
François Bayrou se paie une critique de Nicolas Sarkozy
Soutien d'Alain Juppé à la primaire de droite, François Bayrou aurait "sponsorisé" une critique de Nicolas Sarkozy sur son compte Facebook.
Soutien d'Alain Juppé à la primaire de droite, François Bayrou aurait "sponsorisé" une critique de Nicolas Sarkozy sur son compte Facebook.
Sur RTL lundi matin, le candidat à la primaire de la droite et du centre a précisé sa position contre l'avortement. Expliquant ne pas vouloir abroger la loi Veil, il a dit vouloir "faire diminuer le nombre d'avortements en France".
Des parlementaires du groupe Les Républicains, Pierre Lellouche en tête, envisageaient de destituer le chef de l'Etat après certaines confidences de son livre. Ils l'accusaient, notamment, d'avoir rompu le "secret défense".
Le candidat à la primaire de la droite et du centre a dit regretter son vote contre la dépénalisation de l'homosexualité pour les mineurs de plus de 15 ans, il y a trois décennies.
Lors d'une émission politique, Jean-François Copé a été invité à préciser sa proposition sur l'interdiction du port de signes religieux dans les établissements publics. Mais le candidat à la primaire de droite ne s'est pas montré sûr de lui.
Le candidat à la primaire de droite François Fillon est revenu sur une augmentation d'impôt décidée alors qu'il était Premier ministre. S'il semble faire son mea culpa, il tacle aussi son adversaire Nicolas Sarkozy.
Ce jeudi matin sur BFMTV, Nicolas Sarkozy a admis que si le second tour de la présidentielle voyait s'opposer le PS au FN, il voterait François Hollande. David Rachline, directeur de campagne de Marine Le Pen, a réagi à cette annonce qui irrite le parti frontiste.
Après avoir été confronté jeudi matin sur BFMTV et RMC à sa promesse d'arrêter la politique après sa défaite en 2012, Nicolas Sarkozy a notamment livré ses positions sur le port du voile islamique et sur le Front national, avant de répondre en direct aux questions des auditeurs de RMC.
Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite dira "dans tous les cas de figure" pour qui il vote au second tour de la consultation.
Nicolas Sarkozy ne votera pas pour Marine Le Pen, dans l'hypothèse où la patronne du Front national se retrouverait au second tour de la présidentielle 2017. Invité jeudi matin sur BFMTV et RMC, l'ancien chef de l'Etat laisse aussi entendre qu'il serait prêt à voter pour François Hollande, pour faire barrage au FN.
Nicolas Sarkozy, candidat à la primaire de la droite et du centre, a dû revenir d'emblée face à Jean-Jacques Bourdin sur sa promesse d'arrêter la politique, qu'il avait formulée en 2012 à la même place, sur BFMTV et sur RMC.
Plus largement, Bruno Le Maire a "appelé" les électeurs de la droite et du centre "à un vote d'espoir, pas à un vote par défaut" lors de la primaire de la droite et du centre dont le second débat sera sur BFMTV le 3 novembre prochain.
Lors d’un meeting en Moselle mardi soir, en pleine grogne des policiers, Nicolas Sarkozy s’est défendu sur les suppressions de postes décidées pendant son quinquennat parmi les forces de l’ordre. Pour lui, la sécurité n’est pas affaire d’effectifs mais de "chaîne pénale".
La mairie de Corbeil-Essonnes a affiché sur son site internet un article invitant à voter pour la primaire de la droite. Après les protestations de l'opposition socialiste dénonçant une publicité "aux frais des contribuables", le lien a été retiré lundi.
Nicolas Sarkozy a presque réussi le test du juste prix pour 100 grammes de chouquettes. L'ancien président de la République et candidat à la primaire de la droite ne s'est trompé qu'à quelques centimes d'euros. Contrairement à Jean-François Copé qui a échoué pour le pain au chocolat.
Invité de l'émission C A Vous, sur France 5, l'ancien président de la République est revenu sur une petite phrase prêtée à François Hollande sur les joueurs de football. Et a défendu son amour du Paris Saint-Germain.
Interrogé sur le cas Manuel Valls par Ruth Elkrief ce lundi soir, François Fillon estime qu'un Premier ministre ne peut pas se présenter face au président de la République qu'il a servi, lors d'une élection présidentielle.
Dans une tribune publiée par le JDD, 165 élus de droite et du centre s'en prennent violemment à la stratégie de François Bayrou, qui soutient Alain Juppé à la primaire de droite.
En août 2010, Nicolas Sarkozy, alors en plein quinquennat, rencontre Alain Juppé pour le convaincre de revenir au gouvernement en tant que ministre des Affaires Etrangères, rapporte Anna Cabana dans son livre à paraître mercredi, et dont le JDD a publié les extraits. Dont certains démentis par son équipe de campagne.
Un "programme flou" pour conserver "sa place dans les sondages". François Fillon s'en est pris ce dimanche au programme d'Alain Juppé.
Les propos de Jean-Frédéric Poisson sur les "lobbies sionistes" ont poussé Nathalie Kosciusko-Morizet à saisir la Haute Autorité pour la primaire. Mais pour Bruno Le Maire, c'est aux électeurs de trancher.
Christian Estrosi, désormais premier adjoint de Nice, aurait fait rabaisser le bureau du nouveau maire au conseil municipal, autrefois surélevé.
Le candidat à la primaire de droite a fait l'objet de vives condamnations de la part de certains de ses concurrents, après ses propos sur les "lobbies sionistes". Dans une lettre au Crif, il a finalement indiqué "regretter" ses propos et leur "interprétation", avant de les assumer plus tard lors d'une interview.
Bruno Le Maire est opposé à la négociation avec les syndicats qu'il accuse de bloquer les réformes. La question lui a valu un échange virulent avec une syndicaliste CGT jeudi sur le plateau de l'Emission politique de France 2.
Frédéric Péchenard, ancien directeur général de la Police nationale et proche de Nicolas Sarkozy a fustigé sur BFMTV jeudi Bernard Cazeneuve qu'il accuse de "se défausser sur Nicolas Sarkozy". Pour lui, la grogne des policiers est bien le fruit du bilan de Bernard Cazeneuve et non pas du quinquennat Sarkozy.
Le président de la commission d'organisation de la primaire de la droite, Thierry Solère, a dénoncé avec vigueur "l'évocation du 'lobby sioniste'" aux Etats-Unis par le candidat Jean-Frédéric Poisson.
Le candidat à la primaire à droite avertit les soutiens d'Alain Juppé: en cas de défaite du maire de Bordeaux à la primaire à droite, il souhaite récupérer leur soutien.
Le candidat à la primaire à droite rejette les accusations de Bernard Cazeneuve, qui lui attribue la responsabilité du ras-le-bol actuel de la police.
En pointant du doigt les baisses d'effectifs de police et de gendarmerie sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire tente de jouer son va-tout et d'engager à la hâte le débat sur la sécurité avec ses adversaires de la primaire.
Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite et du centre, est ce mercredi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC.
Invitée de Ruth Elkrief ce lundi sur BFMTV, Rachida Dati, maire LR du 7ème arrondissement de Paris, a soutenu les propos de Laurent Wauquiez, qui a lancé un appel à refuser les centres de migrants dans sa région. Elle a notamment appuyé la différence existant entre François Hollande et Nicolas Sarkozy.
Critiquant de nouveau "un homme qui n'aime que lui-même", l'ancien président de la République et candidat à l'Elysée pour 2017 est persuadé d'affronter de nouveau celui qui l'a défait en 2012.
Sondage exclusif BFMTV / Le Parisien - Réalisée au lendemain du premier débat de la primaire de la droite et du centre, diffusé jeudi soir sur TF1, notre enquête d'opinions Ipsos montre que l'exercice a particulièrement réussi à Alain Juppé. Il creuse son avance sur tous les autres candidats, dans les intentions de vote au premier tour de la primaire.
Un face à face tendu a eu lieu vendredi à Toul, en Meurthe-et-Moselle, entre Nadine Morano et Rachid Nekkaz. La députée européenne a voulu empêcher l'homme d'affaires algérien de pénétrer dans le centre des finances publiques pour payer l'amende d'une femme verbalisée pour le port du niqab.
Candidat à la primaire de la droite et du centre, le président du Parti chrétien démocrate (PCD) est ce vendredi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin. S'il se félicite d'être sorti de l'ombre au cours du débat de jeudi soir, il regrette toutefois son format.
La presse loue la bonne tenue du premier débat télévisé de la primaire de droite, jugé "courtois", mais parfois "trop encadré".
Economie, justice, intégrité vis-à-vis de la fonction présidentielle… Les candidats à la primaire de la droite et du centre ont abordé jeudi soir un bon nombre de sujets lors de leur premier débat. Retrouvez, en vidéo, les moments forts du débat.
Après plus de deux heures de débats, les sept candidats à l'investiture présidentielle de la droite et du centre ont eu l'occasion d'échanger sur l'économie, mais aussi sur les affaires ou les questions de sécurité. On vous propose un récapitulatif en cinq points.
Jean-Frédéric Poisson semble confirmer son statut d'inconnu du plateau télévisé organisé à l'occasion du premier débat télévisé de la primaire de droite et du centre en arrivant en tête des recherches Google et en se distinguant sur Twitter.
Respectivement condamnés par la justice et mis en examen, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy ont justifié leur candidature lors du débat de la primaire de la droite, malgré leurs déboires judiciaires.