L'ancien Premier ministre est, selon une nouvelle enquête d'opinions dévoilée par le Journal du dimanche (JDD), la personnalité que 39% des sympathisants de la droite et du centre souhaiteraient voir comme candidat à l'élection présidentielle en 2017.
D'après un sondage, les Français ne croient pas à une inversion de la courbe du chômage. Et même si elle se produisait, elle ne profiterait pas au président de la République.
Un nouveau sondage, publié ce mardi soir, révèle que Jean-Luc Mélenchon devance dans tous les cas François Hollande et Manuel Valls lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2017.
Selon un dernier sondage de la Sofres, pour RTL et Le Figaro, la dégringolade continue pour le chef de l'Etat. Il serait sous la barre des 10% au premier tour, dans un scénario avec Emmanuel Macron et Alain Juppé.
Lors de la première vague, établie en novembre 2015, 12% des sondés se disaient satisfaits de l'action de François Hollande, contre 8% six semaines plus tard, et enfin entre 5 et 6% entre mars et septembre 2016.
Contrairement à celle de Manuel Valls, en hausse de deux points, la cote de popularité de François Hollande accuse une troisième baisse consécutive, pour s'établir à 14%.
Le maire de Bordeaux et l'ancien ministre de l'Economie continuent à dominer le classement des personnalités politiques les plus populaires, selon un baromètre Odoxa publié ce mardi.
Jugeant la législation actuelle inefficace, une majorité de Français souhaiteraient voir la consommation des majeurs encadrée par la loi.
Une étude Harris interactive pour France télévisions crédite Alain Juppé de 39% des voix au premier tour de la primaire, contre 35% pour Nicolas Sarkozy.
Prévue le 17 octobre, la primaire écologiste oppose quatre candidats et ouvrira le bal des primaires pour la présidentielle de 2017. Alors que les intéressés ont jusqu'à samedi soir pour s'y inscrire, un sondage Elabe pour BFMTV révèle ce mercredi que plus d'un Français sur deux juge inutile la présence d'un ou d'une candidat(e) écologiste à la présidentielle.
Que la consultation soit d'initiative populaire ou organisée par le pouvoir en place pour approuver une grande réforme, les Français souhaitent être consultés davantage dans les urnes sur les grands choix du pays, révèle une étude de la Fondation Jean-Jaurès.
Un nouveau sondage dresse un constat peu flatteur, pour l'actuel président de la République et son prédécesseur à l'Elysée, alors qu'ils pourraient de nouveau s'affronter l'année prochaine.
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