
Affaire Ferrand: Collomb craint un effet "TVA sociale de Borloo" aux législatives
Le ministre de l’Intérieur redoute qu’En Marche! ne perde des plumes au scrutin des 11 et 18 juin, en raisons des révélations médiatiques autour de Richard Ferrand.
Le ministre de l’Intérieur redoute qu’En Marche! ne perde des plumes au scrutin des 11 et 18 juin, en raisons des révélations médiatiques autour de Richard Ferrand.
Le Front national espère obtenir une quarantaine de députés aux législatives. Un calcul simple, basé que le score de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle: l'ex candidate avait réuni plus de 50% des voix dans 45 circonscriptions.
"Que se prépare-t-il ? La première préoccupation du président ce n’est ni le changement climatique, ni la misère dans le pays… c’est le code du Travail. Le pays se prépare, s’il s’abandonne à monsieur Macron, à entrer dans une nouvelle phase de dérégulation", a estimé ce mardi Jean-Luc Mélenchon, leader de la France Insoumise lors d’une conférence de presse afin de parler des enjeux des législatives.
Les élections législatives auront lieu les 11 et 18 juin prochains. Parmi les 7 882 candidats, certains candidats ont un parcours pour le moins atypique. Nous vous en avons sélectionné cinq, de Francis Lalanne à Babette de Rozières en passant par Cindy Lee du "Parti du plaisir", petit tour d’horizon des candidatures que vous n’êtes pas prêts d’oublier.
La députée PS Elisabeth Guigou, qui brigue un quatrième mandat dans la sixième circonscription de Seine-Saint-Denis, se sait en danger. Face à elle, les nombreux candidats de gauche et le représentant de La République en marche tentent de séduire l'électorat socialiste.
L'ancienne ministre de l'Education est donnée perdante dans la 6e circonscription du Rhône, selon un récent sondage. Elle serait devancée par le candidat de La République en marche au second tour.
Le chef de file Les Républicains pour les législatives a prôné lundi "le désistement" en cas de victoire possible du Front National. Marine Le Pen a réagi, en qualifiant le parti de droite de "strapontin" pour La République en Marche.
L'avocat à l'origine de l'opération immobilière devenue l'affaire Ferrand a mis en cause l'impartialité du ministre de la Cohésion des territoires, qui aurait privilégié sa femme.
Les électeurs français sont appelés aux urnes les 11 et 18 juin prochain afin d'élire 577 députés qui composeront la nouvelle Assemblée nationale. Mode de scrutin, règles méconnues et conditions à remplir pour voter, voici tout ce qu'il faut savoir sur ce scrutin.
Dans une interview accordée au Parisien, Me Alain Castel, avocat à l'origine de l'opération immobilière au coeur des soupçons qui pèsent sur Richard Ferrand, raconte les coulisses de cette transaction et émet des doutes sur les réelles motivations de l'actuel ministre dans ce dossier.
L'ancien Premier ministre et le leader de la France insoumise s'affrontent par médias interposés depuis quelques jours.
L'ancien Premier ministre semble en difficulté dans son fief d'Évry en vue des élections législatives. La candidate Farida Amrani, qui porte les couleurs de La France insoumise, pourrait même disputer à Manuel Valls sa place de favori.
Toujours empêtré dans une affaire de montage immobilier impliquant sa compagne, Richard Ferrand poursuit sa campagne "tranquillement mais avec motivation" en se défendant de toute faute légale ou morale.
Bernard Accoyer, Secrétaire général des Républicains, est l’invité de BFM Politique ce dimanche. Il a estimé que les membres du parti - que sont Bruno Le Maire, Gérald Darmanin et Edouard Philippe -ayant rejoint Emmanuel Macron "ont cédé à l’appel, à la tentation". "Quand on est campagne contre ses propres amis, il y a un problème, oui. Un problème de fidélité", a-t-il poursuivi.
La République en Marche! a annoncé avoir déposé un recours contre la décision du CSA lui attribuant une durée d'antenne qu'elle juge trop faible pour la diffusion de ses clips de campagne sur les chaînes publiques pour les élections législatives.
"Richard Ferrand a ma confiance. Il n’y a aucune procédure juridictionnelle en cours. Il n’y a donc pas une affaire, il y a un débat. Ce débat est politique et il sera tranché par les électeurs", a déclaré le Premier ministre Édouard Philippe interrogé sur les révélations du Canard enchaîné accusant Richard Ferrand d’avoir favorisé la société de son épouse et salarié son fils en tant qu’attaché parlementaire.
Le Premier ministre Édouard Philippe était en visite dans le 19e arrondissement de Paris pour soutenir Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État chargé du Numérique et candidat aux législatives qui sera opposé au Premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, implanté lui depuis une trentaine d’années. "La question que je me pose, ce n’est pas contre qui, c’est avec qui", a le chef du gouvernement.
Le Premier ministre a renouvelé vendredi sa confiance en Richard Ferrand, poursuivi par des révélations du Canard enchaîné.
Dans la tourmente, Richard Ferrand a reçu un message étonnant de la part de Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, alors qu'il se trouvait en déplacement sur ses terres bretonnes dans le cadre des élections législatives.
Selon un sondage OpionionWay-Orpi, le parti d'Emmanuel Macron obtiendrait la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec plus de 310 sièges.
"Sous sa forme actuelle, c’est fini. Le parti de la rue de Solférino, c’est fini", a estimé ce vendredi 26 mai sur BFMTV Olivier Faure, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale. "Le cycle commencé avec François Mitterrand à Épinay en 11971 s’achève", a-t-il poursuivi.
"Ce que l’on peut reprocher à Richard Ferrand, c’est d’avoir été très dur pendant le Penelope Gate, d’avoir expliqué qu’on ne pouvait pas salarier ses enfants ou avoir salarié sa femme et de découvrir ensuite que ces pratiques-là peut aussi avoir été les siennes", a déclaré ce vendredi 26 mai sur BFMTV Olivier Faure, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale.
L'ancien chef de l'État s'est rendu à Troyes aux côtés de François Baroin pour assister au match de barrage opposant le club de la capitale auboise à Lorient. Une façon d'afficher un soutien discret aux Républicains à deux semaines des élections législatives.
Nombre de candidats de La République en marche sont novices en politique. Le jeune parti d'Emmanuel Macron multiplie les initiatives pour les accompagner de bout en bout et leur donner les meilleures chances de succès.
"M. Hollande ainsi que son gouvernement n’ont jamais été à la hauteur pour rendre et augmenter massivement les moyens de notre police, de notre gendarmerie et de nos services de renseignement", a déclaré ce jeudi 25 mai David Rachline maire FN de Fréjus et sénateur du Var ce jeudi 25 mai sur BFMTV.
"Marine Le Pen a raison de demander sa démission parce que M. Ferrand a été très donneur de leçon pendant des semaines et des semaines et même des mois", a estimé David Rachline maire FN de Fréjus et sénateur du Var ce jeudi 25 mai sur BFMTV. "On s’aperçoit en réalité qu’il fait comme ceux qu’il dénonçait", a-t-il poursuivi. Dans son édition de cette semaine, le Canard Enchaîné révèle que le ministre de la Cohésion des territoires Richard Ferrand, lorsqu'il était directeur général de la Mutuelle de Bretagne, aurait favorisé sa femme en décidant de louer ses bureaux à une SCI dont la gestionnaire est sa compagne. Le journal satirique lui reproche également d'avoir employé son fils comme attaché parlementaire en 2014.
Selon la maire de Lille Martine Aubry, Emmanuel Macron "connaît mal les Français" car il a grandi "dans un milieu protégé à Amiens". Il y a chez lui, "une incapacité à comprendre la souffrance des gens parce qu'il ne les connaît pas".
Plus de 200 députés sortants ne briguent pas un nouveau mandat, l'occasion pour les partis de présenter de nouveaux visages aux Français. La prochaine Assemblée nationale sera t-elle paritaire, plus jeune ou encore moins diplômée? Voilà ce que nous apprend la liste des 7.882 publiée ce mardi.
CARTE INTERACTIVE - Parmi les 7.882 candidats annoncés officiellement ce mardi pour les élections législatives, quels sont ceux de votre circonscription? En moyenne, chaque territoire voit s'affronter 14 aspirants députés pour un seul siège à l'Assemblée nationale.
Le numéro 2 du Front national s'est justifié ce mardi sur le SMS trafiqué qu'il a relayé dans l'entre-deux-tours de la présidentielle.
À moins de trois semaines du premier tour des élections législatives, Nathalie Kosciusko-Morizet va devoir affronter 23 candidats dans la 2e circonscription de Paris. Parmi eux, se trouvent notamment un candidat investi par La République en marche et un dissident Les Républicains.
La bataille des législatives est engagée en Ile-de-France avec plusieurs circonscriptions à enjeux. A Paris, deux nouveaux ministres jouent leur place au gouvernement en cas d'échec. Des personnalités politiques comme Manuel Valls, Nathalie Kosciusko-Morizet ou Nicolas Dupont-Aignan jouent leur va-tout lors du scrutin des 11 et 18 juin prochains.
Le chef du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis joue sa place de député dans la 16e circonscription de Paris où il affronte le nouveau secrétaire d'Etat au numérique Mounir Mahjoubi, investi par La République en marche. Ce dernier devra faire tomber le député sortant, implanté depuis 30 ans dans cette circonscription pour garder sa place au gouvernement.
Benjamin Griveaux, un fidèle d’Emmanuel Macron, pourrait tenter de conquérir l’Hôtel de Ville en 2020.
Malgré la méthode coué, le parti de droite anticipe un scrutin difficile face à la dynamique d'Emmanuel Macron.
"Il y a des tendances lourdes dans la vie politique et ces tendances lourdes, elles ne s’effacent pas", a estimé ce dimanche 21 mai sur BFMTV, Julien Dray, conseiller régional PS d’Ile-de-France. "Le pouvoir réel de ce gouvernement est à droite", a-t-il poursuivi.
"Il y a un effet générationnel, de jeunisme, d’entraînement, qui s’est marqué dans cette campagne vis-à-vis d’Emmanuel Macron", a estimé ce dimanche 21 mai sur BFMTV Julien Dray conseiller régional PS d’Ile-de-France. «C’est un séducteur», a-t-il ajouté pour expliquer l’entrée au gouvernement de Nicolas Hulot comme ministre de la Transition écologique et solidaire, après ses précédents refus sous Hollande et Sarkozy.
"D’un point de vue communication, installation, c’est réussi. Il a fait un sans-faute", a estimé ce dimanche 21 mai sur BFMTV Julien Dray, conseiller régional PS d’Ile-de-France, à propos du nouveau président de la République Emmanuel Macron. "Pour l’instant c’est tout nouveau, tout beau, comme on dit", a-t-il poursuivi.
"Pour La Chapelle, c’est clair. Il faut dégager tous les gens qui emmerdent les femmes. Les dégager!", a estimé ce dimanche 21 mai sur BFMTV Malek Boutih, député PS de l’Essonne, interrogé sur le harcèlement de rue qui serait perpétré dans le quartier La Chapelle-Pajol dans le 18e arrondissement de Paris comme le révélait Le Parisien le 18 mai dernier. "Sur la voie publique, ceux qui agressent les femmes n’ont pas leur place", a-t-il poursuivi.
"Je connais trop les aléas de la vie politique (…) Ma vie, c’est des portes fermées. Toute ma vie j’ai eu des portes fermées", a estimé ce dimanche 21 mai sur BFMTV, le député socialiste Malek Boutih, pas investi par En Marche malgré le soutien apporté au nouveau président de la République entre les deux tours de l’élection présidentielle.
"Les premiers pas de Macron sont intéressants, plein de promesses (…) Je pense que, même si certains se refusent à le voir, une page de l’histoire politique de la France est définitivement tournée", a estimé ce dimanche 21 mai sur BFMTV Malek Boutih, député PS de l’Essonne et candidat aux législatives.
"Sur le nucléaire, il faut être clair. Sur ce sujet, comme sur tous les autres, il va falloir de la clarté", a déclaré ce dimanche 21 mai sur BFMTV, François Baroin, chef de file LR pour les élections législatives qui auront lieu les 11 et 18 juin prochains. "Est-ce qu’on y reste, ou est-ce qu’on y reste pas ?", a-t-il ajouté.
À peine élu président de la République française, Emmanuel Macron a eu un agenda bien chargé. Il a désigné Edouard Philippe Premier ministre lundi dernier. Les deux hommes ont très vite dévoilé les membres du nouveau gouvernement. Leur mode de travail a été jugé convaincant. La République en marche s'attaque désormais aux législatives. Quel sera le rôle du Premier ministre dans cette campagne ? - Les détails avec: Anne Saurat-Dubois, journaliste du service politique de BFMTV. - Elysée 2017, du dimanche 21 mai 2017, sur BFMTV.
Le président de l'UDI (centre-droit) n'exclut pas de travailler avec Emmanuel Macron, tout en se défendant d'être "macroniste".
"En Marche veut nous faire croire que la droite et la gauche c’est la même chose. C’est une imposture. Bien sûr qu’il y a une droite et une gauche et ça dure d’ailleurs depuis 250 ans", a estimé ce samedi 20 mai à Paris François Baroin, chef de file LR en meeting pour les élections législatives qui auront lieu les 11 et 18 mai prochains.
"Être dans le vent, c’est avoir un destin de feuilles mortes", a lancé François Baroin en meeting ce samedi à Paris, fustigeant la majorité présidentielle et les membres des Républicains qui entendraient la rejoindre. "Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent", a-t-il ajouté en reprenant la formule d’Edgar Faure
"Je voudrais que nous reprenions le flambeau du progrès et de l’avenir que nous sommes les seuls à brandir d’une main audacieuse et sans ambiguïté", a déclaré François Baroin, sénateur LR de l’Aube ce samedi 20 lors d’un meeting organisé à Paris à trois semaines des législatives. "Je voudrais que nous donnions au pays un gouvernement de droite et du centre. Au fond, je voudrais qu’Emmanuel Macron ait la majorité qu’il faut à la France", a-t-il poursuivi.
Patrick Mennucci, candidat à sa réélection dans la 4e circonscription de Marseille pour les législatives, dénonce une "manipulation" sur ses affiches de la part des insoumis. Le député socialiste affrontera entre autres Jean-Luc Mélenchon les 11 et 18 juin prochains.