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Ce direct est à présent terminé, merci d'avoir suivi cette journée de mobilisation avec nous.
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12 policiers blessés à Bordeaux
Plusieurs milliers de "gilets jaunes" - 5.000 selon des sources policières à l'AFP - ont manifesté samedi à Bordeaux, un des bastions du mouvement, une mobilisation soutenue marquée à nouveau par des heurts entre forces de l'ordre et manifestants.
Selon la préfecture, 18 personnes ont été interpellées. Elle décompte par ailleurs 12 blessés parmi les forces de l'ordre par jets de projectiles, traumatismes sonores, etc, soulignant que les manifestants ont été "extrêmement violents".
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L'incendiaire du véhicule Sentinelle a été interpellé
La personne qui avait incendié ce samedi la voiture Sentinelle en marge de la manifestation parisienne a été interpellé dans la soirée, selon une source policière auprès de notre antenne.
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La députée élue à Châlons-en-Champagne dément que des dégradations aient été portées contre sa permanence
La députée Lise Magnier élue dans la Marne, que nous présentions improprement comme députée LR alors qu'elle est inscrite à Agir, dément formellement ce samedi soir sur Twitter que sa permanence ait été endommagée ce samedi contrairement à ce que nous affirmions plus tôt dans ce même direct. C'est la permanence de la députée LR Bérengère Poletti, élue dans les Ardennes, qui a eu une vitre brisée à Charleville-Mézières, comme l'atteste le tweet d'une journaliste de L'Union - L'Ardennais.
Les gilets jaunes s’en sont pris à la permanence de la députée Bérengère Poletti, en lançant des projectiles. Une fenêtre est cassée pic.twitter.com/40VSDJKQsE
— Amélie Girard (@ameliegirard) 9 février 2019 -
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Huit policiers légèrement blessés à Saint-Etienne
Huit policiers ont été légèrement blessés par des jets de projectiles à Saint-Etienne en marge de la manifestation des "gilets jaunes" lors d'affrontements avec de petits groupes de manifestants, dont onze ont été interpellés, a appris l'AFP samedi soir auprès de la préfecture de la Loire.
Une partie des 500 "gilets jaunes" qui avaient manifesté sans heurt à partir de 14H00 dans les rues de Saint-Etienne étaient repartis "lorsque vers 17H00 des groupuscules s'en sont pris aux policiers, qui ont riposté par des moyens appropriés", a précisé la même source.
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6000 personne sont manifesté à Toulouse
Plusieurs milliers de "gilets jaunes" -6.000 selon la police- ont manifesté samedi dans le centre de Toulouse, un des bastions du mouvement, en scandant inlassablement: "On n'est pas fatigués", a constaté une journaliste de l'AFP.
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Metz: 1.900 manifestants, des incidents et 5 interpellations
Des incidents entre des "gilets jaunes" et les forces de l'ordre samedi à Metz, où s'étaient rassemblés près de 1.900 manifestants selon la police, ont fait plusieurs blessés et cinq personnes ont été interpellées, a appris l'AFP auprès de sources concordantes.
Quatre gendarmes ont été transportés à l'hôpital "pour des blessures aux membres inférieurs et des troubles auditifs", ont indiqué les pompiers de Moselle. Deux "gilets jaunes" ont été hospitalisés, un homme "blessé à la cuisse et au bras et une dame de 56 ans incommodée par les gaz lacrymogènes", selon la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de Moselle.
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21 personnes placées en garde à vue à Paris
Sur les 36 interpellations à Paris, 21 gardes à vue ont été prononcées.
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Environ 50.000 manifestants en France ce samedi
51.400 manifestants en France samedi, dont 4.000 à Paris, selon des chiffres fournis par le ministère de l'Intérieur peu après 19h.
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36 interpellations à Paris
36 personnes ont été interpellées à Paris ce samedi, selon une source policière.
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31 interpellations à Paris
Selon une source policière, 31 personnes comptent désormais au nombre des interpellés à Paris en marge des manifestations.
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Corbière appelle Castaner à la démission
Alexis Corbière, député insoumis élu en Seine-Saint-Denis, invité sur notre plateau, a appelé le ministre de l'Intérieur a démissionner. "Je pense qu’il doit démissionner Castaner. Il est très incompétent. Il a dit chez Jean-Jacques Bourdin : «Les casseurs, on les connaît ». Pourquoi ne les arrête-t-il pas ?", a-t-il dit notamment.
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Mobilisation importante à Bordeaux
Entre 4.000 et 5.000 manifestants selon l'AFP sur place, défilaient samedi à Bordeaux, une mobilisation soutenue dans ce bastion des "gilets jaunes" marquée dans l'après-midi par quelques petits accrochages.
Selon les journalistes de l'AFP sur place, ce défilé rassemblait légèrement plus de monde que la semaine passée qui avait vu 4000 personnes manifester. La mobilisation avait néanmoins atteint jusqu'à 6.000 manifestants à la mi-janvier, selon la préfecture qui ne donne dorénavant plus de chiffres.
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Tensions entre gilets jaunes et forces de l'ordre à Lyon, 17 interpellations
Des heurts ont opposé ce samedi à Lyon des gilets jaunes et des forces de l'ordre, qui ont plusieurs fois empêché le cortège de manifestants d'entrer dans la "presqu'île", le noeud commerçant de l'hyper-centre lyonnais, annonce l'Agence France Presse. Partis comme chaque samedi de la place Bellecour avant 14H00, quelques milliers de manifestants ont d'abord longé la "presqu'île" côté Rhône, sans pouvoir entrer dans le centre-ville, repoussés à coups de grenades lacrymogènes par les forces de l'ordre, ont constaté des journalistes de l'AFP.
D'autres affrontements sont survenus au moment où les manifestants se sont approchés de la préfecture, puis lorsqu'ils ont tenté de regagner, sans succès, le centre-ville, notamment au niveau du pont de la Guillotière. La préfecture du Rhône a refusé de communiquer une estimation du nombre de manifestants, centralisée au niveau du ministère de l'Intérieur, mais elle a dénombré 17 interpellations. Ces arrestations ont été effectuées avant et pendant la marche, pour "caillassage en direction des forces de l'ordre" et détention d'armes par destination (feux d'artifice et projectiles), a-t-elle précisé. Treize personnes ont été placées en garde à vue.
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Castaner dit son "indignation et son dégoût" après l'incendie d'un véhicule de l'opération Vigipirate
Après qu'une voiture de l'opération Vigipirate a été incendiée ce samedi à Paris en marge de la manifestation, Christophe Castaner s'est insurgé sur Twitter. "Indignation et dégoût. Les militaires de la mission Sentinelle protègent au quotidien nos compatriotes du risque terroriste. Ces attaques sont intolérables. Tout sera mis en œuvre pour que leurs auteurs soient appréhendés et jugés", a-t-il écrit.
Indignation et dégoût.
— Christophe Castaner (@CCastaner) 9 février 2019
Les militaires de la mission Sentinelle protègent au quotidien nos compatriotes du risque terroriste.
Ces attaques sont intolérables.
Tout sera mis en œuvre pour que leurs auteurs soient appréhendés et jugés. pic.twitter.com/O1DEXYHYUP -
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21 interpellations à Paris
Le nombre des interpellations parisiennes s'élève désormais à 21.
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Des dégradations dans plusieurs quartiers de Paris
Selon des informations transmises par une source policière, une boutique Dior a été dégradée rue François Ier, dans le 8e arrondissement. Boulevard Saint-Germain, la vitre d'un abri-bus a aussi été endommagée. Deux agences bancaires ont également subi des dégradations rue de Rennes. Des manifestants s'en sont également pris à une agence de la Société générale boulevard du Montparnasse.
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16 personnes placées en garde à vue à Paris
17 personne sont donc été interpellées à Paris, et seize ont été placées en garde à vue à Paris.
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Des violences sur le Champs-de-Mars
Lieu d'arrivée de la manifestation, où elle devait théoriquement se disperser, le Champs-de-Mars est en proie à des tensions entre manifestants et force de l'ordre. Une voiture de patrouille des militaires du plan Vigipirate a notamment été incendiée. Au milieu des touristes, plusieurs centaines de gilets jaunes ont convergé au Trocadéro.
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17 interpellations à Paris
17 personnes ont été interpellées lors de ce 13e samedi de mobilisation à Paris qui réunissait 4000 manifestants à 14h, selon une source policière. Dix personnes ont été placées en garde à vue.
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1500 manifestants à Marseille et à Montpellier
Aux cris de "Macron, démission!" et "Marseille, debout, soulève-toi!", 1500 manifestants ont remonté la Canebière à Marseille ce samedi, selon la police. Ils ont rejoint la Plaine, une place du centre-ville en travaux, dont le projet de la réhabilitation de la mairie soulève d'importantes contestations, en hurlant "Marseille antifa, la Plaine, elle est à nous!".
À Montpellier, environ 1500 manifestants ont également défilé sous des banderoles: "Macron, rends l'ISF", "tous unis pour la démocratie et la solidarité".
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Le cortège parisien sous tension
Alors que les manifestants marchent en direction du Champs-de-Mars, des tensions ont émaillé le cortège. Des groupes de manifestants ont tenté de changer l'itinéraire prévue avec la préfecture. Des casseurs s'en sont également pris à des agences bancaires, des abribus et du mobilier urbain tandis que des poubelles et des deux-roues ont été incendiés.
Gilets jaunes: des poubelles et des deux roues incendiés rue de Vaugirard à Paris pic.twitter.com/Ldg4R4ETXu
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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Une mobilisation en baisse à 14h, selon l'Intérieur
A 14h, le ministère de l'Intérieur a décompté 12.100 manifestants mobilisés à travers la France, contre 17.400 la semaine dernière. A Paris, ils étaient 4000 à défiler en début d'après-midi, deux fois moins que la semaine précédente.
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Des milliers de gilets jaunes à Toulouse
Plusieurs milliers de manifestants ont défilé ce samedi dans le centre de Toulouse, un des bastions du mouvement des gilets jaunes. Des dizaines de personnes portant un masque jaune étaient en tête du défilé en criant "Macron salaud, le peuple aura ta peau".
Le dispositif de sécurité a été renforcé avec des unités de forces mobiles ainsi que deux véhicules blindés à roues de la gendarmerie et un engin lanceur d'eau, selon la préfecture. Le 19 janvier, au plus fort de la mobilisation à Toulouse, la préfecture avait décompté 10.000 manifestants, soit un record national. Depuis cette date, elle ne donne plus de chiffres, qui sont centralisés au niveau du ministère de l'Intérieur.
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Maxime Nicolle bloqué à Menton
Maxime Nicolle, alias "Fly Rider" n'a pas pu accéder à la frontière italienne. Les accès ont été bloqués par les forces de l'ordre. La figure des gilets jaunes est actuellement bloquée à Menton.
Avec d'autres manifestants, Maxime Nicolle voulait rejoindre Vintimille pour faire cause commune avec les gilets jaunes italiens, alors que la France et l'Italie sont en proie à des tensions diplomatiques.
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Le cortège parisien se dirige vers le Medef
Les manifestants du cortège parisien des gilets jaunes longe désormais les jardins du Luxembourg, où se trouve le Sénat. Contrairement au parvis de l'Assemblée nationale, celui de la Chambre haute n'a pas été le théâtre de violents heurts entre manifestants et forces de l'ordre. Désormais, les gilets jaunes se dirigent vers le siège du Medef, principal syndicat patronal, avant de se rendre au point de chute du cortège, le Champ-de-Mars.
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Jacline Mouraud veut une "refonte profonde" de la Constitution
Tandis que la mobilisation des gilets jaunes se poursuit ce samedi, notamment à Paris, l'une de ses premières figures, Jacline Mouraud, a fait plusieurs propositions pour refonder les institutions françaises. La cheffe de file des "Émergents" demande notamment la fin de la "dualité" au sommet de l'exécutif - à savoir le partage du pouvoir entre président de la République et Premier ministre.
Dans le cadre du grand débat national, Jacline Mouraud préconise, dans un communiqué transmis à l'AFP, de faire du locataire de Matignon un "président du Conseil" (façon IVe République) qui détiendrait les véritables rênes du pouvoir. Selon son projet, le quinquennat serait conservé mais la France adopterait non plus un régime de type présidentiel mais "un régime parlementaire (...) à l'image de l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie..."
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À Bordeaux, les gilets jaunes occupent la place de l'Hôtel de Ville
Plusieurs centaines de manifestants sont mobilisés dans le centre-ville de Bordeaux, où le maire, Alain Juppé, suit l'évolution du mouvement heure par heure. Dans le cortège, relativement statique et calme, les gilets jaunes militent pour des causes variées, certains arborant le drapeau de la CGT ou de La France insoumise, d'autres demandant la mise en place du Référendum d'initiative citoyenne (RIC) ou le Frexit (sortie de la France de l'Union européenne).
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"Il n'avait plus grand-chose au-dessus du poignet"
Selon un témoin des échauffourées qui ont eu lieu devant l'Assemblée nationale, l'individu qui a eu une main arrachée par une grenade de désencerclement était un "photographe gilet jaune".
"Quand les flics ont voulu disperser les gens, il a reçu une grenade de désencerclement au niveau de son mollet, il a voulu mettre un coup de main dedans pour ne pas qu'elle explose vers sa jambe et elle a pété quand il l'a touchée", raconte ce témoin, Cyprien Royer, qui a filmé la scène. "On l'a mis sur le côté, on a appelé les street-medics, c'était pas beau: il hurlait de douleur, il n'avait plus aucun doigt, il n'avait plus grand-chose au-dessus du poignet".
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Présence policière discrète dans le 6e arrondissement
Le cortège en direction du Sénat continue sa route, dans une atmosphère très différente de celle vue aux abords de l'Assemblée nationale. Quelques dégradations sont en revanche commises: des feux de poubelle, du matériel de travaux dérobé par les manifestants (souvent cagoulés et non-vêtus de gilets jaunes) afin d'être projeté sur les forces de l'ordre. Sur le parcours du cortège, la présence policière est plutôt discrète.
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10 interpellations à Paris
Depuis le début de cette 13e journée de mobilisation des gilets jaunes à Paris, au cours de laquelle des tensions ont éclaté notamment devant l'Assemblée nationale, 10 personnes, pour l'heure, ont été interpellées selon la préfecture de police de la capitale. Deux individus parmi les manifestants ont été blessés, notamment un homme qui a perdu une main en tentant de renvoyer une grenade de désencerclement en direction des forces de l'ordre.
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Un manifestant a eu une main arrachée
Lors des affrontements qui ont eu lieu devant l'Assemblée nationale entre forces de l'ordre et gilets jaunes (réels ou prétendus), un manifestant a perdu sa main. Selon une source policière, cet individu (qui n'était pas vêtu d'un gilet jaune) a voulu récupérer une grenade de désencerclement pour la renvoyer sur les forces de l'ordre. La grenade a détonné avant qu'il ne puisse s'exécuter.
Gilets jaunes: un manifestant a été grièvement blessé à la main devant l'Assemblée nationale pic.twitter.com/73KAuRCAyb
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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La marche a repris sur le boulevard Saint-Germain
Après les quelques tensions qui ont éclaté devant l'Assemblée nationale, le cortège parisien de gilets jaunes a repris sa marche, le long du boulevard Saint-Germain désormais. L'ambiance s'est apaisée. Le Sénat, situé au jardin du Luxembourg, est la prochaine étape prévue.
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Des casseurs tentent d'escalader les grilles de l'Assemblée
Plusieurs individus affrontent les forces de l'ordre, regroupées devant l'Assemblée nationale. Certains tentent de passer au-dessus des grilles du palais Bourbon. Aussi bien des personnes vêtues d'un gilet jaune que celles arborant un masque et une combinaison noire lancent des projectiles sur l'échafaudage devant l'Assemblée et sur les CRS présents sur place.
Gilets jaunes: des tirs de gaz lacrymogène lancés devant l'Assemblée nationale pic.twitter.com/b6h7Xu5h7b
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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Situation tendue devant le palais Bourbon
Des gilets jaunes lancent des projectiles en direction de l'Assemblée nationale, où la situation s'est tendue avec les forces de l'ordre. Les tirs de gaz lacrymogène se multiplient et des manifestants tentent de dégrader les palissades installées devant le palais Bourbon pour des travaux. Certains écrivent des graffitis, tandis que des Blacks Blocs sont intervenus pour essayer de faire tomber les palissades.
Gilets jaunes à Paris: des individus lancent des projectiles devant l'Assemblée nationale pic.twitter.com/Bteu2QeMVi
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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Un blessé parmi les forces de l'ordre
Un commissaire de police a été blessé à la lèvre ce samedi pendant la mobilisation des gilets jaunes à Paris. Il aurait reçu un "coup de poing" selon une source policière et n'est pas dans un état grave. On ignore pour l'heure si la blessure est le fait d'un gilet jaune ou d'un casseur.
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Les CRS se regroupent devant l'Assemblée nationale
Étape cruciale du parcours des gilets jaunes ce samedi à Paris, le parvis de l'Assemblée nationale est le théâtre de quelques tensions entre forces de l'ordre et manifestants. Des tirs de gaz lacrymogène ont été effectués devant le palais Bourbon, où doit passer le cortège fait de plusieurs centaines de gilets jaunes. Une fois les CRS réunis face aux manifestants, ils se sont mis à l'arrêt, avant de reprendre leur marche.
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Premières tensions entre manifestants et CRS à Paris
Quelques tensions ont éclaté ce samedi midi à Paris entre forces de l'ordre et gilets jaunes. Les CRS ont fait usage de gaz lacrymogène pour disperser la foule avant que les premiers heurts de cette treizième journée de mobilisation ne dégénèrent.
De premières tensions éclatent à Paris entre gilets jaunes et forces de l'ordre pic.twitter.com/8PKclATAJu
— BFMTV (@BFMTV) 9 février 2019 -
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Avenue Montaigne, les gilets jaunes chantent une Marseillaise
Momentanément à l'arrêt, le principal cortège de gilets jaunes parcourt désormais l'avenue Montaigne, via laquelle il doit normalement rejoindre le Quai d'Orsay, où se situe le ministère des Affaires étrangères. Les CRS qui encadrent le défilé se sont temporairement arrêtés, pause pendant laquelle les gilets jaunes ont chanté une Marseillaise.
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"Benalla, en prison", scandent des manifestants
Le cortège de gilets jaunes qui descend les Champs-Élysées a pris de l'ampleur. Plusieurs centaines de manifestants marchent en faisant face aux CRS mobilisés pour encadrer la mobilisation. Ils sont nombreux à scander "Benalla, en prison", ou à adresser un "cassez-vous" aux forces de l'ordre. Pour autant, aucun débordement notable n'est à signaler pour l'instant.
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Le gilet jaune Jérôme Rodriguez présent ce samedi
Une semaine après avoir été gravement blessé à l'œil par une grenade de désencerclement, le gilet jaune Jérôme Rodrigues s'est rendu dans le principal cortège parisien des gilets jaunes ce samedi.
Jérôme Rodrigues, le gilet jaune blessé à l’œil, présent sur les Champs-Élysées ce samedi pic.twitter.com/s7vgFRWrtO
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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Le cortège se met en marche
Les centaines de gilets jaunes réunis à la place de l'Étoile se sont mises en mouvement. Ils descendent donc la "plus belle avenue du monde", avant de rejoindre, comme le parcours le prévoit, plusieurs lieux symboliques du pouvoir, du Quai d'Orsay au Medef en passant par l'Assemblée nationale et le Sénat. Pour l'heure, peu de tensions sont visibles. Les forces de l'ordre, qui font face au cortège, recul au fur et à mesure qu'avancent les manifestants.
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Un dispositif policier "important", rapporte Castaner
Le dispositif de sécurité mis en place ce samedi pour le 13e jour de mobilisation nationale des gilets jaunes "reste important", a déclaré le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner. "Il reste trop important, (...) personne ne souhaite ces mobilisations du samedi, du côté des forces de l'ordre, personne ne souhaite cette récurrence-là", estime-t-il.
Gilets jaunes: pour Castaner, le mouvement se poursuit "assez faiblement" pic.twitter.com/4917FaQ6x4
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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Castaner accuse les gilets jaunes de vouloir "nuire aux institutions"
Le ministre de l'Intérieur s'est exprimé une première fois ce samedi pour faire un premier point sur le 13e jour de mobilisation nationale des gilets jaunes. "Comme une sorte de rituel, il y a ces manifestations, désorganisées, très peu déclarées. (...) Les principaux leaders ont décidé de ne pas déclarer ces manifestations et donc de chercher à gêner les forces de l'ordre", a-t-il déploré. Le locataire de la place Beauvau accuse les quelques gilets jaunes mobilisés à Paris de vouloir "nuire" aux "institutions".
Gilets jaunes: pour Castaner, le mouvement se poursuit "assez faiblement" pic.twitter.com/4917FaQ6x4
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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Des gilets jaunes à la frontière italienne
À Vintimille, des gilets jaunes veulent jeter des ponts vers l'Italie. Maxime Nicolle, alias "Fly Rider", a déjà manifesté vendredi de l'autre côte de la frontière, pour faire cause commune avec des gilets jaunes italiens. Un rassemblement est attendu ce samedi au péage qui sépare les deux pays, actuellement en proie à des tensions politiques entre Emmanuel Macron et le gouvernement anti-système de Rome.
Luigi Di Maio, chef de file du Mouvement 5 étoiles, s'est récemment affiché avec le gilet jaune français Christophe Chalençon. De quoi semer la zizanie, d'ailleurs, au sein de la liste "Ralliement d'initiative citoyenne" lancée pour les élections européennes et dirigée par Ingrid Levavasseur.
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Un cortège à la taille imprévisible
Le principal parcours prévu à Paris, entre la place de l'Étoile et le Champ de Mars, a intéressé plusieurs milliers de personnes sur les réseaux sociaux. Difficile de savoir si le cortège va atteindre cette ampleur. En attendant, environ 500 personnes se tiennent désormais prêtes en haut des Champs-Élysées, brandissant pancartes et banderoles. Certains disent être là pour pousser un cri d'alarme en faveur des SDF en France.
Les images des gilets jaunes qui commencent à se rassembler sur les Champs-Élysées pic.twitter.com/JfL4xr7IIN
— BFMTV (@BFMTV) February 9, 2019 -
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Place de l'Étoile, les gilets jaunes font face aux forces de l'ordre
Le cortège qui doit partir de la place de l'Étoile à midi commence à prendre de l'ampleur. Plusieurs centaines sont rassemblés en haut des Champs-Élysées et disent vouloir manifester "pacifiquement". En attendant le départ du cortège, certains participants font face à un mur d'agents des forces de l'ordre, mobilisés pour l'occasion.
Beaucoup des personnes présentes sur la principale avenue de Paris disent ne pas en être à leur première journée de mobilisation. Un signe de la détermination d'une partie des gilets jaunes, malgré le reflux global que connaît le mouvement de semaine en semaine.
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Plusieurs autres foyers de mobilisation prévus à travers le pays
Hormis à Bordeaux, Marseille et Toulouse, où se sont déroulé d'importantes mobilisations de gilets jaunes depuis le début du mouvement, des manifestations sont prévues à Montpellier, Lille, Nantes, Brest, Caen et Lorient. Une fragmentation à l'image des tiraillements qui marquent actuellement le mouvement des gilets jaunes, notamment depuis qu'il percute la campagne des élections européennes.
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Quel dispositif de sécurité?
Pour ce 13e samedi de mobilisation des gilets jaunes, quatre blindés ont été prévus à Paris. Un millier de d'agents des forces de l'ordre sont également mobilisés en renfort dans la capitale.
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Un parcours devant les bâtiments officiels
Le principal cortège déclaré de ce samedi, pour l'heure, est celui qui doit partir de la place de l'Étoile et rejoindre le Champ de Mars. Après l'avenue des Champs-Élysées, les gilets jaunes comptent passer devant plusieurs bâtiments officiels de la République, parmi lesquels l'Assemblée nationale, le Sénat et le Quai d'Orsay.
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Quelques centaines rassemblées place de l'Étoile
Les gilets jaunes rassemblés en haut des Champs-Élysées sont, pour l'instant, entre 200 et 300. Ils sont réunis place de l'Étoile, lieu symbolique de la contestation depuis ses débuts, notamment les violences qui avaient marqué la mobilisation du 1er décembre.
Une bannière exigeant la mise en place du Référendum d'initiative citoyenne (RIC) a été dressé par un groupe de manifestants.
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Des cortèges informels à craindre
D'après la préfecture de police de Paris, cette 13e journée de mobilisation des gilets jaunes représente un "retour au principe de non-déclaration des manifestations", contrairement à ce qui a prévalu les dernières semaines, lors desquelles le mouvement s'était doté d'un service d'ordre. "Des rassemblements et cortèges informels ne sont pas à exclure", affirme la préfecture.
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Quels rassemblements ont été annoncés ce samedi?
Alors que la mobilisation a reflué lors des deux derniers samedis avec 58.600 personnes dénombrées la semaine dernière, un chiffre contesté par les gilets jaunes, la participation à cette nouvelle journée va être particulièrement scrutée.
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Le rassemblement à Paris débute
Les premiers gilets jaunes sont arrivés place de l'Étoile, où doit démarrer la manifestation parisienne censée aller jusqu'au Champs de Mars.
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13e journée de mobilisation des gilets jaunes
Pour le 13e week-end d'affilée, les gilets jaunes se sont donnés rendez-vous partout en France. A Paris, une manifestation a été déclarée et doit se dérouler de la place de l'Étoile jusqu'au Champs de Mars. Trois autres rassemblements ont également été évoqués dans la capitale. En province, l'attention se portera de nouveau sur Bordeaux et Marseille, tandis qu'une mobilisation est également prévue à la frontière avec l'Italie.
Gilets jaunes: à quoi s'attendre pour cette treizième journée de mobilisation? pic.twitter.com/VOUxuMvwvd
— BFMTV (@BFMTV) 9 février 2019
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En direct
EN DIRECT - Gilets jaunes: l'auteur de l'incendie du véhicule Sentinelle à Paris interpellé
Une semaine après la "marche des blessés", les gilets jaunes poursuivent leur action ce samedi pour ce qui est leur 13e journée de mobilisation nationale. Des appels à manifester ont été lancés partout en France, notamment à Paris, Bordeaux et Marseille. Suivez la situation en direct.
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