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Emmanuel Macron a annoncé officiellement sa candidature en insistant sur l'"espérance" et l'avenir qu'il a pour la France. Il appelle à "une révolution démocratique profonde" face à un pays "bloqué par les corporatismes".
Jérôme Chartier, porte-parole de François Fillon, est intervenu sur notre antenne ce jeudi soir, à l'occasion du deuxième débat télévisé de la primaire de la droite et du centre. Pour lui, l'ex-Premier ministre participe à ce rendez-vous "pour montrer à quel point son projet est préparé et qu'il est l'homme de la situation pour redresser la France". "François Fillon va être lui-même ce soir", c'est-à-dire, "un candidat convaincant et crédible", insiste-t-il.
Éric Woerth, soutien de Nicolas Sarkozy, est intervenu sur notre antenne ce jeudi soir, à l'occasion du deuxième débat télévisé de la primaire de la droite et du centre. L'ancien chef de l'État "est très serein, et il a préparé ce débat comme à chacune de ses interventions", assure l'ancien ministre, qui s'attend à un débat inédit "sur la ligne politique". Lors de ce deuxième round télévisé, il y a "la volonté de montrer les différences entre les candidats pour que les électeurs de droite et du centre puissent voter en toute connaissance de cause", argumente-t-il.
Gilles Boyer, directeur de campagne d'Alain Juppé, est intervenu sur notre antenne ce jeudi soir, à l'occasion du deuxième débat télévisé de la primaire de la droite et du centre. "Il y a toujours un peu de tension, c'est le moment de vérité, où l'on vérifie qu'on connaît bien son projet", explique-t-il. "Je pense qu'on va vivre un bon moment, que j'espère aussi digne que le premier débat", ajoute-t-il au micro de Jérémy Brossard, notre envoyé spécial à la salle Wagram à Paris.
Le deuxième débat de la primaire de la droite et du centre retransmis sur BFMTV s'est tenu ce jeudi soir salle Wagram à Paris. Alors que les policiers réclament une refonte du système de légitime défense après avoir subi plusieurs attaques, Nicolas Sarkozy a fait part de sa proposition à ce sujet. "Le seul fait que le délinquant sorte son arme et pointe un représentant de l'ordre peut justifier l'usage par celui-ci, même si le délinquant n'a pas tiré", a déclaré l'ancien chef de l'Etat.
Le deuxième débat de la primaire de la droite et du centre a eu lieu ce jeudi soir sur BFMTV. En s'adressant à Nicolas Sarkozy, Jean-François Copé a déclaré que "les échecs ça forme beaucoup plus que les victoires". "Je peux en porter témoignage avec la même énergie que lui", a ensuite lancé le maire de Meaux en souriant.
Ce jeudi a eu lieu le deuxième débat de la primaire de la droite et du centre sur BFMTV. Après avoir interpellé Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy s'en est pris à Bruno Le Maire. "Si à chaque fois que l'on est battu, on n'a plus le droit de se présenter, je te rappelle que tu as été battu à la présidence de l'UMP", a-t-il lancé à son rival. "Commence d'abord par essayer d'être élu, tu verras que c'est très difficile", a ensuite lâché l'ancien chef de l'Etat.
Le deuxième débat de la primaire de la droite et du centre a eu lieu ce jeudi soir sur BFMTV. Interrogé sur le démantèlement de la "Jungle" de Calais, Nicolas Sarkozy a lancé une pique à Jean-François Copé. "Ce ne sont pas les accords du Touquet, ce sont les accords de Canterbury qui ont été renégociés au moment du Touquet", a-t-il lancé à son rival avant d'affirmer que "tout le monde n'est pas obligé de connaître exactement le dossier".
Les candidats de la primaire de la droite et du centre se sont affrontés lors de leur deuxième débat ce jeudi sur BFMTV. Jean-François Copé a commis un lapsus en affirmant vouloir "un gouvernement de choc avec des ministres de gauche". Le maire de Meaux s'est ensuite corrigé, déclarant "pardon, avec des ministres de droite et des ministres centristes mais surtout pas de gauche".