Madonna chute lourdement en clôture des Brit Awards

Sa performance devait clore la 35e cérémonie des Brit Awards, mercredi soir. La chanteuse Madonna a lourdement chuté en interprétant sur scène son dernier single, Living For Love.  Et elle aurait pu se faire très mal.

C'était censé être l'un des temps forts de la 35e cérémonie des Brit Awards: Madonna, qui, n'avait plus participé à la grande fête de la musique britannique depuis 20 ans, a fait un retour des plus remarqués... mais pas pour sa performance musicale.

En pleine interprétation de Living for Love, le dernier single tiré de son nouvel album Rebel Heart (qui sortira dans les bacs le 10 mars prochain), la célèbre chanteuse américaine a fait une lourde chute sur la grande scène de l'O2 Arena de Londres, pour ce qui constituait le spectacle de clôture de la soirée.

Emportée par sa cape 

Celle qu'on surnomme "la Reine de la pop" a en effet perdu l'équilibre au milieu de ses chanteurs, emportée par la cape noire dans laquelle était drapée. Tombant sur le dos en avant du haut d'un petit escalier, l'interprète n'a eu d'autre choix que de lâcher son micro avec la violence du choc, laissant la musique tourner toute seule pendant quelques secondes d'incompréhension. 

Si tous les ingrédients pour se faire très mal étaient réunis, plus de peur que de mal, au final, pour Madonna. Par chance en effet, la chute de la chanteuse a été légèrement amortie par ses danseurs, lui permettant de rapidement se remettre sur pieds, et ainsi poursuivre l'interprétation de son titre. Le tout avec la manière: en déroulant une chorégraphie dont seule l'Américaine, aujourd'hui âgée de 56 ans, a le secret.

"La reine de la pop nous a montré ce que signifie 'the show must go on' (que le spectacle continue) ce soir. Respect", se sont rapidement targué les organisateurs des Brit Awards, via twitter.

Un peu plus tard, Madonna a tenu à rassurer ses fans, expliquant sur Instagram qu'elle s'était effectivement emmêlée dans sa cape trop longue mais assurant "I'm fine!" ("je vais bien"). Show must go on.

Jé. M.