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Réunions en séries ce lundi à Matignon
En guise de réponse de crise, le président Macron a demandé au Premier ministre de recevoir les chefs de partis représentés au Parlement et des représentants des "gilets jaunes. La maire PS de Paris, Anne Hidalgo, doit être reçue la première lundi matin dès 8h30.
Le président LR Laurent Wauquiez, le patron du PS Olivier Faure, et la présidente du RN Marine Le Pen, seront ensuite parmi les premiers chefs de partis reçus ce lundi par Edouard Philippe, rapporte l'AFP. Olivier Faure est attendu à 10h à Matignon, Laurent Wauquiez à 10h45, alors que la cheffe du RN doit être reçue à 15h par Edouard Philippe, a-t-on appris auprès de ces trois dirigeants.
Parmi les autres chefs de partis, David Cormand (EELV) est attendu à Matignon à 11h30, Stanislas Guerini (LREM) à 12h, Jean-Christophe Lagarde (UDI) à 13h30, Benoît Hamon (Génération-s) à 15h30, Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) à 16h. Suivront dans l'après-midi, Franck Riester (Agir) à 16h30, Marielle de Sarnez (vice-présidente du MoDem) à 17h15, Florian Philippot (Les Patriotes) à 18h et Fabien Roussel (PCF) à 19h30. Aucun horaire n'était disponible dans l'immédiat concernant Jean-Luc Mélenchon (LFI).
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"Je souhaite qu'il y ait un état d'urgence" déclare Sylvain Maillard
Le député LaREM de Paris Sylvain Maillard a déclaré ce dimanche soir sur BFMTV qu'il souhaitait que l'état d'urgence soit mis en place, pour ne pas "revivre les scènes d'apocalypse que nous avons vécu. On ne peut pas revivre un samedi supplémentaire comme cela."
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Des stations-services à sec en Bretagne
Beaucoup de stations-services du Finistère et du Morbihan sont en rupture totale ou partielle de carburant dimanche, conséquence du blocage des dépôts pétroliers de Lorient et Brest par des indépendants du BTP rejoints par des "gilets jaunes".
Le dépôt pétrolier de Lorient (Morbihan) est bloqué depuis le 27 novembre par des indépendants du secteur des travaux publics rejoints par des "gilets jaunes", les premiers dénonçant la fin, au 1er janvier, du gazole non routier (GNR) détaxé pour les entreprises du secteur.
Interrogée par l'AFP dimanche, la préfecture de Bretagne s'est voulue rassurante. "Nous avons quelques stations-services ainsi que des grandes surfaces à court de carburant ou en manque d'un type de carburant dans le Finistère et le Morbihan, mais il n'y a pas de risque de rupture d'approvisionnement en Bretagne", a-t-elle indiqué.
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Le procureur de Paris confirme qu'un fusil d'assaut HK G36 a été volé par des casseurs
Rémi Heitz a annoncé ce dimanche lors d'un point presse conjoint avec le préfet de Paris Michel Delpuech qu'un "fusil d'assaut"avait été dérobé par des manifestants dans des "conditions de violence inouïe." Il a également précisé que la police judiciaire avait été saisie.
En plateau, le consultant Police-Justice de BFMTV, Dominique Rizet, a confirmé l'information, soulignant qu'il s'agissait d'un "fusil d'assaut HK G36", la nouvelle arme utilisée par les policiers "depuis les attentats à Paris."
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Pour le préfet de police de Paris, les violences ont été "d'une gravité sans précédent"
Lors de son point presse de la fin de journée, Michel Delpuech a concédé que la journée de manifestation des "gilets jaunes" de ce samedi avait été marquée "par des violences d'une gravité sans précédent."
Au total, 412 personnes ont été interpellées, "un niveau jamais atteint dans les dernières décennies" a-t-il ajouté, déplorant une "violence extrême et inédite" contre les forces de l'ordre avec "des jets de marteaux", de "billes en acier" ou de "gros boulons".
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Arc de Triomphe: des centaines de milliers d'euros de dégâts
"Plusieurs centaines de milliers d'euros, voire un million" seront nécessaires afin de remettre en état le célèbre monument parisien, qui a été l'objet de nombreuses dégradations extérieures et intérieures ce samedi.
"Il y a eu un pillage méthodique des salles d'expositions, des statues, de la boutique, des toilettes. Les escaliers sont couverts de graffitis. Une maquette en plâtre des années 30 a été réduite en miette. Toutes les parois en verre sont brisées, les écrans sont crevés. Le buste en marbre de Napoléon a été décapité, le moulage de la Victoire, issu d'un haut de relief monument en pierre sculpté par François Rude, a été détruit."
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Sur Twitter, Macron salue "l'engagement" des forces de l'ordre
Quelques heures après avoir été à la rencontre de policiers et des gendarmes à proximité de la place de l'Etoile, Emmanuel Macron a de nouveau tenu, sur les réseaux sociaux, à les saluer.
"Vous ne comptez ni votre engagement ni vos heures pour protéger nos concitoyens, l’ordre public et la République. Merci pour votre courage sans faille" a-t-il détaillé.
Une réaction bienvenue alors que la grogne commence à se faire entendre parmi les policiers.
J’ai tenu à venir vous saluer. Vous ne comptez ni votre engagement ni vos heures pour protéger nos concitoyens, l’ordre public et la République. Merci pour votre courage sans faille. pic.twitter.com/fvFfIPBRY1
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 2 décembre 2018 -
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"D'autres solutions" que le retour à l'état d'urgence pour la ministre de la Justice
Samedi soir, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner affirmait sur l'antenne de BFMTV ne "pas avoir de tabou" quant à un retour de l'état d'urgence à la suite des violents incidents qui se sont déroulés à travers la France.
Un avis qui n'est pas partagé par la ministre de la Justice Nicole Belloubet, qui affirme que "d'autres solutions" existent" tout en estimant "ne pas être certaine que nous en soyons arrivés à ce stade."
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Nicole Belloubet salue "le travail des magistrats"
Lors d'un point presse en cette fin d'après-midi, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a tenu a "saluer le travail des magistrats qui depuis aujourd'hui ont triplé leurs forces pour répondre aux exigences qui sont les nôtres."
"Dans la ligne de ce qui a déjà été annoncé, nous ne pouvons pas accepter les violences d'hier et nous devons apporter une réponse pénale extrêmement ferme, c'est pourquoi l'ensemble des magistrats sont mobilisés. Ordinairement, il y a cinq parquetiers qui travaillent, aujourd'hui ils sont quinze."
Selon elle, 372 gardes à vue sont actuellement en cours à Paris, "il y aura environ deux tiers de ces personnes qui feront l'objet d'un déférement et parmi elles des comparutions immédiates."
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Edouard Philippe invite un collectif de gilets jaunes à Matignon
Quelques minutes après qu'Emmanuel Macron ait demandé à Edouard Philippe de recevoir les chefs de partis et des gilets jaunes, Matignon a confirmé à BFMTV que le Premier ministre invitait un collectif des gilets jaunes à le rencontrer. Ce dernier avait exprimé sa volonté de nouer le dialogue avec le gouvernement.
La date de cette potentielle rencontre n'a pas encore été dévoilée, la réponses des manifestants est attendue.
Ce dimanche matin, ces gilets jaunes "modérés", dont Jacline Mouraud, avaient appelé dans le JDD à "une porte de sortie à la crise."
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Ruffin demande à Macron de "partir avant de rendre notre pays fou de rage"
Dans une déclaration lue devant la presse non loin du palais de l'Elysée à Paris, le député affilié à la France insoumise François Ruffin a appelé dimanche à la démission du président de la République, "avant de rendre notre pays fou de rage."
"Je viens rapporter ici à Paris devant l'Elysée l'état d'esprit de mes concitoyens: de la colère on est passé à la rage", a-t-il expliqué devant la presse et quelques passants rassemblés non loin de l'Elysée, au lendemain des violences en marge des manifestations des "gilets jaunes".
"L'orgueil du président de la République, sa surdité, son obstination, son absence de concession sont une machine à haine", a-t-il poursuivi.
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Macron demande à Edouard Philippe de recevoir les chefs de partis et des représentants des "gilets jaunes"
Emmanuel Macron a demandé dimanche au Premier ministre Edouard Philippe de recevoir "les chefs de partis représentés au Parlement ainsi que des représentants des manifestants", a indiqué l'Elysée au lendemain de violences dans le cadre de la mobilisation des "gilets jaunes".
Cette initiative, dont la date n'a pas été dévoilée, répond au "souci constant de dialogue" de l'exécutif, selon la présidence. Lors d'une réunion de crise à l'Elysée, le chef de l'Etat a également "souhaité qu'une réflexion soit menée par le ministre de l'Intérieur pour l'adaptation du dispositif de maintien de l'ordre dans les temps à venir".
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Le PS demande l'organisation d'un débat au Parlement "dans les meilleurs délais"
Dans un courrier adressé au Président de la République, le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, la présidente du groupe à l'Assemblée, Valérie Rabault, et le président du groupe au Sénat, Patrick Kanner, réclament que le Parlement arrête de "délibérer comme si de rien n'était". "Nous demandons à ce que son ordre du jour soit bouleversé et qu'un débat soit organisé dans nos deux assemblées dans les meilleurs délais". Une concertation avec "tous les partis politiques, les syndicats, les associations, les ONG et évidemment les représentants du mouvement des gilets jaunes".
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2 policiers blessés au péage de la Ciotat, 8 interpellations
Huit personnes ont été placées en garde à vue après de nouveaux affrontements qui ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche au péage de La Ciotat (Bouches-du-Rhône). Deux policiers ont été blessés au cours d'affrontements avec une quarantaine de "casseurs" cagoulés et casqués qui ont jeté des projectiles, a indiqué le commissaire de La Ciotat Matthieu Valet. L'un d'eux a foncé avec son scooter à deux reprises sur un des policiers qui est tombé. Le fonctionnaire qui souffre notamment de contusions à la jambe, s'est vu prescrire trois jours d'ITT. Un autre homme sur un deux roues a également tenté de foncer sur un autre policier. Les deux hommes ont été placés garde à vue pour "tentative d'homicide sur personnes dépositaires de l'autorité publique" et les six autres interpellés pour jets de projectiles, selon la même source.
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La manifestation des "gilets jaunes" à Toulouse a fait 57 blessés dont 48 policiers
Cinquante-sept personnes, dont 48 policiers, ont été blessées samedi lors de la manifestation des gilets jaunes à Toulouse, théâtre pendant plusieurs heures de face-à-face très tendus entre des groupes de manifestants et les forces de l'ordre, a annoncé dimanche la préfecture dans un communiqué. Sur les 48 policiers blessés, 5 ont été hospitalisés. Ils sont ressortis de l'hôpital et se sont vu prescrire une "interruption temporaire de travail allant de un à dix jours", selon le communiqué de la préfecture.
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Macron ne s'exprimera pas dimanche sur la crise des "gilets jaunes"
"Le président de la République ne s'exprimera pas aujourd'hui", a précisé l'Élysée, quelques heures après le retour d'Emmanuel Macron du G20 en Argentine, au lendemain des scènes de guérilla urbaine à Paris, et alors qu'il a tenu ce matin une réunion avec plusieurs ministres sur les événements de la veille. Une source à l'Élysée a par ailleurs fait savoir que le président a insisté sur le fait que tous les actes de violence devaient trouver une réponse judiciaire, selon Reuters.
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Risque de pénuries de produits de première nécessité à La Réunion
Un "risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale" existe à La Réunion, où des barrages de "gilets jaunes" perdurent autour du grand port maritime, a annoncé dimanche la préfecture.
"En raison du blocage du Grand Port Maritime, il existe désormais un risque avéré de rupture d'approvisionnement concernant les biens d'alimentation de première nécessité, voire de nécessité vitale. Près d'un millier de containers dédouanés sont en attente de livraison : des produits frais, du blé pour les boulangeries, des matières premières destinées à la fabrication d'alimentation animale, des médicaments et du matériel médical à destination des centres hospitaliers et établissements accueillants des personnes âgées...", explique la préfecture.
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Anne Hidalgo demande à être reçue à l'Intérieur
La maire de Paris Anne Hidalgo demande au ministre de l'Intérieur de la recevoir avec les maires des arrondissements de Paris touchés samedi soir par les violences et les dégradations commises en marge du mouvement des "gilets jaunes", a-t-elle annoncé lors d'un point-presse dimanche.
"Nous avons travaillé avec la préfecture de police, mais à aucun moment et malgré nos demandes réitérées, les élus parisiens n'ont pas été conviés à travailler directement avec le ministre de l'Intérieur", a-t-elle déploré, en soulignant "l'expertise" des élus d'arrondissement et de la maire de la Paris, "qui doit pouvoir aider à ne pas se retrouver dans une telle situation". "Nous demandons à être associés à ce que risque de se passer si le mouvement continue", a insisté Anne Hidalgo.
"Lorsque nous aurons le coût de ces dégradations, je crois que tout le monde sera surpris tant elles sont immenses", a-t-elle dit, évoquant "beaucoup de dégradations de mobiliers urbains, de bâtiments publics et privés, de commerces".
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Marine Le Pen demande la dissolution de l'Assemblée nationale
Invitée sur France 3 au lendemain des scènes de guérilla urbaine dont Paris et plusieurs villes de province ont fait l'objet, la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen a appelé à "la dissolution de l'Assemblée nationale" et de nouvelles élections législatives "à la proportionnelle", pour sortir "par le haut" de la "crise politique" des "gilets jaunes".
"Je pense qu'il faut mettre en oeuvre la proportionnelle et qu'il faut dissoudre l'Assemblée nationale, pour qu'il y ait de nouvelles élections à la proportionnelle", a-t-elle affirmé dans l'émission Dimanche en Politique. "Je ne vois pas, au niveau où nous sommes de la gravité de cette crise politique, comment sortir par le haut, à part en retournant aux urnes", a-t-elle poursuivi.
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Macron remercie à nouveau les forces de l'ordre sur Twitter
Comme un peu plus tôt ce matin, le président français, qui s'est rendu dimanche sur les lieux vandalisés de la capitale par des gilets jaunes samedi, a remercié les forces de l'ordre. Depuis son compte Twitter, Emmanuel Macron a posté des photos de pompiers et de policiers dont ils sert la main.
Merci. pic.twitter.com/wtNspkgWJb
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 2 décembre 2018 -
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Pour calmer les gilets jaunes, la CFDT veut taxer davantage "les très hauts revenus"
Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, a estimé dimanche que pour répondre au gilets jaunes, le gouvernement devrait créer une tranche d’impôts supplémentaire pour les plus riches. La réponse au mouvement des "gilets jaunes" ne passera "sûrement pas par le moratoire" sur la fiscalité des carburants, mais par "une tranche d'impôt supplémentaire sur les très hauts revenus" qui "doivent contribuer davantage", a affirmé dimanche le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger.
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La fédération du tourisme veut que les manifestations cessent "le plus rapidement possible"
"Cette manifestation hier a massacré l'image accueillante de Paris et de la France. Je considère que les fêtes de Noël sont compromises, voire fichues", a déclaré Roland Héguy, président de la Confédération des Acteurs du Tourisme. "C'était un samedi, et la semaine prochaine il peut y avoir ‘bis repetita’. Ces images insoutenables de scènes d'émeutes vont décourager non seulement les touristes étrangers bien sûr, parce qu'elles sont choquantes et inquiétantes, mais aussi les Français, qui vont rentrer chez eux", a-t-il estimé.
Roland Héguy, qui préside en outre la principale organisation du secteur hôtelier, l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie, veut lui aussi "que tout cela cesse le plus rapidement possible, que le gouvernement et les manifestants se parlent".
"Il faut qu'on arrête ces manifestations tous les samedis, il faut aller très vite", et cela "sans parler d'état d'urgence. Avec les images qui sont allées dans le monde entier, si on met en place l'état d'urgence, il faudra encore des mois et des mois pour gommer cela", s'inquiète-t-il.
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Des "affrontements très violents" à Calais, dix personnes interpellées
Dix personnes, essentiellement des jeunes, ont été interpellées et placées en garde à vue dans la nuit de samedi à dimanche à Calais après des affrontements en marge du mouvement des gilets jaunes. De 22h30 à environ 3h00 du matin, "il y a eu des affrontements très violents entre environ 200 manifestants radicalisés, qu'on peut qualifier de casseurs, et les forces de l'ordre", a déclaré le préfet du Pas-de-Calais Fabien Sudry. Deux membres des forces de l'ordre ont été légèrement blessés par des jets de projectiles, d'après la même source.
Dans le quartier du Fort-Nieulay, théâtre des violences, il y a eu neuf véhicules brûlés et deux stations-services touchées. Preuve de la violence des affrontements, "une bouteille de gaz a été retrouvée dans une barricade", a détaillé le préfet, qui condamne "avec la plus grande fermeté ces comportements inacceptables".
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Mélenchon appelle le gouvernement à faire marche arrière
Ce dimanche, le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a appelé le président Emmanuel Macron à annuler la surtaxe sur les carburants pour ensuite discuter avec les gilets jaunes.
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Pour Mélenchon, Macron veut "donner une impression"
Invité de l'émission BFM Politique, le chef de file de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon s'est montré critique envers le président de la République, et a estimé qu'Emmanuel Macron voulait "donner une impression" en saluant les forces de l'ordre.
À peine rentré d'Argentine, le chef de l'État s'était rendu place de l'Étoile où il avait constaté les dégâts dont l'Arc de Triomphe et l'avenue Kléber ont été l'objet.
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136.000 manifestants samedi en France
Selon les derniers chiffres du ministère de l'Intérieur publiés dimanche à la mi-journée, ils étaient 136.000 manifestants ce samedi en France, journée au cours de laquelle 263 personnes ont été blessées. La semaine passée, ils étaient 166.000 manifestants sur l'ensemble du territoire, et 282.000 le premier jour du mouvement, le samedi 17 novembre.
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Début de la réunion à l'Élysée
Une réunion de crise a débuté dimanche vers 12h45 à l'Élysée autour d'Emmanuel Macron après les violences ayant marqué les manifestations des "gilets jaunes" samedi, notamment à Paris.
Le Premier ministre Édouard Philippe, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et son secrétaire d'État Laurent Nuñez et le ministre d'État chargé de la Transition écologique François de Rugy assistent à cette rencontre qui se tient dans le Salon vert du Palais présidentiel.
À peine rentré d'Argentine, Emmanuel Macron s'était auparavant rendu place de l'Étoile et avenue Kléber
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Bouches-du-Rhône: un accident sur un barrage près d'Arles fait un mort
Un automobiliste est décédé dans la nuit de samedi à dimanche à Arles dans le département des Bouches-du-Rhône après avoir percuté un poids lourd à l'arrêt en raison d'un bouchon provoqué par un barrage des "gilets jaunes", a-t-on appris auprès du procureur de Tarascon.
"Cet accident est directement lié à un barrage de +gilets jaunes+ qui a provoqué un gigantesque embouteillage de 10km (...). Une fourgonnette a percuté de plein fouet un poids lourd avant d'être à son tour percutée par un autre véhicule", a expliqué à l'AFP Patrick Desjardins.
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Macron de retour à l'Elysée
Emmanuel Macron est de retour à l'Elysée après avoir constaté les dégâts place de l'Etoile et avenue Kléber, où il s'est longuement entretenu avec les forces de l'ordre. Une réunion devrait avoir lieu dans les prochaines minutes au palais présidentiel en présence du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner.
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L'autoroute A6 toujours coupée dans les deux sens au niveau du péage de Limas
A la suite des actions "d'une centaine de gilets jaunes", l'autoroute A6 est toujours coupée dimanche matin dans les deux sens entre Mâcon et la jonction avec l'A46 au nord de Lyon souligne le gestionnaire de l'axe routier.
Les services autoroutiers indiquent dimanche matin devoir procéder à des réparations sur la chaussée au niveau du péage de Limas dans le Rhône, "dégradée notamment en raison de feux de palettes", a précisé une porte parole de l'APRR.
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Pour Gérard Larcher, le gouvernement n'a plus droit à l'erreur
Invité ce dimanche dans le cadre du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI, le Président du Sénat Gérard Larcher a estimé que le gouvernement n'avait "pas droit" à "un troisième samedi noir", faisant directement référence aux deux derniers weekends de violences qui se sont déroulés à Paris en marge des manifestations des gilets jaunes.
Pour lui, l'État de droit a été "bafoué" et "la République malmenée", réitérant son appel à un moratoire sur la hausse des taxes sur les carburants prévue le 1er janvier.
Il s'est également montré sceptique sur la proposition de référendum proposée par le chef des Républicains Laurent Wauquiez, estimant que la réponse devait être "rapide" et "politique."
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Christophe Castaner se tient à disposition du Sénat
Quelques heures après sa convocation par la commission des lois du Sénat, le ministre de l'Intérieur a assuré via un communiqué se tenir à disposition des parlementaires et "répondra naturellement à la convocation" en compagnie de son secrétaire d'état Laurent Nunez.
"Depuis le 17 novembre dernier le ministère de l’Intérieur a communiqué en toute transparence sur les éléments relatifs à la sécurisation des manifestations et des blocages initiés par les gilets jaunes" ajoute le communiqué.
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Emmanuel Macron s'est rendu à l'Arc de Triomphe
Accompagné du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, le président de la République, de retour d'Argentine, s'est rendu en fin de matinée place de l'Etoile, théâtre samedi de nombreux affrontements entre manifestants et forces de police. Il s'est recueilli quelques instants devant le tombeau du Soldat Inconnu avant de constater les dégradations à l'intérieur de l'Arc de Triomphe.
Quelques minutes plus tard, il s'es tendu avenue Kléber où il a de nouveau constaté les dégâts. Il a salué et s'est entretenu de longues minutes avec les forces de l'ordre, policiers, pompiers et gendarmes mobiles. Quelques applaudissements et huées ont également pu être entendus.
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Le journaliste Hugo Clément blessé au visage
Connu pour son travail chez Konbini et Quotidien, le journaliste Hugo Clément a été blessé à la tête par un projectile, a raconté sur Twitter sa compagne Alexandra Rosenfeld. La scène s'est déroulée samedi 1er décembre à Paris, boulevard Malesherbes.
"Je circulais en scooter avec ma compagne Alexandra. Nous allions boire un verre", raconte Hugo Clément dans un message publié sur Twitter par cette dernière. En chemin, le journaliste a croisé "des manifestants en train de monter une barricade". Il s'est arrêté pour les prendre en photo. Portant son casque de moto et une parka, il n'était "pas identifié comme journaliste", précise-t-il.
En s'approchant de la barricade, il a été "percuté" en plein visage par un projectile venant de derrière lui "La visière du casque a explosé" et il est ensuite tombé. Au sol, il s'est fait dérober son téléphone. Rapidement pris en charge, il a pu être soigné par des manifestants avant d'être conduit à l'hôpital Bichat où il a écopé de sept points de sutures à l'arcade.
Message de @hugoclement qui n’a pas accès à ses comptes pic.twitter.com/IfMJjmui7z
— Alexandra Rosenfeld (@Alex_Rosenfeld) 2 décembre 2018 -
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Benjamin Griveaux au chevet des commerçants
Ce dimanche, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux s'est rendu à titre personnel avenue Kléber (VIIIe arrondissement parisien), où de nombreux commerces ont été endommagés par des casseurs en marge des violences du 1er décembre à Paris. Il s'est entretenu en privé avec plusieurs commerçants et a ainsi pu constater les nombreux dégâts.
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Christophe Castaner et Laurent Nunez auditionnés ce mardi par le Sénat
Au lendemain des violentes scènes de guérilla urbaine qui ont touché Paris et plusieurs villes de province la commission des lois du Sénat a annoncé vouloir procéder à l'audition du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et de son secrétaire d’État, Laurent Nunez.
La rencontre, qui aura lieu ce mardi 4 décembre à 16h15, portera "sur les émeutes, les agressions contre les forces de sécurité et les actes de vandalisme et de destruction" lors des manifestations des "gilets jaunes", selon un communiqué dimanche de la Haute-Assemblée.
La commission entendra les "explications" du ministre de l'Intérieur et son secrétaire d'État "sur les moyens mis en place (...) pour y faire face".
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Hôtellerie: annulations en cascade à Paris et en province
"On aura du mal à s'en remettre." Selon Marcel Bénezet, du syndicat des hôteliers restaurateurs cafetiers traiteurs, les hôteliers sont les victimes collatérales du mouvement des gilets jaunes et des violences qui en émanent. "Nous sommes très touchés en régions, ça devient catastrophiques, les annulation sont en cascade" a-t-il détaillé.
En ce qui concerne Paris, la situation est "catastrophique" puisque "50%" des touristes auraient déjà annulé leurs réservations, ou sont partis sans terminer leur séjour "pour Londres, l'Allemagne voire en Espagne."
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Un péage incendié par des casseurs à Narbonne
La zone de péage autoroutier de Narbonne sud a été prise pour cible et incendiée dimanche "par des casseurs" relate une source policière. De plus, des voitures de la société Vinci et des bâtiments ont également été détruits.
"Une enquête de nature délictuelle est ouverte", a annoncé le procureur de permanence, qui a confirmé que l'incendie avait été provoqué par des "casseurs".
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Benjamin Griveaux écarte à nouveau tout "changement de cap"
Ce dimanche matin, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a, sur le plateau de BFMTV, une nouvelle fois écarté un changement de cap de l'exécutif face à la crise des gilets jaunes, demandant "un peu d'union nationale" autour des forces de l'ordre après les violences samedi à Paris.
"Ça fait trente ans que les gens changent de cap tous les dix-huit mois. Et si on n'avait pas changé de cap tous les dix-huit mois depuis trente ans, le pays s'en porterait mieux. Que ceux qui nous donnent des leçons, y compris d'anciens présidents, commencent par regarder ce qu'ils ont fait et laissent le cynisme de côté" a-t-il développé, assurant que "le cap est le bon."
"En revanche, nous avons une méthode plus ouverte de dialogue", a-t-il ajouté, précisant que l'exécutif était "prêt" à discuter avec les représentants des gilets jaunes auteurs d'une tribune appelant à une sortie de crise, publiée dans le JDD.
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Pour Benjamin Griveaux, le gouvernement est prêt au dialogue
Invité ce dimanche matin sur le plateau de BFMTV, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a affirmé que le dialogue était toujours possible. "On y est prêts, on est sur le terrain tous les jours, nos parlementaires, les ministres, arrêtons de raconter que l'on ne veut pas dialoguer."
Il est également revenu sur le rendez-vous manqué de Matignon ce vendredi, où plusieurs gilets jaunes avaient été conviés par le Premier ministre Edouard Philippe.
"On le présente comme un fiasco, mais vous savez ce qui s'est passé? La totalité a fait l'objet de menaces de mort, sur eux-même et sur leur famille, par d'autres gilets jaunes. Il existe une difficulté pour ouvrir ce dialogue."
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412 interpellations et 133 blessés pour la journée de samedi
Selon des nouveaux chiffres de la Préfecture de police de Paris, 412 individus ont été interpellés en marge des violences qui ont eu lieu dans les rues de Paris ce samedi. Parmi eux, 378 ont été placés en garde à vue.
De plus, 133 personnes ont été blessées dont 23 membres des forces de l'ordre.
Ce bilan, "très important" selon une source policière, est nettement supérieur, à celui de la précédente mobilisation parisienne le 24 novembre. Selon la préfecture de police, les violences avaient fait 24 blessés, dont 5 côté forces de l'ordre, 103 personnes avaient été interpellées, dont 101 placées en garde à vue.
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Benjamin Cauchy, porte-parole des Gilets jaunes libres, veut un "dialogue constructif" avec le gouvernement
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Les forces de l'ordre ont-elles failli à assurer la sécurité?
5000 forces de l'ordre mobilisées, et pourtant. Malgré un dispositif de sécurité renforcé ce samedi, c'est un déferlement de violences sans précédent qui a éclaté dans la capitale en marge de la mobilisation des gilets jaunes.
Pour Loic Travers, du syndicat de police Alliance Police Nationale, si la préfecture de police avait bien mis en place une stratégie, elle n'était pas la bonne. "La zone sécurisée n'a servi à rien du tout puisque les filtrages et pré-filtrages n'ont pas été passés par les gens qui avaient de mauvaises intentions".
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Le syndicat de police Alliance demande l'instauration de l'état d'urgence
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Une réunion d'urgence à l'Elysée ce matin
Emmanuel Macron convoque ce dimanche une réunion d'urgence à l'Elysée au lendemain des scènes de guérilla urbaine à Paris qui ont marqué une nouvelle escalade dans le conflit des "gilets jaunes" devenu une crise politique majeure.
Attendu sur le sol français en fin de matinée en provenance du sommet du G20 en Argentine, le chef de l'Etat doit retrouver le Premier ministre Edouard Philippe, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et "les services compétents" pour tenter de trouver une réponse à un mouvement qui semble avoir échappé à tout contrôle.
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Fin d'une journée de chaos à Paris
A l'issue de cette troisième journée d'action nationale des gilets jaunes, 287 personnes ont été interpellées dans la capitale et 110 blessées, dont 17 parmi les forces de l'ordre. Au total, près de 190 départs de feu ont été traités par les sapeurs-pompiers pendant la journée et six immeubles incendiés.
Plusieurs faits trahissent le désordre qui a régné dans certaines rues de la capitale où 4.600 gendarmes et policiers étaient mobilisés, 65.000 forces de sécurité sur toute la France. Un fusil d'assaut a été dérobé dans une voiture de police, un manifestant a été gravement blessé par une grille du Jardin des Tuileries et une voiture des forces de l'ordre a été incendiée.
En province, des affrontements, parfois violents, ont éclaté dans plusieurs villes: la préfecture de Haute-Loire, au Puy-en-Velay, a été incendiée, et à Bordeaux, une manifestante a été grièvement atteinte à la main, perdant plusieurs doigts dans l'explosion d'un engin pyrotechnique. En tout, 75.000 gilets jaunes ont été comptabilisés dans toute la France ce samedi.
Dans le JDD du 2 décembre, un groupe de gilets jaunes lance un appel au calme: "Soucieux du respect des institutions et du dialogue social, nous condamnons toutes les formes de violence". Ils souhaitent être "les porte-parole d'une colère constructive".
Les unes du JDD à Paris et en province.
— Le JDD (@leJDD) December 1, 2018
> Exclusif : Gilets jaunes, l'appel des modérés
> La défense de Ghosn
> Les annonces de Pécresse
> Sondage sur l'immigration
> Les donateurs de Macron
> Interview de Riester
> Révélations sur Ramadan pic.twitter.com/QtXGyJvRgy -
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Début de mea culpa
Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner admet que l'exécutif, confronté aux "gilets jaunes", avait "mal géré" sa communication sur certaines de ses actions, en particulier sur la transition énergétique.
"On a objectivement mal géré un certain nombre de séquences de communication, de pédagogie sur l'enjeu de sortir du tout pétrole et de cette exigence de souveraineté nationale, de baisses de dépenses, d'augmentation du pouvoir d'achat", déclare le ministre sur BFMTV.
"Ce sont les mesures que nous avons mises en place et on n'a pas été compris. Par exemple sur cette communication pour nous battre contre la dépendance pétrolière, on s'est planté", affirme Christophe Castaner.
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La circulation de nouveau ouverte sur les Champs-Elysées
La circulation est de nouveau possible sur les Champs-Elysées, constate notre envoyé spécial sur place. Seul le rond point de l'Arc de Triomphe est toujours sanctuarisé.
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"La reconnaissance" de l'exécutif aux forces de l'ordre
Edouard Philippe est dans une caserne parisienne auprès des forces de l'ordre engagées face aux graves violences commises en marge de la mobilisation des "gilets jaunes" à Paris.
Ils étaient Place de l’Étoile aujourd’hui. Nous leur devons toute notre reconnaissance et tout notre soutien. #1erDécembre pic.twitter.com/2UraWGDZdM
— Edouard Philippe (@EPhilippePM) December 1, 2018 -
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Calme précaire à Paris
Un calme précaire régnait samedi soir à Paris après la mobilisation des "gilets jaunes" et un rare déferlement de violences dans plusieurs quartiers de la capitale.
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Philippe et Castaner auprès des forces de l'ordre ce soir
Edouard Philippe et Christophe Castaner se sont rendus dans une caserne parisienne samedi soir auprès des forces de l'ordre engagées face aux graves violences commises en marge de la mobilisation des gilets jaunes à Paris, a annoncé Matignon.
Le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur sont arrivés vers 22h à la caserne de police Bessières (Paris XVIIe) qui abrite notamment une compagnie de sécurisation et d'intervention. Les violences de samedi ont fait une centaine de blessés dont 14 parmi les forces de l'ordre, qui avaient procédé à 287 interpellations dans la soirée.
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Plusieurs face-à-face tendus dans le sud-ouest
Des face-à-face tendus ont opposé samedi après-midi des gilets jaunes aux forces de l'ordre dans le sud-ouest, alors que dans d'autres villes d'Occitanie, de nombreux barrages filtrant ou bloquant totalement la circulation ont été organisés.
A Toulouse, "six personnes dont deux policiers ont été légèrement blessées" lors d'affrontements entre manifestants et forces de l'ordre, selon un communiqué du préfet de Haute-Garonne, Etienne Guyot. Des vitrines de commerce et du mobilier urbain ont aussi été détériorés.
Albi, la préfecture du Tarn a été la cible "de projectiles inflammables" sans provoquer de dégâts, mais l'intervention des forces de l'ordre qui ont donné lieu à des échauffourées. "Il n'y a pas eu d'incendie, ni d'intrusion" de manifestants sur le site, a précisé la préfecture selon laquelle quelque 2.300 personnes étaient présentes "au plus fort" de la manifestation.
A Narbonne, près de 800 personnes ont manifesté et un groupe "s'en est pris à la sous-préfecture", brisant "portail et fenêtres".
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Manifestation à Bordeaux: 7 blessés dont un grièvement
Sept personnes ont été blessées, l'une d'elles grièvement à la main, dans des heurts qui ont opposé samedi après-midi à Bordeaux quelques centaines de manifestants aux forces de l'ordre, à l'issue des manifestations des "gilets jaunes" et des syndicats. Parmi les sept blessés, six manifestants et un policier.
Un des manifestants a été grièvement atteint à la main, perdant plusieurs doigts dans l'explosion d'un engin pyrotechnique.
Les accrochages, sporadiques mais étalés sur près de quatre heures, sont intervenus peu après 16h alors qu'une partie des manifestants a tenté de s'approcher de l'Hôtel de Ville, dont le périmètre était bouclé par des cordons de CRS.
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3000 casseurs identifiés dans les violences de samedi
"On a identifié à peu près 3000 personnes" suspectées d'avoir pris part à des violences dans Paris ce samedi, en marge du mouvement des gilets jaunes, a déclaré Christophe Castaner sur BFMTV. "Il y a des gens qui viennent de l'ultra droite, de l'ultra gauche, mais il y a aussi beaucoup de gens qui sont venus à Paris pour casser" sans être affiliés à aucun mouvement, assure le ministre de l'Intérieur.
Selon lui, les casseurs représentent une "extrême minorité, une minorité insurrectionnelle. Ils veulent tout casser, tout détruire". "Ce sont au fond des voyous" déclare le ministre de l'Intérieur.
Christophe Castaner s'est montré très dur envers ceux qui ont essayé d'éteindre la flamme du soldat inconnu, sous l'Arc de triomphe: "C'est une violence morale qui touche tous ceux qui ont le sens de l'honneur en France, ils n'ont pas d'honneur".
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Instaurer l'état d'urgence: Castaner n'a pas de "tabou"
Questionné sur la possibilité d'instaurer l'état d'urgence, Christophe Castaner a répondu sur BFMTV: "Tout ce qui permettra de sécuriser plus, moi je n'ai pas de tabou. Je suis prêt à tout regarder".
"Nous étudierons toutes les procédures qui nous permettront de sécuriser plus encore", a souligné le ministre samedi soir à l'issue d'une journée de violences, en particulier à Paris, dans le sillage d'une nouvelle mobilisation des "gilets jaunes".
Ce régime d'exception avait notamment été mis en place après les attentats terroristes de Paris de 2015, mais aussi après les émeutes de novembre 2005 dans les banlieues.
Instauration de l'état d'urgence: "Je n'ai pas de tabou, je suis prêt à tout regarder", dit Christophe Castaner pic.twitter.com/nAESIXeDgs
— BFMTV (@BFMTV) 1 décembre 2018 -
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Un défilé dégénère à Saint-Etienne
Un défilé de plus d'un millier de gilets jaunes a dégénéré samedi après-midi dans les rues de Saint-Etienne (Loire) lorsque des groupes de casseurs ont tenté de pénétrer dans un centre commercial protégé par la police. Policiers et CRS ont effectué de nombreux tirs de grenades lacrymogènes essayant d'éloigner des émeutiers qui tentaient d'entrer dans le centre commercial et leur lançaient des projectiles.
La tête dissimulée par des masques, foulards ou cagoules, ces manifestants avaient été rejoints par des adolescents qui ont pris part à la casse et à l'incendie de nombreux éléments de mobilier urbain et d'objets divers récupérés dans des réserves du centre commercial auxquelles ils ont pu accéder. -
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"L'Arc de Triomphe est repris" selon Castaner
Le ministre de l'Intérieur a assuré sur BFMTV que samedi soir à 21h, "la place de l'Étoile, l'Arc de Triomphe, le sommet de l'Arc de Triomphe sont repris et sont aux mains de nos forces de sécurité". De plus "la quasi totalité des quartiers parisiens sont maîtrisés" déclare Christophe Castaner.
"A l'heure où je vous parle il y a quelques dizaines de [manifestants] qui sont encore dans Paris" a-t-il déclaré, expliquant que la situation était toutefois en train d'être résolue.
Statues cassées, mobilier détruit: les images de l'intérieur de l'Arc de Triomphe pic.twitter.com/Didg4H0Ip9
— BFMTV (@BFMTV) 1 décembre 2018 -
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65.000 forces de sécurité mobilisées partout en France
Sur BFMTV, le ministre de l'Intérieur a déclaré que 65.000 forces de sécurité avaient été mobilisées partout en France pour les manifestations des gilets jaunes. Ils avaient "comme première mission celle de sécuriser les manifestants". "Je ne veux pas de blessés parmi les manifestants" a-t-il assuré.
En revanche, "ceux que nous prouverons qu'ils ont cassé, ceux-là seront très fortement sanctionnés parce que la justice sait se montrer ferme".
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"187 incendies traités par les pompiers de Paris", selon Castaner
Le ministre de l'Intérieur répond aux questions de BFMTV samedi soir, et a déclaré que les pompiers de Paris avaient dû traiter 187 incendies, et 6 attaques d'immeuble par des "factieux" et des "séditieux", selon Christophe Castaner, en marge de la manifestation des gilets jaunes. 3000 casseurs sont entrés en action tout au long de la journée.
Il a également expliqué comment le gilet jaune "en urgence absolue" avait été blessé. Selon le ministre, des manifestants ont voulu déceler une rambarde au jardin des tuileries, qui est tombée sur deux gilets jaunes, dont l'un est grièvement blessé.
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Malgré de nombreux dégâts tout autour, cette DS a été épargnée place Saint-Augustin à Paris
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Philippe annule son déplacement à la COP24 en Pologne
Le Premier ministre a décidé d'annuler son déplacement en Pologne pour le sommet sur le climat COP 24 à la suite des graves violences samedi à Paris en marge de la manifestation des gilets jaunes, a annoncé Matignon à l'AFP.
Edouard Philippe, qui devait se rendre en Pologne dimanche après-midi et lundi, "restera en France" et a demandé au ministre de la Transition Ecologique François de Rugy "de mener la délégation française" à la COP, a précisé son entourage.
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Gilets jaunes: la préfecture de Haute-Loire incendiée
La préfecture de Haute-Loire, au Puy-en-Velay, a été incendiée lors d'un rassemblement de gilets jaunes qui a dégénéré mais le feu était "circonscrit" samedi soir, a-t-on appris des services de la préfecture.
D'après un communiqué de la préfecture, "les gilets jaunes ont déclenché plusieurs incendies dans la préfecture et dans d’autres locaux administratifs" et ont empêché "les camions de pompiers d’y accéder". Des personnes ont "lancé des projectiles enflammés de type cocktail Molotov" a précisé une porte parole de la préfecture.
Le préfet avait reçu en fin de journée une délégation de gilets jaunes, issus des principaux rassemblements de Haute-Loire. "La discussion s'est déroulée dans une grande qualité d'écoute réciproque", selon le communiqué, ajoutant que le préfet "s'est engagé à transmettre au gouvernement" les messages remis par les gilets jaunes.
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"Une stratégie des professionnels du désordre", dénonce le ministre de l'Intérieur
Christophe Castaner a dénoncé ce soir "une stratégie des professionnels du désordre" après les violences à Paris en marge de la mobilisation des gilets jaunes. "Il y a eu une stratégie gérée par des professionnels du désordre, des professionnels de la casse", a déclaré le ministre sur TF1.
Le ministre de l'Intérieur s'est dit fier des 66.000 policiers présents sur les lieux, qui "ont protégé les gilets jaunes" des casseurs. D'après lui, la situation en début de soirée samedi à Paris est "plus apaisée", "mais pas totalement sécurisée".
Il a enfin déclaré que le gouvernement tendait la main aux manifestants pour "faire chemin commun" et "entrer dans le dialogue".
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"Un blessé en état d'urgence absolue", indique Christophe Castaner
"La situation est plus apaisée. Elle n'est pas réglée mais la plupart des groupes ont été neutralisés par les forces de l'ordre et les sapeurs-pompiers", a déclaré Christophe Castaner ce samedi soir dans le JT de TF1.
Selon le ministre de l'Intérieur, 110 blessés ont été recensés pour le moment, dont un gilet jaune en état d'urgence absolue.
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"Ce qu'il s'est passé à Paris n'a rien à voir avec l'expression pacifiste d'une colère légitime", a déclaré Emmanuel Macron
"Ce qu'il s'est passé aujourd'hui à Paris n'a rien à voir avec l'expression pacifiste d'une colère légitime", a déclaré le chef de l'Etat depuis l'Argentine. Emmanuel Macron a précisé qu'il n'accepterait "jamais la violence" de ceux qui "veulent le chaos".
"Aucune cause ne justifie que les forces de l'ordre soient attaquées, que des commerces soient pillés, que des passants ou des journalistes soient menacés, que l'Arc du Triomphe soit souillé", a ajouté le président français, s'exprimant à Buenos Aires, à la fin du sommet du G20.
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A Dijon, sept individus interpellés, des "troubles graves" dans le centre-ville
Des "troubles graves" ont émaillé la manifestation de "gilets jaunes" à Dijon, où 7 personnes ont été interpellées ce samedi en début de soirée, notamment pour des faits de violence, a indiqué la préfecture à l'AFP.
"Un petit groupe déterminé à en découdre avec les forces de l'ordre" se trouvait toujours en début de soirée sur la place de la République, en centre-ville, "en train de s'en prendre aux décorations de Noël et au mobilier urbain notamment", selon la même source. Deux incendies, allumés à proximité de la préfecture, avaient été éteints, a encore précisé la préfecture, qui ne communiquait toutefois aucun chiffre du nombre de manifestants.Certains manifestants avaient essayé de se rendre devant la préfecture, repoussés par des barrages de forces de l'ordre, tirant des gaz lacrymogènes
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Dix personnes en garde à vue en Meurthe-et-Moselle
Dix personnes ont été interpellées ce samedi en Meurthe-et-Moselle et placées en garde à vue, suite à des actions de "gilets jaunes", a appris l'AFP auprès de la préfecture du département.
Ces interpellations ont eu lieu pour outrage, refus de dispersion après sommation, participation avec arme à un attroupement et violence sur personne dépositaire de l'autorité publique, a détaillé un porte-parole de la préfecture Les forces de l'ordre sont intervenues à Frouard, Essey-les-Nancy et Houdemont, où des "gilets jaunes" bloquaient l'accès à des zones commerciales. -
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Violences à Paris: au moins 255 interpellations
Au moins 255 individus ont été interpellés ce samedi après l'explosion de violences à Paris où plusieurs véhicules ont été incendiés, selon les derniers chiffres de la préfecture.
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224 personnes interpellées à Paris
Selon le dernier bilan de la préfecture de police de Paris, 224 individus ont été interpellés ce samedi après les violences qui ont explosé dans les rues de la capitale.
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"Nous sommes en train de rétablir l'ordre", indique Laurent Nunez
Le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur a indiqué sur BFMTV que "le rétablissement de l'ordre est en cours".
Laurent Nunez a expliqué que les forces de l'ordre "travaillent dans un contexte extrêmement compliqué" et ont été "malmenés" par des casseurs "équipés", "casqués" et "armés" qui ont empêché leur avancée ainsi que celle des sapeurs-pompiers:
"On a affaire à des groupes extrémistes qui manifestement veulent s'en prendre à nos institutions, aux forces de l'ordre et mettre en cause la République", a-t-il poursuivi.
"Nous sommes en train de rétablir l'ordre" à Paris, affirme sur BFMTV le secrétaire d'État Laurent Nunez pic.twitter.com/IwEBwtgkZC
— BFMTV (@BFMTV) 1 décembre 2018 -
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Paris: la gare d'Auber fermée, aucune correspondance assurée
Les trains ne marquent pas l'arrêt en gare d'Auber (9e arrondissement) sur la ligne A du RER et aucune correspondance n'est assurée ce samedi en début de soirée, a indiqué la RATP.
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Le gouvernement "porte une très lourde responsabilité" dans les violences à Paris, estime Le Pen
La présidente du Rassemblement national Marine Le Pen a estimé ce samedi auprès de BFMTV que le gouvernement portait "une très lourde responsabilité" dans les violences qui ont explosé dans plusieurs quartiers de Paris en marge de la mobilisation des gilets jaunes.
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Une voiture de police incendiée dans le 2e arrondissement de Paris
Un véhicule de police a été incendié ce samedi après-midi rue Danielle Casanova, dans le 2e arrondissement de Paris, a indiqué la préfecture de police.
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A Limas, l'A6 coupée dans les deux sens au niveau du péage par "une centaine de gilets jaunes"
L'autoroute A6 est coupée dans les deux sens entre Mâcon et la jonction avec l'A46 au nord de Lyon en raison des actions "d'une centaine de gilets jaunes" au péage de Limas (Rhône), a annoncé APRR, gestionnaire de cet axe routier.
Des déviations ont été mises en places pour les automobilistes arrivant sur la zone, a précisé à l'AFP une porte-parole du gestionnaire, ajoutant que le flot de véhicules déjà engagés au niveau du péage de Limas continuait de s'écouler dans la mesure où le blocage n'était pas total.
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Une personne blessée aux Tuileries à Paris
Une personne a été blessée ce samedi au niveau du jardin des Tuileries à Paris après qu'une grille a été descellée par des manifestants du côté de la rue de Rivoli.
Une intervention de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris est en cours.
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205 interpellations après les violences à Paris
Les violents heurts survenus à Paris dans le sillage de la mobilisation des "gilets jaunes" ont conduit à 205 interpellations ce samedi, selon un bilan de la préfecture de police de Paris à 18h00.
D'abord circonscrites aux abords de la place de l'Etoile en haut de l'avenue des Champs-Elysées, les violences se sont propagées dans plusieurs quartiers de la capitale. Le dernier bilan de la préfecture de police vers 17h40 faisait état de 92 blessés dont 14 parmi les forces de l'ordre. -
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A Charleville-Mézières, six blessés dont quatre policiers, quatre interpellations
Des dégradations "importantes" ont été commises ce samedi à Charleville-Mézières (Ardennes) en marge d'une manifestation des "gilets jaunes", au cours de laquelle quatre policiers et deux manifestants ont été blessés, a appris l'AFP de source préfectorale.
Dans un communiqué diffusé en fin d'après-midi, le préfet des Ardennes "appelle à nouveau solennellement les manifestants au calme", précisant que quatre personnes ont été interpellées.
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Un nouveau bilan fait état de 92 blessés, dont toujours 14 parmi les forces de l'ordre
Selon un dernier bilan, 92 personnes ont été blessées ce samedi, dont 14 parmi les forces de l'ordre.
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194 interpellations à Paris
Selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur, 194 personnes ont été interpellées sur l'ensemble de la capitale ce samedi en fin d'après-midi, dont une cinquantaine au rond-point de l'Etoile.
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Marine Le Pen demande à Emmanuel Macron de "recevoir les chefs de partis"
La présidente du Rassemblement national a appelé ce samedi après-midi les gilets jaunes à "quitter les lieux afin de permettre aux forces de l'ordre d'intervenir" après les violences et les dégradations qui se déroulent dans la capitale.
Cette dernière a également demandé à Emmanuel Macron de "recevoir les chefs des partis politiques d'opposition" dès son retour d'Argentine.
Les casseurs ont déclenché dans Paris une situation insurrectionnelle. Chers #GiletsJaunes, vous devriez quitter les lieux afin de permettre aux forces de l’ordre d’intervenir et venir à bout de ces exactions. MLP
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 1 décembre 2018 -
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75.000 manifestants recensés en France à 15H00
La troisième journée de mobilisation nationale des "gilets jaunes" réunissait quelque 75.000 manifestants ce samedi à 15H00 dans toute la France, selon un bilan du ministère de l'Intérieur.
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Des violences "inadmissibles, intolérables, inqualifiables", dénonce François Hollande
François Hollande a qualifié les violences de ce samedi à Paris, d"'inadmissibles","intolérables" et "inqualifiables". Il a appelé dans un tweet à la plus grande fermeté et souhaité un "dénouement par le dialogue".
Les violences qui se sont produites à Paris aujourd’hui sont inadmissibles, intolérables, inqualifiables. Elles doivent être condamnées avec la plus grande fermeté. Elles ne peuvent trouver aucune justification, sauf celle d’altérer gravement l’image de notre pays (1/2)
— François Hollande (@fhollande) 1 décembre 2018 -
BfmtvBfmtvVotre paragraphe ici
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A Strasbourg, une personne interpellée
Une centaine de "gilets jaunes" a déambulé ce samedi après-midi sur le marché de Noël de Strasbourg au terme d'une manifestation marquée par de brèves échauffourées en milieu de journée.
Une personne a été interpellée pour rébellion, a appris l'AFP auprès de la préfecture du Bas-Rhin.
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80 blessés dont 14 parmi les forces de l'ordre
Quatre-vingt personnes, dont 14 parmi les forces de l'ordre, ont été blessées pour l'heure selon la préfecture de police après les violences de ce samedi à Paris.
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183 interpellations à Paris
Selon les derniers chiffres du ministère de l'Intérieur, 183 personnes ont été interpellées sur l'ensemble de la capitale ce samedi en fin d'après-midi après les violences commises en marge de la mobilisation des gilets jaunes.
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Des manifestants sur le toit de l'Arc de Triomphe
Plusieurs gilets jaunes sont parvenus a monter jusqu'au toit de l'Arc de Triomphe, monument au pied duquel de nombreux affrontements avec la police ont eu lieu ce samedi matin.
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La "grande tristesse" et "l'indignation" d'Anne Hidalgo
Via Twitter, la maire de Paris Anne Hidalgo a fait part de son indignation après les violences en cours, en marge de la manifestation des gilets jaunes. "J'éprouve une profonde indignation et une grande tristesse face à ces violences au cœur de Paris. Elles sont inacceptables" a-t-elle écrit.
La première édile de la capitale a également tenu à passer un message à Emmanuel Macron et son gouvernement.
"Notre pays est confronté à une crise majeure. Elle ne peut être résolue que par le dialogue. Nous devons au plus vite retrouver ce chemin" conclut-elle.
J'éprouve une profonde indignation et une grande tristesse face à ces violences au cœur de Paris. Elles sont inacceptables. Notre pays est confronté à une crise majeure. Elle ne peut être résolue que par le dialogue. Nous devons au plus vite retrouver ce chemin. #GiletsJaunes
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) 1 décembre 2018 -
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Pour Castaner, les violences de ce samedi sont "intolérables"
Sur Twitter, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a exprimé son indignation face aux scènes de violences qui touchent les rue de Paris, en marge de la manifestation des gilets jaunes. "Les scènes auxquelles nous avons assisté ce matin sont intolérables" a-t-il expliqué.
Il a également assuré que "la volonté affichée et assumée de s’attaquer à nos forces de l’ordre, aux symboles de notre pays, sont une insulte à la République" avant d'envoyer son soutien et sa confiance "aux effectifs mobilisés."
Les scènes auxquelles nous avons assisté ce matin sont intolérables.
— Christophe Castaner (@CCastaner) 1 décembre 2018
La volonté affichée et assumée de s’attaquer à nos forces de l’ordre, aux symboles de notre pays, sont une insulte à la République.
Soutien et confiance aux effectifs mobilisés. pic.twitter.com/CCx4pqJM7K -
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Une dizaine de voitures incendiées à Paris
En marge de la manifestation des gilets jaunes à Paris, plusieurs véhicules ont été incendies aux abords Champs-Elysées. Dans les avenues attenantes à l'avenue du VIIIe arrondissement, d'autres véhicules ont été renversés et incendiés, dégageant une épaisse fumée noire.
Rue de Rivoli, ce sont également plusieurs voitures ont été brûlées par des casseurs. Les pompiers ont du intervenir à plusieurs reprises afin de circonscrire les sinistres.
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Plus d'une centaine de blessés à Paris
Johanna Primevert, porte-parole de la préfecture de police de Paris, a confirmé sur le plateau de BFMTV que les violences de ce samedi à Paris ont fait 65 blessés dont 11 parmi les forces de l'ordre. A l'heure actuelle, il est encore difficile d'estimer la gravité de ces blessures.
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A Rennes, gilets jaunes et syndicats font manifestation commune
Plusieurs centaines de gilets jaunes déambulaient samedi sous la pluie dans les rues de Rennes, suivis d'une centaine de syndicalistes dont certains arboraient des drapeaux. Dans la matinée, les gilets jaunes ont rejoint le cortège syndical CGT, FO, FSU devant la préfecture de Bretagne avant de marcher dans les rues de la ville.
"On divague, on est des gilets jaunes, on n'est pas cadrés mais ça se passe bien", assure Benoît, barbu, la quarantaine. "Nous sommes passés à côté du cortège de la CGT, mais on ne fait pas partie de la CGT", tient-il toutefois à préciser.
Côté CGT, on met en avant la proximité des revendications. "Nous avons joint à nos revendications initiales contre le chômage et la précarité des revendications de salaire, avec notamment le SMIC à 1800 euros", souligne Hervé Couvert, de la CGT Finances publiques.
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Edouard Philippe se dit "choqué"
Quelques heures après son allocution, le Premier ministre Edouard Philippe a exprimé sa colère sur Twitter, s'estimant "choqué par la mise en cause de symboles de la France." Il a ainsi fait référence à la "tombe du soldat inconnu encerclée" et à "l'Arc de Triomphe tagué."
Je suis choqué par la mise en cause de symboles de la France. Tombe du soldat inconnu encerclée. Arc de Triomphe tagué. #1erDécembre pic.twitter.com/FDZLgC5Y2B
— Edouard Philippe (@EPhilippePM) 1 décembre 2018 -
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158 interpellations à Paris
Selon les dernières chiffres du ministère de l'Intérieur rapportés par Johanna Primevert, porte-parole de la préfecture de police de Paris, 158 personnes ont été interpellées sur l'ensemble de la capitale ce samedi en milieu d'après-midi.
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Trois interpellations à Charleville-Mézières, des dégradations "importantes"
En marge d'une manifestation des gilets jaunes, des dégradations "importantes" ont été commises samedi à Charleville-Mézières dans le département des Ardennes. Selon une source préfectorale, trois personnes ont été interpellées. Des projectiles, notamment des boules de pétanque, ont été lancés, faisant un blessé léger chez les forces de l'ordre, d'après la même source.
"Depuis ce matin, au plus fort des manifestations, il y 500 à 600 manifestants avec une frange de 40 casseurs qui se sont livrés à des exactions et à des dégradations importantes sur le mobilier urbain, avec des incendies", a déclaré Marie Cornet, sous-préfet des Ardennes, confirmant une information de L'Union.
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Le bus du FC Nantes bloqué par des gilets jaunes vendredi soir
Alors qu'ils se dirigeaient vers l'aéroport après leur défaite à Saint-Etienne vendredi soir (3-0), les Nantais ont été bloqués par des gilets jaunes.
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Marine Le Pen salue l'action des gilets jaunes sous l'Arc de Triomphe
Sur Twitter, la président du Rassemblement national (RN, ex-FN) a salué l'action des gilets jaunes qui ont encerclé la tombe du soldat inconnu, sous l'Arc de Triomphe.
💪🏻🇫🇷 Bravo aux #GiletsJaunes qui ont fait rempart de leurs corps en chantant la Marseillaise pour protéger la flamme du soldat inconnu contre les casseurs. Vous êtes le peuple de France se dressant contre la racaille ! 👏🏻 MLP #1erDécembre pic.twitter.com/79EvSTaBGM
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 1 décembre 2018 -
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Une "révolution citoyenne", selon Mélenchon
Le président du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale est présent à Marseille pour participer à un rassemblement des gilets jaunes. Au micro de BFMTV, l'ancien candidat à la présidentielle a qualifié le mouvement de "révolution citoyenne". "Emmanuel Macron est parvenu à lancer une révolution mais pas celle qu'il croyait", a poursuivi Jean-Luc Mélenchon.
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Pour les Républicains, les images de violence au pied de l'Arc de Triomphe sont "une honte"
"Les images de violence exacerbée au pied de l'Arc de Triomphe, symbole de la gloire française profané par des hordes de casseurs, sont une honte ressentie au coeur par chaque Français ami de sa Patrie", écrit dans un communiqué le porte-parole des Républicains, Gilles Platret.
"Les Républicains condamnent avec la plus grande fermeté les vandales qui revêtent un faux gilet jaune comme prétexte fallacieux pour mieux se livrer à l'exacerbation de leur violence", poursuit le texte.
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122 interpellations près des Champs-Elysées
Selon les derniers chiffres du ministère de l'Intérieur, 122 individus ont été interpellés dans le cadre des violences commises aux abords des Champs-Elysées.
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Vingt blessés dont six parmi les forces de l'ordre
Selon la préfecture de police de Paris, les violences de la journée ont pour l'heure fait vingt blessés, dont six parmi les forces de l'ordre.
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115 interpellations près des Champs-Elysées
A 13h30, le nombre d'interpellations aux abords des Champs-Elysées était passé à 115 dont une cinquantaine au rond-point de l'Etoile, selon le ministère de l'Intérieur.
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A Nantes, des gilets jaunes sur le tarmac de l'aéroport
Une trentaine de gilets jaunes se sont introduits brièvement sur le tarmac de l'aéroport de Nantes ce samedi matin. Ils ont été évacués sans incident.
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"Moins de 36.000 manifestants en France, 5.500 à Paris"
Toujours selon des chiffres communiqués par le Premier ministre, la journée de mobilisation des "gilets jaunes" réunit ce samedi à midi moins de 36.000 manifestants dans toute la France et 5.500 à Paris.
La première journée nationale d'action le 17 novembre avait rassemblé 282.000 personnes, et la deuxième 106.000, dont 8.000 à Paris, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur.
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Nouveau chiffre de 107 interpellations
A la mi-journée , le nombre d'individus interpellés sur les Champs-Elysées est passé à 107, a annoncé le Premier ministre Edouard Philippe, depuis la préfecture de police de Paris.
"Très tôt ce matin, des individus équipés et déterminés (...) ont fait preuve d'une grande violence. Les forces de l'ordre ont fait l'objet d'attaques qu'elles ont qualifiées elles-mêmes d'une violence rarement atteinte. Nous avons procédé, à l'heure à laquelle je parle, à plus de 107 interpellations, ce qui est un nombre considérable", a déclaré le chef de gouvernement.
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De brèves échauffourées à Strasbourg
De brèves échauffourées, avec utilisation de gaz lacrymogènes, ont éclaté en milieu de journée à Strasbourg, lorsque quelques "gilets jaunes" ont tenté de quitter le trajet prévu de la manifestation, a constaté un photographe de l'AFP. Partis en fin de matinée du Palais des droits de l'Homme, le cortège de "gilets jaunes", rassemblant environ 500 personnes a pris la direction de la place de la République, aux abords du centre-ville.
Alors que quelques manifestants ont cherché à prendre un autre chemin en direction du marché de Noël, qui occupe entièrement l'île centrale de Strasbourg, ils se sont faits refouler par les forces de l'ordre et des gaz lacrymogènes et matraques ont été utilisés pendant quelques minutes.
Le cortège a ensuite repris la direction de la place de la République.
#Strasbourg : plusieurs centaines de #giletsjaunes rassemblés devant la Cour européenne des droits de l'homme pic.twitter.com/jMNmMOwSxt
— France Bleu Alsace (@BleuAlsace) 1 décembre 2018 -
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Sous l'Arc de Triomphe, des gilets jaunes encerclent la tombe du soldat inconnu
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Emmanuel Macron surveille la situation depuis l'Argentine
Même à distance, le chef de l'Etat est tenu au courant des événements en cours à Paris et dans le reste de la France. Il est "régulièrement informé de l'évolution de la situation, comme à chaque manifestation", assure l'Elysée.
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Le bilan des interpellations grimpe à 81
A midi, 81 gilets jaunes avaient été interpellés aux alentours des Champs-Elysées, dont une cinquantaine au rond-point de l'Etoile, selon la préfecture.
D'après le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nunez, 3000 manifestants se sont donné rendez-vous sur les Champs-Elysées pour ce troisième jour de mobilisation. Il précise que la place de l'Etoile a été évacuée par les forces de l'ordre et que des individus "extrêmement violents" ont été interpellés.
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Edouard Philippe attendu à la préfecture de police de Paris
Changement de plan pour le Premier ministre. Initialement attendu au congrès de La République en marche ce matin, Edouard Philippe, "compte tenu des incidents en cours à Paris", a annulé sa venue. A la place, il se rendra à la préfecture de police de Paris pour observer la situation, au côté de Christophe Castaner et du préfet.
A la préfecture de police de Paris pour faire le point sur les manifestations du #1erDecembre avec @CCastaner. pic.twitter.com/oRgIqN6Q43
— Edouard Philippe (@EPhilippePM) 1 décembre 2018 -
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Et ailleurs en France...
Alors que sur les Champs-Elysées, la situation a rapidement dégénéré, sur d'autres points de blocages en France, l'ambiance était plus calme en cette fin de matinée.
- Dans le calme, des gilets jaunes empêchaient l'ouverture d'un magasin de bricolage Leroy-Merlin à Saint-Brieuc, dans les Côtes-d'Armor ;
- D'autres manifestants bloquaient, là aussi de façon pacifique, l'accès aux autoroutes A7 et A9 au niveau du péage d'Orange, dans le Vaucluse.
🔴 #Orange : un barrage filtrant à l'entrée de l'A7, situation très calme https://t.co/RwhL0X9aBe pic.twitter.com/ySLufqjBJC
— La Provence (@laprovence) 1 décembre 2018 - Dans le calme, des gilets jaunes empêchaient l'ouverture d'un magasin de bricolage Leroy-Merlin à Saint-Brieuc, dans les Côtes-d'Armor ;
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Dix blessés dont trois parmi les forces de l'ordre
Dix personnes ont été blessées sur les Champs-Elysées dont trois parmi les forces de l'ordre, selon des chiffres communiqués par la porte-parole de la préfecture de police de Paris, Johanna Primevert.
Heurts à Paris: au moins 10 personnes ont été blessées, dont 3 parmi les forces de l'ordre pic.twitter.com/pZuWkGpFCo
— BFMTV (@BFMTV) 1 décembre 2018 -
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60 personnes interpellées en marge de la manifestation
Le nombre d'interpellations sur l'avenue des Champs-Elysées a bondi à 60, selon un nouveau chiffre de la préfecture. Des heurts ont éclaté dès le début de matinée entre forces de l'ordre et manifestants et des gaz lacrymogènes ont été utilisés.
Sur BFMTV, la porte-parole de la préfecture de police de Paris, Johanna Primevert, a appelé les manifestants pacifiques à se rendre à l'intérieur du périmètre défini par la police sur les Champs-Elysées.
L'accès aux #ChampsElysees reste ouvert au public comme aux manifestants pacifiques, par les rues adjacentes, dans les conditions fixées par la @prefpolice : des contrôles d’identité sont effectués ainsi qu’une fouille des sacs pour prévenir toute dégradation ou violence. pic.twitter.com/kXe5FlF0Tm
— Ministère de l'Intérieur (@Place_Beauvau) December 1, 2018 -
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"200 manifestants pacifiques et 1500 perturbateurs", selon Castaner
Sur Twitter, le ministre de l'Intérieur a estimé qu'il y avait "200 manifestants pacifiques sur les Champs-Elysées" et "1500 perturbateurs à l'extérieur du périmètre venus pour en découdre". "Nos forces de l'ordre répondent présent et repoussent les casseurs", a-t-il averti.
200 manifestants pacifiques sur les Champs-Élysées.
— Christophe Castaner (@CCastaner) 1 décembre 2018
1500 perturbateurs à l’extérieur du périmètre venus pour en découdre.
Nos forces de l'ordre répondent présent et repoussent les casseurs : déjà 39 interpellations. #1erDécembre -
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Des barricades
Vers 11 heures, des gilets jaunes installaient des barricades sur les Champs-Elysées à l'aide de mobilier urbain.
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Dans la Somme, une pétition pour destituer Macron
Dans la Somme, les #giletsjaunes ont lancé une pétition qui demande la destitution de macron. Ils font signer à chaque voiture qui passe # @BFMTV pic.twitter.com/hISoR37EQv
— Julia Van Aelst (@jvanaelst) 1 décembre 2018 -
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39 interpellations
39 manifestants ont été interpellés depuis le début de la matinée, selon un nouveau décompte de la préfecture. Parmi ces interpellations, plusieurs ont pour motif le port d'armes prohibés.
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Benjamin Griveaux appelle les gilets jaunes à réclamer leur chèque énergie
Au micro de BFMTV, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a appelé les gilets jaunes à réclamer leur chèque énergie.
"565.000 Français ne l'ont pas demandé. 150 € ce n'est pas la panacée, ça ne va pas régler tous les problèmes. Mais certains gilets jaunes m'ont dit qu'il leur restait 10 € à la fin du mois. Ceux-là, il faut qu'ils le demandent."
"560.000 Français ne l'ont pas demandé!" Griveaux appelle les gilets jaunes à réclamer leur chèque énergie de 150€ en ligne pic.twitter.com/660YVpAfGu
— BFMTV (@BFMTV) 1 décembre 2018 -
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"Arrêtez, ça ne sert à rien": l'appel de Baptiste, 23 ans, aux casseurs
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Les CRS peints en jaune
Certains manifestants ont jeté de la peinture jaune sur les CRS et gendarmes mobiles déployés sur les Champs-Elysées pour sécuriser l'événement.
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16 interpellations
Le nombre de personnes interpellées sur les Champs-Elysées a grimpé à 16 sur les coups de 10 heures du matin. De premières tensions ont éclaté peu avant 9 heures, après qu'un groupe de casseurs a tenté de forcer un barrage de police.
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"Je veux que la tension monte, si on reste gentils personne ne va comprendre", explique un gilet jaune
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Premières tensions avec les forces de l'ordre
De premiers affrontements entre forces de l'ordre et manifestants ont éclaté avant 9 heures sur la place de l'Etoile, au niveau des contrôles de police, où 500 à 600 manifestants s'étaient réunis. Un petit groupe de gilets jaunes a tenté de forcer le passage et des gaz lacrymogènes ont été pulvérisés par les CRS. Des fumigènes ont également été lancés.
D'autres manifestants ont tenté de se saisir de barrières pour former une barricade, selon notre journaliste sur place. Deux personnes ont par ailleurs été interpellées pour port d'arme prohibé, selon la préfecture de police. Au total, 16 manifestants ont été interpellés.
Après avoir été dispersés de la place de l'Arc de Triomphe, qui était alors encore ouverte à la circulation, les manifestants, pour certains encagoulés et masqués, se sont rabattus sur les avenues adjacentes, a constaté une journaliste de l'AFP.
Sur l'une d'elles, avenue Mac-Mahon, des poubelles ont été renversées et incendiées, déclenchant un petit feu de déchets au milieu de la chaussée.
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Christophe Castaner appelle les manifestants à la "sérénité"
Les premiers gilets jaunes sont arrivés tôt ce matin à Paris et se sont rassemblés en haut des Champs-Elysées. Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner s'est rendu sur place au côté des forces de l'ordre déployées en renfort. Il leur a rendu un hommage soutenu et a appelé à la "sérénité" contre les casseurs.
"Dans une contestation à un moment donné, il faut accepter le dialogue, quelques règles", a affirmé le ministre. "Il n'y a pas d'ordre public sans règles" ni "volonté de dialoguer", a-t-il souligné, fustigeant ceux qui "exigent" de rencontrer le gouvernement mais refusent ensuite de négocier.
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Six stations de métro fermées
Six stations de métro ont été fermées à Paris pour éviter les débordements, sur les lignes 1, 2, 6, 8, 9, 12 et 13: Argentine, Etoile, Concorde, Champs-Elysées-Clémenceau et Franklin-Roosevelt.
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Les Champs-Elysées sous haute sécurité
Dès 6 heures du matin ce samedi, les Champs-Elysées ont été placés sous haute sécurité en prévision de l'acte 3 de la mobilisation des Gilets jaunes. La "plus belle avenue du monde", épicentre de cette nouvelle journée de mobilisation, sera piétonnisée toute la journée de samedi.
Tout piéton qui voudra pénétrer dans ce périmètre verra ses sacs fouillés et son identité contrôlée. Des points de filtrage seront installés dans chaque rue adjacente. Par crainte d'incidents, des panneaux de bois ont déjà été apposés sur certaines vitrines tandis que le mobilier de chantier a été déblayé afin d'éviter qu'il ne serve de projectile.
Une partie du centre de Paris incluant notamment la Concorde sera fermée au public. 5000 policiers et gendarmes devraient être mobilisés pour éviter tout débordement.
[#Circulation] Demain 1er décembre, à l'occasion de plusieurs événements de voie publique à #Paris, des restrictions de circulation seront mises en place. @prefpolice conseille aux automobilistes de contourner très largement les zones concernées. pic.twitter.com/pD4zRyr41G
— Préfecture de police (@prefpolice) 30 novembre 2018 -
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Environ 11.000 gilets jaunes mobilisés en fin de journée ce vendredi selon l'Intérieur
Selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur, les gilets jaunes étaient environ 11.000 mobilisés en fin de journée ce vendredi en France.
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France 3 Nouvelle Aquitaine porte plainte pour deux journalistes violemment prises à partie en Dordogne
Une équipe de télévision de France 3 Nouvelle Aquitaine constituée de deux femmes d'une vingtaine et trentaine d'années a été violemment prise à partie ce vendredi par des gilets jaunes à Sarlat, en Dordogne. Elles se rendaient sur un sujet autre lorsqu'elles sont tombées à un rond-point sur un rassemblement et ont entrepris de "faire leur travail", a relaté la rédaction en chef de la chaîne locale, c'es-à-dire d'interviewer les manifestants et de prendre des images avec leur accord.
Si la rencontre s'est bien déroulée dans un premier temps, décrit l'AFP, un petit groupe distinct de gilets jaunes s'est alors approché des deux femmes, leur a demandé pourquoi elles filmaient, a exigé de récupérer les images, cassé un micro et insulté les journalistes. Des menaces physiques explicites de leur "faire la peau" si elles revenaient à Sarlat ont été proférées, a ajouté la rédaction en chef.
Les journalistes, qui n'ont pas pris de coups mais ont "pris peur", sont parties après quelques minutes et sont "bien choquées", rapporte l'AFP. Une plainte a été déposée au commissariat de Sarlat, a indiqué la rédaction en chef de Nouvelle-Aquitaine.
La préfète de la Dordogne Anne-Gaëlle Baudouin-Clerc a dans un communiqué "regretté" et "condamné les agissements à l'encontre de deux journalistes de France 3 Périgord" . Elle a appelé "au respect du travail des journalistes et de la liberté d'informer".
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"Ce n'est pas un self-service, Matignon", tacle Schiappa
Marlène Schiappa a regretté ce vendredi sur notre antenne la présence de seulement deux représentants des gilets jaunes à la rencontre organisée avec le Premier ministre et le ministre de la Transition écologique et solidaire.
"On leur ouvre les portes de Matignon en grand et il y a des personnes qui disent 'non finalement nous, on ne veut pas être reçus'. Alors pardon mais c'est pas un self-service Matignon, on ne choisit pas quand on y va, comment on y va, avec qui", a-t-elle déclaré.
La secrétaire d'Etat à l'égalité entre les femmes et les hommes a par ailleurs assuré que "sur le terrain", les gilets jaunes qu'elle a rencontrés "en voulaient" aux représentants qui ne se sont pas rendus à Matignon. "C'est dommage et je ne pense pas que ce soit validé par l'ensemble des gilets jaunes", a-t-elle relevé.
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"C'est notre devoir d'aller les écouter", estime Schiappa
La secrétaire d'Etat a considéré ce vendredi soir sur BFMTV que c'était le "devoir" du gouvernement d'écouter les revendications des gilets jaunes.
"C'est doublement mon devoir, en tant que membre du gouvernement et élue de la Sarthe, d'aller les écouter", a-t-elle estimé, après une rencontre ce matin avec des gilets jaunes de son département. "Je me suis engagée à faire un compte-rendu exhaustif de leurs demandes, de leurs revendications, au Premier ministre et au président de la République directement", a-t-elle ajouté.
Gilets Jaunes: pour Marlène Schiappa, "c'est notre devoir d'aller les écouter" pic.twitter.com/JPR5g0CXIB
— BFMTV (@BFMTV) 30 novembre 2018 -
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Mélencheron défilera à Marseille samedi
Interrogé sur sa participation à la mobilisation des gilets jaunes ce samedi, Jean-Luc Mélenchon a détaillé le plan d'action des députés France insoumise: "Nous avons pris la décision que chacun soit dans sa région. Alors les deux Réunionnais sont à la Réunion, les nordistes à Lille et moi je serai ici à Marseille avec cette marche extrêmement importante qui va faire converger quatre luttes. Tous les députés parisiens de la France insoumise seront certainement sur les Champs ou aux alentours avec les organisations syndicales, les gilets jaunes, etc.", a-t-il développé.
Jean-Luc Mélenchon défilera à Marseille demain pic.twitter.com/mHtqJKT5WN
— BFMTV (@BFMTV) 30 novembre 2018 -
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"Des revendications extrêmement hétérogènes" au sein des gilets jaunes, selon Schiappa
La secrétaire à l'égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a trouvé "dommage" sur notre antenne que seuls deux représentants des gilets jaunes se soient présentés à Matignon ce vendredi et précisé qu'elle ne "pensait pas que ce soit partagé par l'ensemble des gilets jaunes sur le territoire". "Les revendications sont extrêmement hétérogènes" au sein des gilets jaunes, a-t-elle assuré.
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"Une seule solution mise en oeuvre, le pourrissement"
Du côté de l'exécutif, "une seule solution est mise en oeuvre, c'est le pourrissement", a dénoncé ce vendredi sur notre antenne le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon. Il a décrit dans le mouvement des gilets jaunes "un processus de révolution citoyenne" que "le pouvoir le ne voit pas, il ne le comprend pas".
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Les Insoumis vont déposer une motion de censure
Jean-Luc Mélenchon a confirmé sur BFMTV que les Insoumis et le Parti communiste français allaient déposer une motion de censure au Parlement contre le gouvernement et sa "gestion catastrophique" du mouvement des gilets jaunes.
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Les Champs-Elysées sécurisés dès 6h samedi
La sécurisation des Champs-Elysées entrera en vigueur samedi, jour de manifestation des gilets jaunes, dès 6h avec des contrôles d'identité et des fouilles de sacs, selon un arrêté pris vendredi par le préfet de police de Paris.
La zone sécurisée va du rond-point des Champs-Elysées à la place Charles de Gaulle et englobe les 50 derniers mètres des artères menant à l'avenue des Champs-Elysées, selon l'arrêté. Des dispositifs de filtrage seront mis en place avec fouille des sacs et contrôles d'identité. Les terrasses doivent êtres fermées et vidées du mobilier "pouvant servir de projectile ou d'arme par destination". Les entreprises de travaux publics doivent également retirer les engins, les palissades et les matériaux.
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Deux gilets jaunes présents à Matignon sur huit invités
Devant la presse, le Premier ministre a précisé les conditions de la rencontre qui s'est tenue ce vendredi après-midi à Matignon. Huit représentants désignés par les gilets jaunes ont ainsi été invités. "Deux d’entre eux ont répondu à cette invitation et je les en remercie car j’ai compris que la décision de venir à Matignon n’avait pas été une décision facile pour eux", a salué Edouard Philippe. Sur ces deux représentants, l'un est parti dès le début de la rencontre en expliquant qu'il souhait qu'elle soit filmée et retransmise, ce qui n'a pas été autorisé.
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"La porte de Matignon sera toujours ouverte", assure le Premier ministre
"Je tiens à dire que la porte de Matignon sera toujours ouverte, si les gilets jaunes désignent des représentants nous pourrons continuer ce dialogue, nous pourrons continuer à le tenir", a assuré Edouard Philippe devant la presse à la sortie d'une rencontre avec un représentant des gilets jaunes.
Ces derniers jours, l'exécutif a rencontré des représentants de collectivités territoriales, d'ONG et d'associations. "Cet échange a eu lieu, il a eu avec moins de représentants que ce que j’espérais. Je pense que c’était important qu’il ait lieu", a souligné le Premier ministre.
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Edouard Philippe décrit une "discussion sérieuse et intéressante" avec un gilet jaune
"Pendant une bonne heure nous avons échangé. Ce représentant nous a dit l'inquiétude, l'angoisse, la colère parfois qu'il avait rencontrées dans les différentes rencontres. Il nous a beaucoup parlé du pouvoir d'achat, de la diminution du pouvoir d'achat des actifs, parfois jeunes. C'était une discussion sérieuse, intéressante, nous avons beaucoup écouté, nous avons beaucoup échangé", a déclaré le Premier ministre devant la presse à Matignon.
"Il aurait été incompréhensible de ne pas le voir" après les différents entretiens avec plusieurs structures, a poursuivi Edouard Philippe, qui a également remercié les deux gilets jaunes qui se sont déplacés au siège du Premier ministre pour le rencontrer.
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Les députés PCF et LFI veulent déposer une motion de censure contre le gouvernement
Les députés du Parti communiste français et de la France insoumise ont annoncé vouloir déposer une motion de censure contre le gouvernement au vu de la "gestion catastrophique" de la crise du mouvement des gilets jaunes par le gouvernement, ce qui implique qu'ils parviennent à se rassembler et rallier les signatures du PS, qui consulte.
Peu après le chef de file de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon, a aussi fait état sur Twitter de l'intention de son groupe de déposer une motion pour mettre "fin à la malfaisance de ce gouvernement et à sa politique" face à "l'impasse politique dans laquelle le gouvernement enferme le pays et pour exprimer la colère politique du peuple en action partout dans l'Hexagone et les Outre-Mer".
Devant l'impasse politique ds laquelle le gouvernement enferme le pays et pr exprimer la colère politique du peuple en action partout ds l'hexagone et les Outre-Mer, les députés LFI proposent qu'une motion de censure mette fin à la malfaisance de ce gouvernement et à sa politique
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 30 novembre 2018 -
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Jason Herbert précise les raisons de son départ de la rencontre à Matignon
Jason Herbert, l'un des représentants des gilets jaunes reçus à Matignon ce vendredi après-midi - qui précise d'ailleurs qu'il "ne représente personne, pas plus que chacun de (s)es citoyens", a exposé devant la presse les raisons pour lesquelles il n'a pas souhaité rester lors de la discussions.
"Je souhaitais que les 65 millions de Français ou peut-être un peu plus puissent entendent les discussions ou ce qui pouvait se dire", a-t-il expliqué pour justifier sa demande que la rencontre soit retransmise en direct, en intégralité et à la télévision.
Une demande qui a été refusée, d'où son départ du rendez-vous. Néanmoins, Jason Herbert a précisé que "le Premier ministre (lui) a(vait) fait part d'une chose"; "selon lui le dialogue est ouvert, il reste disponible pour ce dialogue et il se tient à la disposition de l'ensemble des FR la semaine prochaine pour poursuivre ce dialogue", a rapporté le gilet jaune devant les caméras. Jason Herbert a par ailleurs "invité tout le monde à se rassembler demain de façon très raisonnable".
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Un autre représentant des gilets jaunes encore à Matignon
Outre Jason Herbert, un autre gilet jaune a été reçu à Matignon par le Premier ministre pour la rencontre prévue avec des représentants du mouvement. Jason Herbert est lui rapidement ressorti, après avoir laissé le Premier ministre et le ministre de la Transition écologique, a-t-il précisé, car il a été refusé que "l'entretien soit filmé et retransmis en direct à la télévision".
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Un représentant des gilets jaunes quitte Matignon
Jason Herbert, représentant des gilets jaunes, a quitté Matignon. Lui non plus ne souhaite pas poursuivre les discussions dans les conditions actuelles. Il tenait lui aussi à ce que la rencontre soit retransmise. "Je souhaitais que les Français puissent entendre les discussions", a-t-il expliqué. "J’ai simplement par courtoisie laissé Edouard Philippe et François de Rugy se présenter avant de le faire à mon tour", a-t-il poursuivi. Il a déclaré: "Je les ai informés ne pas souhaiter poursuivre la discussion car il n'était pas possible de filmer l’entretien". Jason Herbert a ajouté: "Le Premier ministre reste ouvert à ce dialogue il se tient à la disposition de l’ensemble des Français la semaine prochaine pour poursuivre ce dialogue".
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Jul est jaune
Le rappeur marseillais Jul vient d'apporter son soutien aux manifestants.
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Un seul gilet jaune à Matignon
Situation confuse à Matignon, où la rencontre entre le Premier ministre et les porte-paroles prévue cet après-midi pourrait être annulée. En effet, ces derniers, ne se sentant pas légitimes, selon nos informations, pour s'exprimer au nom des manifestants, ont demandé que les échanges soient filmés et diffusés en direct sur Facebook, ce que refuse le chef du gouvernement. En conséquence, les représentants des gilets jaunes ne veulent pas se rendre à cette entrevue. Cependant, Jason Herbert, un ex-porte-parole des gilets jaunes, vient d'arriver à l'Hôtel Matignon.
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"Pas de fracture entre le peuple et l'exécutif" pour Schiappa
La secrétaire d'Etat à l'égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a rencontré ce vendredi des gilets jaunes dans la Sarthe (elle était auparavant adjointe au maire du Mans).
"C'est encore un mouvement peu organisé, c'e'st pour ça que je voulais les écouter directement", a-t-elle fait valoir. "Les gilets jaunes demandent de la considération, je les respecte, je les écoute", a-t-elle déclaré, rappelant toutefois qu'il fallait "d'abord arrêter les violences". "Toutes leurs revendications sont liées au pouvoir d'achat", a analysé la secrétaire d'Etat, qui estime qu'il n'y a pour autant pas de "fracture entre le peuple et l'exécutif".
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Les gilets jaunes reçus à Matignon cet après-midi
Le Premier ministre Edouard Philippe doit recevoir des représentant des gilets jaunes ce vendredi à 14 heures, à Matignon. Un nouvel entretien qui marque le point d'orgue de deux jours de rencontres, entamées jeudi avec François de Rugy, pour dessiner la "grande concertation" locale de trois mois voulue par Emmanuel Macron.
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Problème de communication entre la mairie de Paris et le ministère de l'Intérieur
La ville reproche au ministère de l'Intérieur de tarder à lui communiquer les informations concernant le dispositif de sécurité mis en place pour la manifestation de samedi.
"A ce stade, on est forcé de dire que de notre côté, nous trouvons la situation un peu confuse puisque nous ne connaissons pas de façon claire le dispositif qui a été arbitré par le ministère de l'Intérieur. Le délai sera immanquablement très court pour le mettre en oeuvre", a déploré Emmanuel Grégoire, premier-adjoint de la Ville de Paris lors d'une conférence de presse.
Le ministère de l'Intérieur doit préciser dans l'après-midi son dispositif de sécurité pour cette journée sous haute tension.
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Contre les gilets jaunes, les foulards rouges
"Puisque le préfet et les forces de l'ordre ne souhaitent pas faire respecter l'Etat de droit, le mouvement citoyen foulards rouges le fera lui-même, sans violence, mais avec détermination", déclare le groupement aux 1.193 adhérents sur sa page Facebook. Le mouvement des foulards rouges est né dans le Vaucluse, avec l'objectif de débloquer certains accès et routes ainsi que de nombreux ronds-points.
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Une société d'autoroutes porte plainte pour "entrave à la circulation"
Les actions engagées par les gilets jaunes depuis le 17 novembre ont poussé la société d'autoroutes AREA a prendre des mesures radicales. La société a porté plainte pour "entrave à la circulation" à la suite des opérations de "péages gratuits" menées par les manifestants, rapporte France 3 régions.
AREA cherche par ailleurs à retrouver les automobilistes qui auraient bénéficié de ces opérations en ne payant pas leur droit de passage.
Hier encore, le rond point de Voreppe, à proximité du péage, sur l'A48, était occupé, obligeant les CRS à intervenir.
#Grenoble Jeudi matin, intervention policière contre le "QG" des #GiletsJaunes installé au rond point de Voreppe, juste à côté du péage où des opérations péage gratuit ont été plusieurs fois réalisées.
— berurier (@berurier_) 30 novembre 2018
La cabane qui a été détruite est déjà en train d'être reconstruite.. pic.twitter.com/Y8I6X1RHJH -
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Jean-Luc Mélenchon se mêlera au cortège des gilets jaunes samedi
Les gilets jaunes ont lancé un appel à un "acte 3" ce samedi à Paris. Comme chaque semaine depuis le 17 novembre, les différents partis politiques scrutent les faits et gestes du mouvement et affichent leur soutien à des degrés différents. Certains dirigeants envisagent de se mêler au rassemblement dans les rues de la capitale.
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Les lycéens se révoltent
A Martigues, Marseille, Saint-Raphaël ou encore à Hyères, des lycéens rallient la fronde des gilets jaunes et bloquent leurs lycées. L'entrée de l'établissement Paul Langevin, à La Seyne, dans le Var, est barré depuis ce matin par les élèves, rapporte Var-Matin. Les CRS sont sur place pour apaiser les tensions alors que des feux de palettes ont été allumés.
Idem devant l'établissement Nelson Mandela à Marseille où les élèvent contestent la réforme des lycées et manifestent leur soutien aux gilets jaunes, indique La Provence.🔴 L'établissement Nelson Mandela à la Fourragère, #Marseille (13012), est actuellement bloqué par les lycéens, en soutien des #giletsjaunes pic.twitter.com/rlyQTtn95F
— La Provence (@laprovence) 30 novembre 2018 -
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Les gilets jaunes ont bloqué Rungis
Jeudi soir, les manifestants se sont regroupés pour organiser un blocage autour du péage de la porte de Thiais, donnant accès au marché de Rungis. Ils ont été délogés par les CRS durant la nuit.
📷🇫🇷 #France : Hier soir et ceux durant toute la nuit, les #GiletsJaunes ont bloqué le péage de #Rungis .
— -₽ - 🅣 - 🅐 - (@PorteTonAme) 30 novembre 2018
Il y avait de plus en plus de monde au cours de la nuit.
Ils sont motivés . pic.twitter.com/gFZGmKnWsn -
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Des heurts en marge d'un rassemblement à La Ciotat
Neuf personnes ont été placées en garde à vue ce vendredi après de heurts dans la nuit en marge d'un rassemblement des gilets jaunes à un péage de La Ciotat, dans les Bouches-du-Rhône. Sept majeurs âgés de 20 à 30 ans et deux mineurs ont été interpellés pour avoir participé à un rassemblement d'environ "180 casseurs", casqués et encagoulés. Des pneus ont été enflammés, du matériel urbain dégradé et des projectiles lancés sur les 80 fonctionnaires de police déployés.
Samedi dernier, des heurts avaient déjà éclaté à cet endroit, et la barrière de péage avait été saccagée. Onze personnes avaient été interpellées, dont huit ont comparu lundi et ont été placées en détention provisoire en attendant leur procès pour "dégradations volontaires" ou "rébellion", le 20 décembre.
#GiletJaune au péage de la ciotat. pic.twitter.com/0VYUW039hz
— вιтcoιn اًًًًًًًًًًًِِِِِِِِِِِِِِِِِِِ ιnғιnιтy (@Bitcoininfinity) 27 novembre 2018
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EN DIRECT - Les chefs de partis et des gilets jaunes reçus à Matignon dès lundi
Le calme était revenu dimanche après la mobilisation des "gilets jaunes" et un rare déferlement de violences dans plusieurs quartiers de Paris, et dans plusieurs villes de Province.
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