Invité ce mercredi de BFMTV et RMC, le coprésident du nouveau groupe parlementaire Écologie Démocratie Solidarité a affirmé que certains de ses collègues ont été soumis à des pressions jusqu'à la dernière minute.
De par son ampleur relative, ses doléances et, surtout, son mode d'action, le groupe Écologie Démocratie Solidarité se distingue nettement des socialistes qui avaient sanctionné la politique menée par le prédécesseur d'Emmanuel Macron.
Visant à lutter contre les "contenus haineux" diffusés sur Internet, le texte avait été déposé la première fois au Palais-Bourbon en mars 2019. Il continue de susciter les craintes de certains juristes et d'acteurs du secteur technologique.
Dans une enquête publiée par Mediapart, cinq anciens assistants parlementaires de l'élue parisienne l'accusent d'infliger des humiliations régulières à son équipe de travail.
Ce retard repousse à lundi soir, sous réserve de l'aval du Conseil constitutionnel, l'entrée en vigueur de deux dispositions phare: la limitation des déplacements à 100 kilomètres de distance et l'attestation obligatoire dans les transports en commun.
Convoquée par les instances dirigeantes de la majorité après avoir voté contre le plan de déconfinement présenté par Édouard Philippe, la députée du Bas-Rhin a réagi auprès de BFMTV.com, maintenant ses critiques vis-à-vis du gouvernement.
Le Premier ministre a été interpellé par le patron du groupe LR sur "les mauvais résultats" de la France et les "enseignements" qu'il pouvait en tirer pour la suite.
Le Premier ministre, Édouard Philippe, s'exprimait devant l'Assemblée nationale ce mardi. Il répondait à une question du député "Les Républicains", Christian Jacob.
Par 89 voix contre 81 favorables et 174 abstentions, les sénateurs ont mis en minorité le gouvernement, mais de façon symbolique: conformément à la Constitution, il s'agit d'un vote non-contraignant.
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