Etats-Unis : Le rebond de l'immobilier n'est pas pour tout de suite...

Soit, de mi/fin 2009 à fin 2012, l’éclatement des « trois ours », à savoir les bulles sur les marchés d’actions, des matières premières et… de l’immobilier.
Regardant l’évolution des prix de l’immobilier mesurés par l’économiste Robert Schiller, professeur à l’Université de Yale, Harry Dent évalue à 40 à 50 % l’ampleur de la baisse nécessaire pour « un retour à la réalité ». Or, depuis leurs plus hauts, au deuxième trimestre 2006, les prix n’ont perdu qu’un peu plus de 30 %. L’ajustement devrait donc se poursuivre au cours de la prochaine décennie, à mesure que la génération du Baby Boom limitera ses dépenses, estime-t-il.
V.J.