Présentation à l'ASCO des résultats d'une étude comparant un traitement combiné de REVLIMID® à la transplantation de cellules souches autologues avec ou sans maintien de REVLIMID...

Présentation à l'ASCO des résultats d'une étude comparant un traitement combiné de REVLIMID® à la transplantation de cellules souches autologues avec ou sans maintien de REVLIMID...chez les patients atteints de myélome multiple nouvellement diagnostiqué
MEL200 a indiqué une durée médiane de SSP et de SG plus longue par rapport à l'association MPR dans l'étude
Le traitement de maintien à REVLIMID a indiqué une réduction statistiquement significative du risque de progression de la maladie et une amélioration importante de la survie globale, quel que soit le traitement précédent
Celgene International Sàrl, filiale en propriété exclusive de Celgene Corporation (NASDAQ : CELG), a annoncé aujourd'hui que les résultats d'une étude comparant un traitement en association de melphalan, prednisone et REVLIMID (lénalidomide) (MPR) à une chimiothérapie à dose élevée combinée à une transplantation de cellules souches autologues (MEL200), et évaluant l'effet du maintien du lénalidomide chez les patients atteints d'un myélome multiple nouvellement diagnostiqué, ont été présenté au cours d'une session orale, le 3 juin dernier, à l'occasion du congrès annuel 2013 de l'American Society of Clinical Oncology (ASCO) qui s'est tenu à Chicago, dans l'Illinois.
Dans cette étude, réalisée par le Gruppo Italiano Malattie EMatologiche dell'Adulto (GIMEMA) et présentée par l'investigateur principal, le professeur Antonio Palumbo, chef de l'unité du myélome au service d'oncologie de l'université de Turin, un total de 402 patients ont reçu quatre traitements de 28 jours de lénalidomide et de dexaméthasone à faible dose, puis ont été randomisés pour recevoir six cycles de MPR (n=202) ou de MEL200 (n=200), et soit un traitement de maintien au lénalidomide, soit un suivi par observation.
Après un suivi médian de 49 mois post-diagnostic, la durée médiane de survie sans progression (SSP), le critère d'évaluation principal de l'étude, était de 24 mois avec MPR, contre 38 mois avec MEL200 (HR 1,69, p
Dans l'analyse de maintien, avec un suivi médian à 35 mois, les patients recevant du lénalidomide en traitement de maintien, quel que soit le schéma thérapeutique, présentaient une durée moyenne de SSP de 37 mois, contre 26 mois pour les patients en observation (HR 0,52, p
Les événements indésirables de grades 3/4 les plus courants observés pendant la phase de maintenance de l'étude étaient la neutropénie (23 %), la toxicité cutanée (5 %), les infections (4 %), les secondes tumeurs primitives (4 %), la thrombocytopénie (4%), la diarrhée (3 %), la fatigue (3 %) et l'anémie (2 %).
Ces résultats sont issus d'une étude expérimentale. REVLIMID® n'est pas approuvé pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple nouvellement diagnostiqué.
À propos de REVLIMID
REVLIMID est approuvé en combinaison avec la dexaméthasone pour le traitement de patients atteints d'un myélome multiple qui ont bénéficié préalablement d'au moins un traitement dans près de 70 pays, notamment en Europe, aux Amériques, au Moyen-Orient et en Asie, et en association avec la dexaméthasone pour le traitement de patients dont la maladie a progressé après un traitement en Australie et en Nouvelle-Zélande.
REVLIMID est également approuvé aux États-Unis, au Canada, en Suisse, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans plusieurs pays d'Amérique latine, ainsi qu'en Malaisie et en Israël pour l'anémie avec dépendance transfusionnelle du fait de SMD de risque faible ou intermédiaire 1 associé à une anomalie cytogénétique de délétion 5q avec ou sans anomalies cytogénétiques supplémentaires. Des dossiers d'autorisation de mise sur le marché sont en cours d'évaluation dans un certain nombre d'autres pays.
Informations réglementaires pour Revlimid aux États-Unis
REVLIMID® (lénalidomide) est approuvé, en combinaison avec la dexaméthasone, pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple (MM) qui ont bénéficié préalablement d'au moins un traitement.
REVLIMID® (lénalidomide) est indiqué pour le traitement des patients atteints d'anémie avec dépendance transfusionnelle due à des syndromes myélodysplasiques de risque faible à intermédiaire 1 associé à une délétion 5q avec ou sans autres anomalies cytogénétiques.
Informations importantes de sécurité
AVERTISSEMENT : TOXICITÉ EMBRYO-FŒTALE, TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE et THROMBO-EMBOLIE VEINEUSE
TOXICITÉ EMBRYO-FŒTALE
Ne pas utiliser REVLIMID en cours de grossesse. Le lénalidomide, un analogue de la thalidomide, a généré des anomalies des membres lors d'une étude du développement chez les singes. La thalidomide est un tératogène humain connu qui provoque des anomalies congénitales graves et potentiellement mortelles chez les humains. La prise de lénalidomide en cours de grossesse peut entraîner des anomalies congénitales ou le décès de l'embryon ou du fœtus. Chez les femmes en âge de procréer, obtenir 2 tests de grossesse négatifs avant de démarrer un traitement sous REVLIMID. Les femmes en âge de procréer doivent employer 2 formes de contraception ou s'abstenir de rapports hétérosexuels de façon continue pendant un traitement sous REVLIMID et pendant 4 semaines par la suite. Pour éviter une exposition fœtale au lénalidomide, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme de distribution restreinte appelé REVLIMID REMS™ (anciennement « RevAssist® »).
Des informations sur le programme REVLIMID REMS™ sont disponibles sur le site www.celgeneriskmanagement.com ou en appelant le numéro gratuit du fabricant : 1-888-423-5436.
TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE (neutropénie et thrombocytopénie)
REVLIMID peut entraîner une neutropénie et une thrombocytopénie graves. Chez 80 % des patients atteints d'un SMD associé à une délétion 5q, il a été nécessaire de retarder/réduire le dosage au cours de l'étude principale. Chez 34 % des patients, un deuxième report ou une deuxième réduction de dosage a été nécessaire. Une toxicité hématologique de grade 3 ou 4 a été observée chez 80 % des patients participant à l'étude. L'hémogramme complet de patients traités pour un SMD associé à une délétion 5q doit être surveillé chaque semaine pendant les 8 premières semaines de traitement, puis au moins une fois par mois par la suite. Une interruption et/ou une réduction du dosage peuvent être nécessaires. L'utilisation de produits sanguins et/ou de facteurs de croissance peut également s'avérer utile.
THROMBO-EMBOLIE VEINEUSE
REVLIMID a démontré un risque considérablement accru de thrombose veineuse profonde (TVP) et d'embolie pulmonaire (EP) chez les patients atteints de MM qui ont été traités par une polythérapie à REVLIMID et à la dexaméthasone. Il est conseillé aux patients et aux médecins de surveiller les signes et symptômes de thrombo-embolie. Il faut recommander aux patients de consulter un médecin s'ils développent des symptômes tels qu'un manque de souffle, des douleurs thoraciques ou une tuméfaction des bras ou des jambes. On ignore si un traitement prophylactique anticoagulant ou antiplaquettaire prescrit en conjonction avec REVLIMID pourrait réduire le risque d'événements de thrombo-embolie. La décision de prendre des mesures prophylactiques doit être prise avec prudence, après une évaluation des facteurs de risques sous-jacents de chaque patient.
CONTRE-INDICATIONS
Grossesse :
REVLIMID peut nuire au fœtus s'il est administré à une femme enceinte. Le lénalidomide est contre-indiqué chez les femmes enceintes. Si ce médicament est administré pendant la grossesse ou si une grossesse survient pendant l'administration de ce médicament, il faut évaluer chez la patiente les dangers possibles encourus par le fœtus.
Réactions allergiques :
REVLIMID est contre-indiqué chez les patients qui ont manifesté une hypersensibilité (par ex. angiœdème, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell) au lénalidomide.
AVERTISSEMENTS ET MISES EN GARDE
Toxicité embryo-fœtale :
REVLIMID est un analogue de la thalidomide, un tératogène humain connu qui génère des anomalies congénitales potentiellement mortelles chez les humains. Une étude sur le développement embryo-fœtal chez des primates non humains indique que le lénalidomide produit des malformations chez les petits des guenons qui ont reçu le médicament en cours de grossesse, similaires aux anomalies congénitales observées chez les humains suite à une exposition à la thalidomide en cours de grossesse.
Femmes en âge de procréer : elles doivent éviter une grossesse pendant au moins 4 semaines avant le début du traitement au REVLIMID, pendant le traitement, au cours des interruptions de traitement et pendant au moins 4 semaines après la fin du traitement. Elles doivent s'engager à s'abstenir de façon continue à tout rapport hétérosexuel ou à utiliser deux méthodes contraceptives efficaces pendant au moins 4 semaines avant le début du traitement au REVLIMID, pendant le traitement, au cours des interruptions de traitement et pendant 4 semaines après l'arrêt d'un traitement au REVLIMID. Elles doivent obtenir 2 tests de grossesse négatifs avant le début du traitement.
Hommes : le lénalidomide est présent dans le sperme des patients traités. Les patients sous REVLIMID doivent toujours utiliser un préservatif en latex ou synthétique en cas de rapport sexuel avec des femmes en âge de procréer, pendant au moins 28 jours après l'interruption du traitement, même s'ils ont subi une vasectomie réussie. Les patients sous REVLIMID ne doivent pas procéder à des dons de sperme.
Dons de sang : les patients ne doivent pas faire don de leur sang au cours du traitement au REVLIMID et pendant 1 mois après l'interruption du médicament, car leur sang peut être administré à une femme enceinte dont le fœtus pourrait être exposé à REVLIMID.
Programme REVLIMID REMS™
En raison du risque embryo-fœtal, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme spécial de stratégie d'évaluation et d'atténuation des risques (REMS), le programme REVLIMID REMS (anciennement appelé « RevAssist® »). Les personnes autorisées à prescrire des médicaments et les pharmaciens inscrits au programme doivent signer un accord et se conformer aux conditions. Pour en savoir plus sur le programme REVLIMID REMS, rendez-vous sur le site www.celgeneriskmanagement.com ou appelez le 1-888-423-5436.
Toxicité hématologique—Myélome multiple : le REVLIMID peut provoquer des neutropénies et des thrombocytopénies graves. Les patients traités par REVLIMID pour un myélome multiple (MM) doivent subir une numération globulaire complète toutes les deux semaines pendant les douze premières semaines, puis une fois par mois par la suite. Dans les études groupées sur le myélome multiple, les toxicités hématologiques de grades 3 et 4 étaient plus fréquentes chez les patients traités avec une combinaison de REVLIMID et de dexaméthasone que chez les patients traités par la dexaméthasone seule. Il peut s'avérer nécessaire d'interrompre et/ou de réduire le dosage.
Thrombo-embolie veineuse : des cas de thrombo-embolie veineuse (principalement thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire) sont survenus chez des patients atteints de MM traités avec une polythérapie au lénalidomide et des patients atteints de SMD traités par monothérapie au lénalidomide.
Réactions allergiques : des angiœdèmes et des réactions dermatologiques graves, notamment le syndrome de Stevens-Johnson et le syndrome de Lyell, ont été signalés. Ces événements peuvent être fatals. Les patients présentant des antécédents d'éruption cutanée de grade 4 associée à un traitement à la thalidomide ne doivent pas recevoir de REVLIMID. L'interruption ou l'arrêt de REVLIMID doit être considéré en cas d'éruptions cutanées de grades 2 à 3. REVLIMID doit être interrompu en présence d'angiœdème, d'éruptions cutanées de grade 4, d'éruptions cutanées érythrodermiques ou bulleuses ou si on suspecte un syndrome de Stevens-Johnson ou un syndrome de Lyell, et il ne doit pas être repris suite à un arrêt dû à ces réactions. Les gélules de REVLIMID contiennent du lactose. Les risques et les bienfaits du traitement au REVLIMID doivent être évalués chez les patients présentant une intolérance au lactose.
Syndrome de lyse tumorale : des cas de décès dus au syndrome de lyse tumorale ont été signalés en cours de traitement au lénalidomide. Les patients courant le risque de contracter le syndrome de lyse tumorale sont ceux qui présentent une charge tumorale élevée avant le traitement. Ces patients doivent être surveillés de près et les mesures appropriées doivent être prises.
Flambée tumorale : des cas de flambée tumorale se sont produits au cours de l'utilisation expérimentale du lénalidomide contre la leucémie lymphoïde chronique (LLC) et le lymphome, caractérisés par un gonflement des ganglions lymphatiques sensibles, une légère fièvre, des douleurs et des éruptions cutanées. Il est déconseillé de traiter la LLC ou le lymphome avec du lénalidomide en dehors d'un essai clinique étroitement surveillé.
Hépatotoxicité : des cas d'anomalies passagères de la fonction hépatique lors de tests en laboratoire (principalement les transaminases) ont été signalés chez des patients traités au lénalidomide. Le traitement au lénalidomide doit être interrompu jusqu'à ce que les niveaux retournent à la normale. Une reprise réussie du traitement sans récurrence d'élévation des tests hépatiques a été signalée chez certains patients.
Deuxièmes malignités primaires : les patients atteints d'un MM traités au lénalidomide lors d'études incluant le melphalan et la transplantation de cellules souches ont connu une incidence supérieure de deuxièmes malignités primaires, particulièrement la leucémie myélogène aiguë (LMA) et le lymphome de Hodgkin, par rapport aux patients inclus dans les groupes témoins qui ont reçu un traitement similaire, sans toutefois recevoir du lénalidomide. Surveiller le développement de toute deuxième malignité chez les patients. Tenir compte du bienfait potentiel du lénalidomide mais aussi du risque de deuxièmes malignités primaires lorsqu'un traitement au lénalidomide est envisagé.
EFFETS INDÉSIRABLES
Myélome multiple
Dans le groupe de traitement REVLIMID/dexaméthasone, 269 patients (76 %) ont interrompu le dosage au moins une fois avec ou sans réduction de dosage du REVLIMID, contre 199 patients (57 %) dans le groupe de traitement placebo/dexaméthasone.
Parmi les patients qui ont interrompu le dosage avec ou sans réduction de dosage, 76 % (269 patients sur 353) contre 57 % (199 patients sur 350), 50 % dans le groupe de traitement REVLIMID/dexaméthasone ont arrêté le dosage encore une fois au moins avec ou sans réduction de dosage, contre 21 % dans le groupe de traitement placebo/dexaméthasone.
La plupart des événements indésirables et des événements indésirables de grade 3/4 étaient plus fréquents chez les patients atteints de MM qui ont reçu la polythérapie à base de REVLIMID/dexaméthasone que chez ceux sous traitement placebo/dexaméthasone.
Des cas de neutropénie de grade 3/4 se sont produits chez 33,4 % des patients contre 3,4 % ; 2,3 % ont été affectés par une neutropénie fébrile de grade 3/4 contre 0 % dans le groupe REVLIMID/dexaméthasone par rapport au groupe placebo/dexaméthasone, respectivement.
Des cas de thrombose veineuse profonde (TVP) ont été signalés comme une réaction médicamenteuse indésirable grave (7,4 %) ou de grade 3/4 (8,2 %) dans le groupe de traitement REVLIMID/dexaméthasone, contre 3,1 % et 3,4 % dans le groupe placebo/dexaméthasone. Des interruptions liées à la TVP ont été signalées à des taux comparables entre les groupes.
Des cas d'embolie pulmonaire (EP) ont été signalés comme une réaction médicamenteuse indésirable grave (3,7 %) ou de grade 3/4 (4,0 %) dans le groupe de traitement REVLIMID/dexaméthasone, contre 0,9 % et 0,9 % dans le groupe placebo/dexaméthasone. Des interruptions liées à l'EP ont été signalées à des taux comparables entre les groupes.
Effets indésirables signalés chez ≥ 15 % des patients atteints de MM (REVLIMID/dexaméthasone contre dexaméthasone/placebo) : fatigue (44 % contre 42 %), neutropénie (42 % contre 6 %), constipation (41 % contre 21 %), diarrhée (39 % contre 27 %), crampes musculaires (33 % contre 21 %), anémie (31 % contre 24 %), pyrexie (28 % contre 23 %), œdème périphérique (26 % contre 21 %), nausées (26 % contre 21 %), douleurs dorsales (26 % contre 19 %), infection des voies respiratoires supérieures (25 % contre 16 %), dyspnée (24 % contre 17 %), vertiges (23 % contre 17 %), thrombocytopénie (22 % contre 11 %), éruptions cutanées (21 % contre 9 %), tremblements (21 % contre 7 %), perte de poids (20 % contre 15 %), nasopharyngite (18 % contre 9 %), vision trouble (17 % contre 11 %), anorexie (16 % contre 10 %) et dysgueusie (15 % contre 10 %).
Syndromes myélodysplasiques
La thrombocytopénie (61,5 % ; 91 patients sur 148) et la neutropénie (58,8 % ; 87 patients sur 148) étaient les événements indésirables les plus souvent signalés dans le groupe SMD associé à une délétion 5q.
Les événements indésirables de grades 3 et 4 signalés chez ≥ 5 % des patients atteints de SMD associé à une délétion 5q étaient : neutropénie (53 %), thrombocytopénie (50 %), pneumonie (7 %), éruption cutanée (7 %), anémie (6 %), leucopénie (5 %), fatigue (5 %), dyspnée (5 %) et douleurs dorsales (5 %).
Autres événements indésirables signalés chez ≥ 15 % des patients atteints de SMD associé à une délétion 5q (REVLIMID) : diarrhée (49 %), prurit (42 %), éruptions cutanées (36 %), fatigue (31 %), constipation (24 %), nausée (24 %), nasopharyngite (23 %), arthralgie (22 %), pyrexie (21 %), douleurs dorsales (21 %), œdème périphérique (20 %), toux (20 %), vertiges (20 %), maux de tête (20 %), crampes musculaires (18 %), dyspnée (17 %), pharyngite (16 %), épistaxis (15 %), asthénie (15 %), infection des voies respiratoires supérieures (15 %).
INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES
Il est conseillé de surveiller régulièrement les niveaux plasmatiques de digoxine, conformément au jugement clinique et en fonction de la pratique clinique standard, chez des patients recevant ce médicament au cours de l'administration de REVLIMID. On ne sait pas s'il y a une interaction entre la dexaméthasone et la warfarine. Une surveillance étroite du temps de prothrombine (TP) et du rapport normalisé international (RNI) est recommandée chez les patients atteints de MM prenant simultanément de la warfarine. Les agents érythropoïétiques ou d'autres, susceptibles d'augmenter le risque de thrombose, comme des traitements contenant des œstrogènes, doivent être utilisés avec prudence chez les patients atteints de MM auxquels on administre du lénalidomide et de la dexaméthasone.
UTILISATION DANS DES GROUPES SPÉCIFIQUES
Grossesse : en cas de grossesse au cours du traitement, interrompre immédiatement la prise du médicament. Dans ces cas, conseiller à la patiente de consulter un obstétricien/gynécologue spécialisé dans la toxicité reproductive pour une évaluation et des conseils plus approfondis. Toute exposition fœtale suspectée au REVLIMID doit être signalée à la FDA par l'intermédiaire du programme MedWatch en appelant le 1-800-332-1088, ainsi qu'à Celgene Corporation au 1-888-423-5436.
Femmes allaitantes : on ne sait pas si le REVLIMID est excrété dans le lait humain. Puisqu'un grand nombre de médicaments passent dans le lait maternel et du fait du risque d'effets indésirables chez les enfants allaités, il faut décider si l'arrêt du médicament ou de l'allaitement est préconisé, en tenant compte de l'importance du médicament pour la mère.
Utilisation chez les enfants : l'innocuité et l'efficacité chez les enfants de moins de 18 ans n'ont pas été établies.
Utilisation chez les personnes âgées : comme les patients âgés ont tendance à avoir une fonction rénale réduite, il convient d'être prudent dans la sélection du dosage et de surveiller la fonction rénale.
Insuffisance rénale : comme REVLIMID passe principalement sans changement dans les reins, des ajustements de la dose de REVLIMID au départ sont recommandés pour une exposition appropriée au médicament chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (CLcr 30 à 60 ml/min) ou grave (CLcr < 30 ml/min) et chez les patients sous dialyse.
Veuillez consulter l'intégralité des informations de prescription, notamment les AVERTISSEMENTS figurant sur l'emballage ainsi que les CONTRE-INDICATIONS, les AVERTISSEMENTS ET MISES EN GARDE et les EFFETS INDÉSIRABLES.
À propos de Celgene
Celgene Corporation, dont le siège social se trouve à Summit, dans l'État du New Jersey, est une société pharmaceutique internationale intégrée qui se consacre principalement à la découverte, au développement et à la commercialisation de thérapies innovantes pour le traitement du cancer et des maladies inflammatoires au moyen de la régulation génétique et protéinique. Celgene International Sàrl, située à Boudry, en Suisse, est une filiale en propriété exclusive et le siège international de Celgene Corporation. Pour des informations complémentaires, veuillez vous rendre sur le site de la société à l'adresse www.celgene.com.
Énoncés prospectifs
Le présent communiqué de presse renferme des énoncés prospectifs qui ne constituent pas des faits historiques. Ces énoncés prospectifs peuvent être identifiés par les mots « table sur », « anticipe », « pense », « prévoit », « estime », « envisage », « a l'intention de », « s'attend à » et d'autres expressions similaires. Ces énoncés prospectifs sont fondés sur les prévisions, estimations, projections et hypothèses actuelles de la direction, et ne sont valables qu'à la date du présent communiqué. Nous n'assumons aucune obligation d'actualiser ces énoncés prospectifs, que ce soit en raison de nouvelles informations ou d'événements futurs, sauf si la loi l'exige. Ces énoncés prospectifs impliquent des incertitudes et des risques inhérents dont la plupart sont difficiles à prévoir et échappent généralement à notre contrôle. Les résultats réels peuvent être sensiblement différents de ceux sous-entendus dans ces énoncés prospectifs en raison de l'impact d'un certain nombre de facteurs importants, notamment ceux évoqués plus en détail dans notre rapport annuel sur formulaire 10-K et dans les autres rapports déposés auprès de la SEC (la commission américaine de contrôle des opérations boursières).
Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Celgene
Investisseurs :
+41 32 729 8303
ir@celgene.com
ou
Presse :
+41 32 729 8304
media@celgene.com