Trierweiler se dit "heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine"

Valérie Trierweiler lors de la passation de pouvoir à l'Elysée, en mai 2012. - -
Le tacle de Trierweiler sur Twitter
Quand Valérie Trierweiler a un message à faire passer, son médium favori reste Twitter. Après son fameux tweet de soutien à Olivier Falorni, l'ancienne première dame continue de lancer ses missives en 140 signes. Elle a ainsi commenté à sa manière la venue du président russe aux cérémonies du 70e anniversaire du Débarquement. "Heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine...", a-t-elle tweeté mercredi soir.
Heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine ...
— Valerie Trierweiler (@valtrier) June 4, 2014
Si Vladimir Poutine n'a pas les faveurs de Valérie Trierweiler, il a celles du député Thierry Mariani, qui a défendu mercredi soir la "brillante interview de poutine", accordée le matin même à TF1 et Europe1.
Hallucinant de voir à nouveau le déferlement anti-russe de la majorité des "élites" françaises après la brillante interview de #Poutine
— Thierry MARIANI (@ThierryMARIANI) June 4, 2014
Avant l'UMP, le néant
Petite fatigue pour le député Thierry Mariani jeudi matin sur Twitter. Alors que l'UMP se cherche un nouveau président, le député semble se désoler du spectacle offert par son parti, secoué par l'affaire Bygmalion.
Il existait jadis la notion de"compagnonnage"au sein des mouvements gaullistes.
Et rappelle que la présidence de l'UMP est un tremplin stratégique pour qui occupe ce poste. Quitte à réécrire un peu l'histoire de la droite. "Chirac a pris le dessus sur Balladur parce qu'il dirigeait l'#UMP. Sarkosy (sic) à pris le dessus sur Villepin parce qu'il dirigeait l'UMP et..." Ou la deuxième mort du RPR.
Chirac a pris le dessus sur Balladur parce qu'il dirigeait l'#UMP. Sarkosy à pris le dessus sur Villepin parce qu'il dirigeait l'UMP et ....
— Thierry MARIANI (@ThierryMARIANI) June 5, 2014
Hortefeux, le grand pardon
En 2012, à l'entre-deux tour de l'élection présidentielle, François Bayrou avait publiquement annoncé qu'il allait voter pour François Hollande. Un désaveau cuisant pour Nicolas Sarkozy et sa campagne jugée beaucoup trop à droite par le leader centriste. Deux ans plus tard, Brice Hortefeux a convenu qu'il n'avait pas oublié cet épisode. "Oublier, non; pardonner, oui", a-t-il résumé jeudi matin sur BFMTV-RMC.
Cambadélis et la "crise des partis"
"Toute les formations politiques sont en crise". Interrogé jeudi matin sur RTL sur l'impopularité du chef de l'Etat, le premier secrétaire du PS a répondu par une pirouette. "C'est un problème qui touche l'ensemble de la société, a-t-il estimé. La France traverse une grave crise de représentation". Selon lui, "toutes les formations politiques sont en crise". "Le sujet est de savoir si nous sommes en capacité de modifier la situation économique et sociale. Si ça se fait, le rapport de François Hollande avec les Français changera", a-t-il assuré.