Manuel Valls a passé l'épreuve de confiance ce mardi

Les députés votent actuellement sur la confiance au gouvernement de Manuel Valls. - -
Le nouveau Premier ministre Manuel Valls a exposé sa feuille de route devant l'Assemblée nationale ce mardi 8 avril. Dans un même temps, le texte a été lu aux sénateurs par le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius.
Baisse des charges aux entreprises, baisse des cotisations sur le SMIC, baisse du nombre des régions: le programme économique et la réforme des collectivités territoriales ont été les thématiques marquantes de ce discours.
A l'issue de celui-ci a eu lieu le vote de confiance, crucial pour le nouveau gouvernement. Quelque 306 députés ont voté pour, 239 contre. Vingt-six se sont abstenus. Parmi eux, onze membres du groupe socialiste.
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19h45 - Pour Rachida Dati, "le ton et l'énergie" ne font pas tout
L'une des premières voix d'opposition à réagir mardi soir, la maire UMP du 7e arrondissement de Paris Rachida Dati, a souligné sur BFMTV que le "ton" et "l'énergie" qui émanaient du discours de Manuel Valls "n'empêchaient pas le chômage". Selon elle, le nouveau Premier ministre a simplement "un catalogue de mesures" sans éprouver la moindre "empathie".
19h20 - "A priori 10 députés EELV" sur 16 ont voté la confiance. Ce sont les chiffres avancés sur BFMTV par Barbara Pompili, la coprésidente du groupe EELV à l'Assemblée nationale, après le vote sur BFMTV. Six se sont abstenus. L'élue a toutefois réfuté une "scission" au sein de son groupe sur l'attitude à adopter vis-à-vis du nouveau gouvernement: "nous sommes sur la même analyse", a-t-elle affirmé.
19h05 - 11 députés socialistes se sont abstenus lors du vote de confiance, selon nos informations. "Onze personnes encore à convaincre", a commenté sur BMFTV le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, qui a préféré insisté sur la "forte majorité" qui a voté la confiance et sur le ton de "rassemblement" de Manuel Valls.
18h50 - La confiance a été accordée à Manuel Valls avec 306 voix contre 239 et 26 abstentions. Le nouveau Premier ministre a obtenu largement plus que la majorité absolue des 577 membres de l'Assemblée nationale (289 voix), mais n'a pas fait le total des voix des trois groupes de la majorité (socialistes, écologistes et radicaux de gauche) qui totalisent 325 députés.
18h25 - Place au vote. La séance a été levée à l'Assemblée, pour permettre aux députés de voter.
18h15 - Valls "veut associer pleinement" le Parlement à sa politique. "La voix du dialogue sera toujours présente car nous n'avons pas le choix", martèle Manuel Valls, qui s'adresse ainsi à l'opposition. Mais il n'oublie pas non plus les députés communistes: "je suis convaincu, sans rien nier de nos différences, que nous pouvons faire un bout de chemin ensemble", lance-t-il notamment à André Chassaigne, chef de file des députés communistes.
18h00 - Valls répond. "Nous sommes là pour tirer les enseignements de la défaite aux municipales", rappelle Manuel Valls, qui répond aux chefs de groupes à l'Assemblée. "Il y a beaucoup de souffrance, et elle s'est notamment manifestée par l'abstention". "Sortons des ornières et des caricatures", lance Manuel Valls à Christian Jacob, chef de file des députés UMP.
17h55 - "Tout ça pour ça?", demandent les Verts. C'est peu de dire que Europe Ecologie - Les Verts est déçu par le discours de Manuel Valls, même si une majorité de députés EELV devraient voter la confiance au gouvernement. Dans un communiqué, EELV fustige "beaucoup de communication mais peu de changement". Mais les écologistes affichent leur satisfaction face à "la volonté de supprimer les départements au profit des régions".
17h45 - "La montagne a accouché d'une souris", pour Nicolas Dupont-Aignan. Le président de Debout la République a vu dans le discours de Manuel Valls "exactement la même chose que sous Jean-Marc Ayrault". "Ce qui est tragique dans cette affaire, c’est qu’en changeant de Premier ministre, le président de la République a voulu faire croire qu’il y aurait un grand changement, qu’on allait enfin aboutir. Mais en réalité, il n’y aura rien pour les Français en plus, aucun résultat", déplore Nicolas Dupont-Aignan sur BFMTV.
17h20 - Du côté de l'Assemblée des départements de France, on est "abasourdi" par l'annonce de Manuel Valls, qui a annoncé vouloir "supprimer les conseils départementaux à l'horizon 2021". Son président, Claudy Lebreton, dénonce dans un communiqué "la brutalité de la méthode employée par le gouvernement, puisqu'aucun échange préalable n'a eu lieu avec l'ADF avant cette annonce".
17h10 - "Le degré zéro de l'imagination politique". Le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, ne mâche pas ses mots après le discours de Manuel Valls.
ZAPPING - Le discours de Manuel Valls en 2'30
16h54 - Après François Sauvadet pour l'UDI, François De Rugy prend la parole pour le groupe écologiste.
16h48 - "A certains moments du discours de Manuel Valls, j'avais l'impression d'être dans un pays du XXe siècle", a réagi Malek Boutih, le député de l'Essonne, sur BFMTV.
16h45 - "C'est le degré zéro de l'imagination politique", a réagi Jean-Luc Mélenchon sur BFMTV.
16h20 - Le discours de politique générale de Manuel Valls en intégralité:
16h16 - Fin du discours de Christian Jacob. L'autorité de Manuel Valls est déjà "profondément atteinte" par le "rétrécissement" de sa majorité, a estimé le chef de file des députés UMP.
"Mais finalement tout cela n'a pas beaucoup d'importance (...) Pour nous, le seul responsable, c'est François Hollande et c'est à lui seul de rendre des comptes au peuple français", a-t-il jugé.
16h10 - Christian Jacob raille Ségolène Royal et Michel Sapin, "présents aux mêmes postes il y a un quart de siècle".
"J'imagine la déception des 80% de Français qui déjà ne vous font plus confiance. Ils attendaient du changement. Que voient-ils? Un gouvernement Valls qui n'est finalement qu'un gouvernement Ayrault avec Valls à la place d'Ayrault. Aucun changement. Pire même, on retrouve Madame Royal et Monsieur Sapin qui occupaient les mêmes fonctions il y a un quart de siècle", a-t-il jugé.
16h02 - "Personne ne veut de la réforme des rythmes scolaires". En réponse au discours de Manuel Valls, Christian Jacob a demandé au Premier ministre de "renoncer une réforme dont personne ne veut" et "de la passer par pertes et profits". Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale a aussi jugé que "la seule bonne nouvelle du remaniement, est que monsieur Peillon" ait été "remercié".
15h50 - Le chef de file des députés UMP Christian Jacob prend la parole.
15h48 - "Je vous demande le cœur battant de m'accorder votre confiance pour qu'ensemble, cette confiance, nous la rendions aux Français". Fin du discours de Manuel Valls après près de 47 minutes. Le côté alloué à la majorité est debout dans l'hémicycle.
Invité exceptionnel demain : Je reçois @manuelvalls de 8h30 à 9h sur @RMCinfo et @BFMTV @Matignon
— Jean-Jacques Bourdin (@JJBourdin_RMC) 8 Avril 2014
15h42 - "La France sera forte si elle est juste. Soyons fiers d'être Français. La France est un pays qui a toujours vu plus loin que lui".
"Notre pays a le plus bel atout qui soit: la République et ses principes de tolérance, de solidarité, de respect, de progrès", a dit Manuel Valls.
"Peu de pays" permettent les "plus hautes fonctions" à des citoyens nés à l'étranger, a-t-il dit à son propos puisqu'il est né en Espagne.
15h38 - "L'aménagement des rythmes scolaires... est une bonne réforme", a déclaré Manuel Valls sous les cris de l'opposition. "Elle pourra être assouplie après concertation avec les enseignants, les parents et les élus".
15h34 - "Je propose de réduire de moitié le nombre de régions" pour une application, au pus tard, en janvier 2017. Cette mesure s'inscrit dans une logique de décentralisation et de réduction "du mille-feuille administratif". "Les régions qui souhaitent fusionner pourront faire des propositions".
Il a aussi proposé de supprimer les conseils départementaux "à l'horizon 2021". A l'inverse, "le maillage territorial des préfectures et sous-préfectures ne sera pas remis en cause".
15h29 - La loi sur la transition énergétique sera présentée "avant l'été". Cette proposition correspond aux attentes des écologistes et notamment d'Emmanuelle Cosse, mardi matin sur BFMTV.
Elle "comprendra l'objectif de limiter le nucléaire à 50% de la production d'électricité d'ici à 2025, a confirmé le Premier ministre. La transition énergétique sera l'une de mes priorités", a-t-il affirmé. "Il s'agit là d'un enjeu planétaire majeur, auquel nous répondrons en nous dotant d'une véritable stratégie bas carbone".
15h27 - Des mesures en faveur des ménages modestes à hauteur de 5 milliards d'euros d'ici à 2017. Ces mesures comprendront des mesures d'allègements fiscaux et d'un coup de pouce sur les cotisations salariales des salaire au niveau du Smic.
15h25 - "Le pacte de solidarité". "Le Pacte est aussi un Pacte de solidarité, il doit améliorer le pouvoir d'achat des salariés les plus modestes", a-t-il déclaré. "Le meilleur moyen c'est d'agir sur les cotisations salariales pour augmenter le salaire net, celui que l'on touche à la fin du mois. Dès le 1er janvier 2015, elles seront diminuées pour les salaires au niveau du SMIC", a-t-il indiqué.
15h20 - Manuel Valls donne des détails sur le pacte de responsabilité et annonce la suppression des charges pour l'employeur d'un salarié payé au Smic à partir du 1er janvier 2015. Par ailleurs, le gouvernement Valls maintient l'objectif d'allèger le coût du travail de 30 milliards d'euros d'ici 2016.
"Pour les salaires jusqu'à 3 fois et demi le Smic, c'est-à-dire plus de 90% des salariés, les cotisations famille seront abaissées de 1,8 point au 1er janvier 2016", a-t-il annoncé dans sa déclaration de politique générale devant les députés.
Le taux normal de l'impôt sur les sociétés passera de 33% à 28% en 2020.
"Le président de la République avait indiqué que le gouvernement engagerait sa responsabilité sur ce pacte.C'est donc ce que je fais aujourd'hui", a dit Manuel Valls.
15h16 - "La croissance ne se décrète pas, elle se stimule", assure Manuel Valls.
15h13 - Manuel Valls rencontrera les partenaires sociaux "dès vendredi". Le dialogue social "a permis, depuis deux ans, d'importantes avancées en matière d'emploi, de marché du travail, de formation professionnelle, de retraites", a-t-il déclaré. "Il doit se poursuivre".
Le Premier ministre a aussi proposé au président des groupes de l'opposition de venir le rencontrer.
15h11 - Manuel Valls rend hommage à Jean-Louis Borloo.
15h09 - "La première chose que je dois aux Français c'est l'efficacité. La deuxième chose, c'est la sincérité".
15h07 - "Les paroles, les actes anti-juifs, anti-musulmans, anti-chrétiens, homophobes, doivent être combattus avec la même fermeté", a demandé l'ancien ministre de l'Intérieur.
Par ailleurs, il a dit qu'il "n'accepte pas les accusations" selon lesquelles la France a été complice du génocide au Rwanda.
15h05 - "Je dirai la vérité aux Français, je la leur dois", a poursuivi Manuel Valls. Je dois leur redonner confiance". Il a dit vouloir "ouvrir une nouvelle page du quinquennat". Manuel Valls a rendu hommage à Jean-Marc Ayrault, se disant "fier" d'avoir été son ministre durant 22 mois.
"Dire l'essentiel pour retrouver l'essentiel: la confiance des Français. Tel sera mon propos", a-t-il ajouté.
15h03 - "J'ai entendu leurs voix, j'ai entendu leurs silences". Manuel Valls s'adresse en ouverture aux électeurs qui ont exprimé leur défiance dans les urnes. "Trop de souffrance, pas assez d'espérance, telle est la situation de la France", a lancé le Premier ministre.
15h01 - Invité par Claude Bartolone, Manuel Valls monte à la tribun. Le début de son discours est ponctué de sifflets parmi l'opposition.
14h56 - Claude Bartolone, le président de l'Assemblée nationale entre sous le regard des gardes républicains puis ouvre la séance avec une pensée pour Jean-Louis Borloo.
14h45 - Le discours de politique générale de Manuel Valls durera 45 minutes. Ensuite, l'UMP aura 55 minutes pour répondre. L'UDI, les radicaux, les écologistes, les radicaux de gauche auront eux 15 minutes chacun quand le groupe socialiste disposera de 35 minutes.
Manuel Valls pourra ensuite leur répondre avant le vote de confiance dont les résultats sont attendus pour 19h15.
14h42 - Manuel Valls quitte Matignon en direction de l'Assemblée nationale.
14h40 - Manuel Valls est "sérieux et concentré". "Ce matin devant les députés socialistes, Manuel a montré sa volonté d'écoute sans minimiser la défeaite des municipales, a dit Yann Galut. Il compte apporter des réponses concrètes aux attentes des Français et des parlementaires".
14h35 - "Nous ne sommes pas dans l'opposition", assure André Chassaigne du Front de gauche. Nous voulons montrer qu'il est possible de conduire une politique de guache dans ce pays. Nous ne sommes pas dans la posture de l'oppositon, nous sommes dans la construction et si un texte nous convient nous pourrons y participer. Nous n'avons pas l'envie de nous replier sur nous-même".
"Les réponses apportées ne sont pas à la hauteur du cri des municipales", a encore dit André Chassaigne.
14h05 - Manuel Valls reporte la présentation du programme de stabilité à fin avril. Le ministère des Finances et des Comptes publics a décidé de reporter la présentation de son programme budgétaire pour les trois prochaines années qui sera du coup transmis à Bruxelles début mai.
13h55 - L'UMP refuse la confiance "à l'unanimité". Le groupe UMP à l'Assemblée nationale votera contre la confiance au gouvernement de Manuel Valls lors de sa déclaration de politique générale, a annoncé leur chef de file, Christian Jacob.
"Il y a une position unanime du groupe", a-t-il déclaré en conférence de presse, critiquant "l'incapacité à trancher ou plutôt" la recherche de la "synthèse permanente" pratiquée selon lui par François Hollande dans son action politique.
13h50 - L'UDI Lagarde moque "le cinéma" des députés PS. Jean-Christophe Lagarde a certifié qu'ils voteront la confiance au gouvernement Valls massivement. Le porte-parole des députés UDI a confirmé que son groupe ne voterait pas la confiance "car nous n'avons pas confiance".
13h05 - "Une très large majorité" des écologistes votera la confiance au gouvernement, a annoncé l'un des chefs du groupe écologiste à l'Assemblée, François de Rugy. "Deux tiers des députés écologistes vont voter pour, un tiers s'abstiendra", a précisé sa collègue Barbara Pompili. Il y a en tout 17 députés écologistes.
12h35 - Manuel Valls prévoit un budget rectificatif 2014 avant l'été. Le Premier ministre l'a annoncé ce mardi matin devant les députés socialistes.
11h50 - Le Front de gauche votera contre la confiance. Les dix députés du Front de gauche voteront donc sans surprise contre alors qu'ils s'étaient abstenus en juillet 2012 lors de la déclaration de politique générale de Jean-Marc Ayrault. "C'est un vote unanime d'opposition contre des orientations politiques", a déclaré André Chassaigne à la presse.
Une position partagée par Jean-Luc Mélenchon sur BFMTV lundi. "Le Front de gauche ne votera pas la confiance et je considère qu'il ne faut pas la voter. Il ne la mérite pas".
11h25 - Que contiendra vraiment le "pacte de solidarité"? La déclaration de politique générale de Manuel Valls, ce mardi 8 avril devant l'Assemblée, doit permettre de préciser le pacte de responsabilité mais doit aussi éclairer les parlementaires sur les contours du pacte de solidarité annoncé par François Hollande au lendemain des municipales.
11h20 - Quelle majorité pour Manuel Valls? On imagine que ces derniers jours, Manuel Valls a dû tenir les comptes. Au matin de son grand oral, ils sont les suivants...
10h50 - "Il y aura une majorité", assure Bruno Le Roux le patron des députés PS. "Et plus qu'une majorité, il y aura la confiance". De son côté, le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone estime que Manuel Valls "aura la volonté de répondre à la situation" du pays.
10h40 - Manuel Valls passe voir les écologistes. "@manuelvalls passe dire bonjour aux écologistes en réunion de groupe. Très détendu le PM #DirectAN #EELV #Vallspremierministre", a écrit le député des Français de l'étranger Sergio Coronado sur son compte twitter.
Le groupe écologiste à l'Assemblée nationale doit donner sa position à 12h15 ce mardi.
@manuelvalls passe dire bonjour aux écologistes en réunion de groupe. Très détendu le PM #DirectAN #EELV #Vallspremierministre
— sergio coronado (@sergiocoronado) 8 Avril 2014
10h30 - Noël Mamère s'abstiendra. "Je m'abstiendrai, comme une partie de mes collègues députés", a-t-il déclaré. "Il n'y a vraiment rien de changé sous le ciel du gouvernement. On a changé de Premier ministre, c'est un remake d'un gouvernement de 1992 avec des gens qui étaient déjà là il y a plus de vingt ans, avec un président de la République et un Premier ministre qui n'ont rien annoncé de neuf, qui n'ont pas réellement changé le cap si ce n'est l'ajout au dernier moment, pour faire bonne mesure, le pacte de solidarité dont on ne connaît pas très bien le contenu".
10h - Valls: "Je suis à la fois serein et déterminé", a dit le Premier ministre en arrivant à l'Assemblée nationale où il doit rencontrer les élus socialistes de sa majorité. "Je suis très respectueux du Parlement", a-t-il dit. "Le vote de confiance d'aujourd'hui porte bien son nom car il faut redonner la confiance au pays, et ce sera le sens de mon intervention". Le gouvernement, a-t-il ajouté, "est déterminé à mettre en oeuvre la feuille de route définie par le président de la République: croissance, emploi, pouvoir d'achat. Il ne faut pas perdre de temps, il faut agir".
9h30 - "Un moment très important" selon Jean-François Copé. "Nous sommes préoccupé de ce que compte faire François Hollande, a expliqué le président de l'UMP. Soit chnager complétement de politique, et il faudra des décisions courageuses qui n'ont pas été prises en deux ans, ou garder le même cap, qui est celui du décrichage de la France".
9h - Emmanuelle Cosse "attend de voir ce que dira Valls". "J'attends de savoir ce que dira Manuel Valls pour prendre une décision mais je souhaite que les députés EELV soient unis dans leur position prise ce matin. Je souhaite que notre position puisse être compréhensible pour les électeurs".
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• Manuel Valls a proposé de réduire "de moitié" le nombre de régions
• Il a annoncé la fin des cotisations patronales pour le SMIC
• L'Assemblée a voté la confiance à 306 voix contre 239 et 26 abstentions