mais si vous pensiez pouvoir lancer une partie sur l'appareil, préparez-vous à être déçu. Les jeux, comme la console, sont purement décoratifs, il est impossible de jouer avec. Du moins jusqu'à ce qu'un bricoleur de génie s'en occupe...

Une réplique fidèle

Avec un certains souci du détail, le Game Boy de Lego est à peu près similaire en termes de dimensions à son modèle. On retrouve l'ensemble des boutons d'origine, y compris les ports sur le côté et la fente pour insérer les cartouches à l'arrière.

Lego a tout de même pensé à rendre son écran un minimum interactif. Il reprend l'aspect vert kaki original de la console. La console portable s'accompagne d'un lot de trois tuiles interchangeables représentant l'écran d'accueil de la console et les jeux Super Mario Land et Link's Awakening. Ces répliques d'écran sont en impression lenticulaire, c'est-à-dire que l'image change selon l'angle avec lequel on la regarde.

Pour accompagner la sortie de cette fausse console portable, Nintendo et Lego sont allés jusqu'à recréer une ancienne publicité, diffusée en 1989.

Lego et Nintendo nous ont habitués à de nombreuses collaborations. Aujourd'hui, le fabricant de jouet compte plusieurs kits de construction en lien avec la licence Mario, mais aussi The Legend of Zelda, Pokémon et Animal Crossing.

Ce Game Boy en brique arrivera en France le 1er octobre 2025. Il faudra compter une soixantaine d'euros pour s'offrir ce shot de nostalgie en kit à construire.

Théotim Raguet