Bernard Tapie : "J'ai vécu des trucs faux avec Mediapart"
Mis à jour le
L'homme d'affaires Bernard Tapie s'est exprimé sur l'affaire Cahuzac, et en a profité pour régler quelques comptes avec Mediapart.
Bernard Tapie, désormais patron de presse avec le rachat notamment de La Provence et Nice Matin, s'est exprimé mardi soir sur BFMTV sur l'affaire Cahuzac, et plus particulièrement sur Mediapart, qu'il connaît bien pour en avoir déjà été la cible.
Interrogé par Ruth Elkrief sur le traitement à venir de l'affaire Cahuzac par les journalistes de son groupe, Bernard Tapie s'est exclamé : "Cela vaut trois lignes et pas plus ! Je ne le connais pas personnellement, mais j'ai vécu tellement d'expériences avec Mediapart que je prends tout ce qu'on y lit avec beaucoup de recul..."
En septembre dernier par exemple, le site évoquait "la vie de nabab" de l'homme d'affaires, qui avait touché 403 millions d'euros à l'issue du procès Adidas-Crédit Lyonnais.
"Moi, j'ai vécu des trucs faux de A à Z ! Et quand je dis cela, je veux dire qu'il n'y avait pas l'ombre d'une preuve. En revanche, beaucoup d'autres médias, cachés derrière Mediapart, reprenait leurs informations. "Selon Mediapart..." Non ! De temps en temps c'est vrai, de temps en temps ça ne l'est pas", a-t-il tenu à dire. "Laissons faire maintenant la deuxième étape car, Dieu merci, cette fois-ci, la justice est saisie."
Interrogé par Ruth Elkrief sur le traitement à venir de l'affaire Cahuzac par les journalistes de son groupe, Bernard Tapie s'est exclamé : "Cela vaut trois lignes et pas plus ! Je ne le connais pas personnellement, mais j'ai vécu tellement d'expériences avec Mediapart que je prends tout ce qu'on y lit avec beaucoup de recul..."
En septembre dernier par exemple, le site évoquait "la vie de nabab" de l'homme d'affaires, qui avait touché 403 millions d'euros à l'issue du procès Adidas-Crédit Lyonnais.
"Moi, j'ai vécu des trucs faux de A à Z ! Et quand je dis cela, je veux dire qu'il n'y avait pas l'ombre d'une preuve. En revanche, beaucoup d'autres médias, cachés derrière Mediapart, reprenait leurs informations. "Selon Mediapart..." Non ! De temps en temps c'est vrai, de temps en temps ça ne l'est pas", a-t-il tenu à dire. "Laissons faire maintenant la deuxième étape car, Dieu merci, cette fois-ci, la justice est saisie."
Votre opinion